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 Controle de routine

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NTACvic
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NTACvic


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MessageSujet: Controle de routine   Controle de routine Icon_minitimeJeu 6 Mai 2010 - 21:35

-Titre : CONTROLE DE ROUTINE
-Auteur : NTACvic
-Notes :
Voici ma première fic sur cette série qui m’a captivée. J’espère qu’elle vous plaira.
Du a un problème technique, certains accents sont manquants. Désolée pour la gêne occasionnée.
Enfin, je ne suis pas profiler, donc il est probable que certains raisonnements paraissent bancals…


BONNE LECTURE !

N’hésitez pas à commenter !



Newark, dans un jardin, mardi matin.

Des policiers en uniforme délimitaient une scène de crime en installant le ruban « Crime scene do not cross » et en faisant reculer les badauds trop curieux qui tentaient de pénétrer à l’intérieur du périmètre. Une voiture noire arriva et un homme, en costume, en sortit. Il se dirigea vers un des policiers charges de surveiller le périmètre. L’homme de la voiture sortit de sa veste sa plaque et le policier, après l’avoir salue, leva le ruban pour le laisser passer. Un policier habille en civil vint a sa rencontre.
-Policier en civil : Bonjour, capitaine Storm.
-Storm : Bonjour, Mick. Alors, qu’est-ce qu’on a, aujourd’hui ? Règlement de comptes ? Deal qui a mal tourné ?
-Mick : Pas du tout. Simple homicide. Venez, c’est par là. J’étais en train de surveiller le quartier comme d’hab et je suis tombé sur la victime. Jason Burns, 34 ans, commerçant du coin, d’après sa carte de visite. Aucun témoin pour l’instant.
Les deux hommes arrivèrent près du corps. Storm leva le drap qui recouvrait le corps.
-Mick: D’après le légiste, il est mort il y a environ 2 heures. 3 coups de couteau dans le ventre. Aucune trace de lutte donc soit il a été pris par surprise, soit il connaissait son meurtrier.
-Storm, perplexe : Vous avez vu la façon dont il est allongé ?
-Mick : Oui… pourquoi ?
-Storm : J’ai eu d’autres meurtres ces derniers mois et les victimes avaient subi exactement le même supplice. Elles avaient été retrouvées étendues sur le sol de la même façon, sauf qu’elles ne venaient pas du même milieu que Jason Burns.


FBI, BAU, Quantico, Jeudi matin.

L’équipe des sciences du comportement s’était réunie dans la salle de briefing. Chacun des membres tenait un dossier. JJ était debout et présentait le cas, a l’aide de l’écran qui affichait quatre photos.
-JJ : Franck Wyler, Theresa Koppland, Michael Harris et Paul Ruben ont été poignardés à trois reprises dans le ventre, à Newark, lors de ces cinq derniers mois. Il y a deux jours, le capitaine Storm a retrouvé le corps de Jason Burns, tué de la même façon et retrouvé dans la même position que les quatre autres, à savoir allongé sur le côté droit, les jambes pliées, les mains en arrière dans le dos.
-Spencer : D’après le rapport, les quatre premières victimes différaient totalement de la cinquième. Casier judiciaire non négligeable provoqué par une enfance difficile dans un quartier pauvre. Jason Burns appartenait à la classe moyenne, néanmoins, il collectionnait les contraventions…
-JJ : C’est ce qui intrigue la police de Newark. Wyler et Ruben faisaient partie de gangs différents. La police a conclu à un règlement de comptes entre bandes rivales. Quant à Koppland, elle était plutôt dans le vol à l’étalage. La police a rapidement classé l’affaire. En ce qui concerne Harris, c’était un petit dealer alors la police a conclu qu’il avait été tué par un concurrent ou un client mécontent. Et puis, Jason Burns est arrivé. Aucun point commun aves les autres.
-Derek : Mais pourtant, tué de la même façon. S’il s’agit du même tueur, il a décidé de changer de cible.
-Emily : Pourquoi donc ? Il ne trouvait plus les voyous à son goût ?
-David : Il avait envie qu’on parle de lui. Avant que Jason Burns ne meure, personne n’avait pensé à faire le lien entre Wyler, Koppland, Harris et Ruben…
-Aaron : Et une fois arrivé à Burns, on s’intéresse enfin à ces meurtres. Il cherche la reconnaissance alors il s’attaque à une personne normale, entre guillemets. Préparez vos affaires, on décolle dans une heure.


GENERIQUE


"Que l’on m’aime ou que l’on ne m’aime pas ne m’affecte point. Tout ce que je demande, c’est que l’on me respecte en tant qu’être humain"

Jackie Robinson
.



Newark, poste de police, jeudi après-midi.

L’equipe arriva au poste de police de Newark et fut accueillie par le capitaine Storm.
-Storm : Bienvenue a Newark.
-JJ : Bonjour, je suis l’agent Jareau. Voici les agents Hotchner, Rossi, Prentiss et Morgan et le docteur Reid.
-Storm : Merci d’être venus aussi vite. Je vous ai rassemble tous les dossiers. Par quoi voulez-vous commencer ?
-Aaron : Nous aimerions nous rendre sur la scène de crime où vous avez retrouvé Jason Burns.
-Storm : Bien sûr.
-Aaron : Parfait. JJ, Emily, Derek et Spencer, épluchez les dossiers de Wyler, Koppland, Harris et Ruben.


Dans un parc, un peu plus tard.

David, Aaron et Storm se trouvaient à l’ endroit ou Burns avait été retrouve. Ils étaient dans un coin plutôt recule du parc, mais sans l’être a cent pour cent.
-David, à Storm : Etes-vous certain que Jason Burns est bien mort ici ?
-Storm : A 100%. Pourquoi est-ce aussi important ?
-David : Ce n’est pas vraiment l’endroit le plus discret pour tuer quelqu’un. Plus discret que si on l’avait tué quelques mètres en avant, mais c’est un endroit encore risqué.
-Storm : Il est mort au petit matin, entre 6 et 8h. C’est un quartier plutôt calme. Il vivait à quelques mètres d’ici. Il avait l’habitude de faire son jogging le matin.
-Aaron : Dans votre rapport, vous avez noté qu’il n’y avait aucun témoin. Personne n’a rien entendu non plus ?
-Storm : C’est le vide complet…
-David : Peut-être que quelqu’un l’a vu mais n’a pas douté un seul instant qu’il pouvait être le meurtrier… Ce qui le rend encore plus dangereux puisqu’il est capable de se fondre dans le paysage sans éveiller le moindre soupçon…
-Aaron : Et apparemment, il ne perd pas de temps pour tuer sa victime. Elle n’a pas réagi, n’a pas hurlé… Elle s’est laissé faire. Elle non plus ne se doutait pas des motivations du tueur.
-Storm : Il a peut-être menacé Burns ?
-Aaron : Un tueur utilise la menace pour emmener sa victime ailleurs, dans un endroit symbolique à ses yeux, pour la tuer ensuite en suivant un rituel. Après, il l’abandonne dans un endroit plus ou moins à la vue de tous selon ce que le meurtre représente pour lui. Dans notre cas, si le tueur avait menacé Burns et que ce dernier s’était défendu, on aurait eu des traces de lutte. Burns n’a subi aucun sévice sexuel et la façon dont il est mort ne correspond pas à un meurtre à caractère sexuel.


Poste de police, pendant ce temps

Emily, JJ, Derek et Spencer épluchaient des dossiers.
-Spencer : La disposition du corps reste très étrange…
-Emily : C’est peut-être une exécution.
-JJ : Une exécution ??
-Emily : Oui. Derek, tu veux bien servir de modèle, s’il te plaît ? (Derek se leva) Les victimes sont en train de vaquer à leurs occupations. Puis elles se font approcher. Le tueur doit sûrement leur inspirer confiance. N’oublions pas que deux des victimes appartenaient à un gang et qu’une troisième était impliquée dans le trafic de drogue. Donc elles devaient plutôt être sur leur garde et le tueur a réussi à les piéger. Ensuite, le tueur les fait s’agenouiller et leur attache les mains. Enfin, il se place devant et les poignarde et après, elles tombent sur le côté droit, comme ça. (Elle poussa Derek)
-JJ : On n’a retrouvé aucune trace de corde sur les poignets.
-Spencer : On n’a pas forcément besoin de corde. Des menottes pas trop serrées font l’affaire.
-Derek, ayant repris sa place : Il y a aussi un autre point. Les victimes ont été tuées à des heures différentes, parfois en pleine journée et il n’y a aucun témoin. De plus, les endroits où on les a retrouvées sont très différents les uns des autres. D’habitude, un tueur choisit un certain type de lieu car le lieu fait partie intégrante du message qu’il veut livrer. Un endroit insalubre car sa victime est un déchet à ses yeux, le domicile de la victime pour asseoir sa domination, etc.
-Spencer : Alors, on a affaire à un tueur pour qui le lieu et l’heure du meurtre sont secondaires. Ce qui le préoccupe, c’est l’identité de la victime et la façon de la tuer. Il faut prendre également en compte le facteur temps. Le tueur est rapide…
-Emily : Il ne cherche pas vraiment à assouvir un fantasme mais à tuer pour une raison très précise…
-Derek : Ce qui renvoie à ton hypothèse, Emily. C’est une exécution.
-Spencer : J’appelle Garcia. Elle pourra peut-être trouver quelque chose sur les victimes qui ne figure pas sur les rapports de police.
-JJ : J’appelle Hotch pour le mettre au courant de la thèse de l’exécution.


QG du FBI, Quantico, bureau de Penelope Garcia :

Garcia était en train de nettoyer ses lunettes avec un chiffon quand le téléphone sonna. Elle remit ses lunettes en deux secondes, appuya sur un bouton de son téléphone et déclama dans son micro :
-Penelope : Brave gentilhomme combattant avec courage contre les chevaliers du chaos, si tu as besoin d’une épée venue du monde merveilleux de l’informatique, Penelope Garcia est là pour toi. Vas-y, Reid, je t’écoute.
-Spencer : Salut Garcia. Je voudrais que tu épluches en détail la vie de Franck Wyler, Theresa Koppland, Michael Harris, Paul Ruben et Jason Burns. Essaie de trouver un point commun entre eux, aussi petit soit-il.
-Penelope : Pas de problème, preux chevalier. Je te rappelle.


Newark, dans un jardin :

Aaron était en train de discuter au téléphone.
-Aaron : Merci, JJ. (Il raccrocha et se tourna vers Rossi et Storm) JJ, Emily, Spencer et Derek penchent pour une exécution.
-Storm : Pour les quatre voyous, ça aurait pu être un concurrent, mais comment expliquer l’exécution de Burns ? … C’est pas vrai, voilà la presse…
Une jeune femme s’avança vers les trois hommes.
-Femme : Bonjour, capitaine Storm.
-Storm : Mademoiselle Stanton… Décidément, vous me suivez partout…
-Stanton : Vous êtes mon capitaine préféré, que voulez-vous…
-Storm : Toujours aussi lèche-cul à ce que je vois…
-Stanton : Et si vous me présentiez vos deux collègues ? Je suis Genna Stanton, du Daily Wark.
-David : Agents Rossi et Hotchner.
Ils se serrent la main.
-Stanton : Agents ? FBI ?
-David : Vous êtes perspicace, mademoiselle Stanton.
-Stanton : Il y a eu plusieurs meurtres ces derniers temps alors si le capitaine Storm fait appel à de l’aide, elle droit sûrement venir du FBI. C’est là que Jason Burns a été tué ?
-Storm : Cette enquête ne vous regarde pas.
-Stanton : Oh que si. Nos concitoyens de Newark ont le droit de savoir qu’un meurtrier se balade dans les rues de cette ville, et qu’en plus vous avez attendu cinq meurtres avant de réagir.
-Storm : Ne jouez pas à ce jeu, Stanton. Je vous le déconseille…
-Stanton : Alors pour vous, c’est normal que quatre anciens voyous se fassent tuer de la même façon sans que la police ne fasse le lien et que comme par hasard, elle commence à en voir un quand une cinquième personne, un citoyen qui n’a rien en commun avec ces personnes, meurt assassinée dans les mêmes circonstances ? Le public doit être courant du peu d’estime que certains policiers ont pour un certain type d’individu… Qu’en pensez-vous, messieurs les agents ? N’essayez pas de défendre le capitaine…
-Aaron : Le capitaine n’a pas travaille sur tous les meurtres, et puis nous sommes ici pour donner un coup de main, pas pour juger. Si vous le permettez, nous avons des meurtres à résoudre.
Aaron, David et Storm s’éloignèrent.
-Stanton, criant : Alors, il s’agit bien d’un tueur en série ? De toute façon, vous ne pourrez pas garder le silence bien longtemps ! On se reverra !
-David, à Storm : Elle a l’air plutôt bien informée.
-Storm : Une vraie fouineuse. Elle a beaucoup de contacts. C’est la meilleure pour vous écrire un article qui fera scandale. Je vous parie que très bientôt, on sera à la une pour discrimination dans la résolution d’homicides.
-Aaron : Quel que soit l’article qu’elle écrira, elle a raison sur au moins une chose : si on n’arrête pas le meurtrier, on la reverra très bientôt…


Poste de police, un peu plus tard :

David et Hotch rentrèrent au poste de police et rejoignirent leurs collègues.
-Spencer : J’ai appelé Garcia pour qu’elle cherche un lien entre les victimes.
-Aaron : On risque d’avoir un autre problème, avec la presse. Apparemment une journaliste habituée aux articles explosifs a eu vent de l’affaire.
-JJ : Il ne manquait plus que ça. Je m’en occupe, Hotch.
-Aaron : Merci. Elle s’appelle Genna Stanton et elle ne devrait pas tarder à faire parler d’elle.


Quelque part dans Newark, Vendredi matin :

Un jeune homme, blouson de motard et bandana sur la tête, était en train de fumer dans une ruelle. Il était adosse au mur d’un immeuble. Alors qu’il était sur le point de jeter sa cigarette par terre, il se rendit enfin compte qu’il n’était plus seul dans cette ruelle. Il poussa un soupir et s’adressa a la personne qui était en face de lui.
-Jeune : C’est pas possible… Pas moyen d’être tranquille… Je vous jure que là, je ne fais rien d’illégal… Quoi ? Encore ? Oh mince, vous êtes vraiment pas cool…

A présent, le jeune homme était a genoux, sur le sol, les mains attachées dans le dos.

Un instant plus tard, le jeune homme était étendu sur le cote droit, les mains repliées dans son dos, les genoux toujours dans la position que l’on a quand on s’agenouille. Sa vie venait d’être enlevée.


Quelques heures plus tard, au même endroit :

Le lieutenant Storm et toute l’equipe du FBI regardaient le corps inerte du jeune homme.
-Storm : C’est notre sixième victime. Lyle Cobalt, alias Micmac. Une petite frappe du coin, arrêtée à plusieurs reprises pour petits trafics. Pas vraiment un caïd.
-Emily : Je pensais que le tueur avait assassiné Jason Burns pour qu’on lui prête attention. Et là, il attaque à nouveau son premier type de cible… Cela veut dire qu’en définitive, il ne recherchait pas la consécration…
-Spencer : Il est peut-être revenu à ses habitudes, à savoir nettoyer les rues des délinquants…
-David : Dans ce cas, Jason Burns était un extra ? Une erreur ?
-Derek : En fait, je crois que le fait que les victimes étaient des délinquants ou non importe peu.
Le téléphone de Spencer Reid sonna. Il décrocha. C’était Garcia.
-Penelope : Salut, chevalier !
-Spencer : Salut Garcia. Attends, je mets le haut parleur… Tu peux y aller, on t’écoute.
-Penelope : Bonjour tout le monde ! Alors j’ai fait la recherche que Spencer m’a demandée et je n’ai rien trouvé, à part ce que vous saviez déjà.
-Aaron : Merci Garcia. Maintenant, est-ce que tu peux nous faire une liste de toutes les personnes qui ont étés admises à l’hôpital, à Newark, pour blessure à l’arme blanche pendant l’année qui s’est écoulée ? Cible en priorité celles qui ont été poignardées trois fois au ventre, qu’elles aient survécu ou non. Ensuite, essaies de voir si elles avaient un lien avec les 5 premières victimes plus Lyle Cobalt.
- Penelope : Je m’y attèle illico.
-Aaron : Merci, Garcia.
-Storm, à Aaron : Vous savez combien de personnes se sont faites poignardées à Newark cette année ? Il y a pas mal de gangs ici, alors vous aurez beaucoup de noms…
-Aaron : On aura déjà quelque chose… Oh non, Genna Stanton est là…
-JJ : Je vais la retenir.
JJ s’en alla et retint Genna Stanton.
-JJ : Désolée, mais vous ne pouvez pas rester…
-Stanton : Je suis journaliste et j’ai le devoir d’informer la population.
-JJ : J’en suis consciente. Mais pour le moment, vous risquez de faire naitre la confusion et la panique, sans oublier que vos articles pourraient gonfler l’ego de l’assassin.
-Stanton : Vous voulez que nos concitoyens vivent dans l’illusion ?
-JJ : Ce n’est pas ce que j’ai dit. Nous voulons éviter toute réaction inappropriée telles les actions de justice expéditive, qui peuvent se produire en cas de psychose de la population lorsqu’elle sait que nous recherchons un assassin. Ou à l’inverse, certaines personnes pourraient se prendre pour des chasseurs de prime et par conséquent interférer dans l’enquête et faire plus de dégâts que de bien, comme assassiner la mauvaise personne.
-Stanton : Vous ne me laisserez pas passer.
-JJ : Accordez-nous le temps de travailler et nous répondrons à vos interrogations, ainsi que celles de vos confrères. Pour l’instant, nous vous serions reconnaissants de ne rien écrire sur ce sujet.


Poste de police, Newark, Vendredi après-midi :

La salle de briefing du poste de police était remplie d’inspecteurs et de policiers en uniforme. Chacun prenait des notes sur son calepin pendant que David parlait.
-David : L’homme que vous recherchez est le genre de personne à laquelle on ne fait pas vraiment attention parce qu’elle se fond dans le paysage ou a une allure qui n’éveille aucun doute. Lorsqu’on l’aura arrêté, plusieurs personnes seront surprises en découvrant son identité.
-Derek : Les victimes ont toutes étés tuées dans des quartiers différents, à des heures différentes. Ce qui signifie qu’il se déplace. Il choisit ses victimes, les suit, étudie leurs habitudes, surtout le déplacement, et lorsqu’elles se retrouvent dans un coin discret, isolé, il agit. Cette filature prend forcément du temps, et vue la nature diverse des scènes de crime, le tueur doit effectuer un métier qui demande de se déplacer souvent, seul, ou non. Dans ce dernier cas, la cause du déplacement doit être légitime afin de ne pas éveiller les soupçons du collègue, surtout si la filature se fait en journée.
-Aaron : Cherchez donc dans les métiers tels que taxis, ambulanciers, facteurs, VRP et professions individuelles : plombiers, médecins etc. Commencez par les personnes amenées à se déplacer dans les quartiers sensibles de Newark, notamment ceux ou ont a retrouve les 4 premières victimes.
-Spencer : Les meurtres sont plutôt de l’ordre de l’exécution ce qui nous amène à penser que le tueur cherche à remplir une mission.
Un jeune inspecteur de sexe feminin demanda:
-Inspecteur: Et quel genre de mission ?
-Emily : Les victimes représentent toutes une personne qui a fait du tort au tueur, ou à l’un de ses proches, ou bien représentent un type d’individu dont le tueur a horreur. En réaction, le tueur se débarrasse de tout ce qui lui rappelle ce dont il déteste. Mais il est encore trop tôt pour dire avec exactitude la raison de ces meurtres pour le tueur.
-David : Il faut agir au plus vite car les meurtres ne vont pas s’arrêter. Tôt ou tard, le tueur va vouloir agir à plus grande échelle.
-Storm, à ses hommes : Vous avez entendu ? Le temps presse, messieurs dames !


Dernière édition par NTACvic le Ven 6 Aoû 2010 - 13:32, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Controle de routine   Controle de routine Icon_minitimeVen 7 Mai 2010 - 10:45

Bonjour,

Je te félicité vraiment applaud
J'avais vraiment l'impression d'être devant ma télé, un lundi soir (mercredi maintenant langue )
Tu as vraiment fait des efforts de mise en page avec la petite citation et tout...

VRAIMENT CHAPEAU :applaud2: :applaud2: :applaud2:
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MessageSujet: Re: Controle de routine   Controle de routine Icon_minitimeSam 8 Mai 2010 - 16:54

Et bien, et bien !
C'est très bien écrit, la vitesse de l'histoire est bien menée.
Pour l'instant, je dois dire que je ne trouve pas de points négatifs ^^ Même pas de fautes pratiquement (Sans compter les accents manquants, tu as prévenu pour ça ^^)..

Et dis, le tueur ne se déguiserait-il pas en flic ? Ou n'en serait-il pas un ?..Je me demande ^^ Ca explique la réaction de la dernière victime, ça correspond au profil et tout ça !

Vivement la suite sourit0
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MessageSujet: Re: Controle de routine   Controle de routine Icon_minitimeSam 8 Mai 2010 - 18:13

drolement bien ecrit! applaud c est vrai qu on se croirais devant sa télé. le ton des personnages (j adore les repliques de Garcia Very Happy ),le rythme...vraiment c est super...

le seul truc qui m a fait tilt c est quand Hotch appelle Reid par son prénom.
je suis habitué a l entendre dire Reid plutot que Spencer, mais bon c est des broutilles.

bravo et vivement la suite saut_content
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NTACvic
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MessageSujet: Re: Controle de routine   Controle de routine Icon_minitimeJeu 13 Mai 2010 - 22:37

Merci bcp pour vos commentaires !!
Allez, une petite suite. Very Happy



Poste de police, Samedi matin :

JJ était aux toilettes, en train de se laver les mains quand la jeune inspecteur qui avait pose une question lors du profil, tenant une sacoche, entra dans la pièce. Elle salua JJ.
-Inspecteur : Bonjour.
-JJ : Bonjour.
-Inspecteur : Nous n’avons pas eu le temps de faire connaissance. Je suis le lieutenant Eleanor Kellen, de la brigade anticriminelle. J’étais présente a votre expose, hier.
-JJ : Oui, je m’en souviens. Agent Jennifer Jareau. Enchantée.
-Kellen : Cela ne doit pas être un boulot facile… Jongler entre les tueurs en série et les journalistes qui écrivent de gentils articles sur la police, comme une certaine journaliste du Daily Wark dans le journal de ce matin…
-JJ, étonnée : De quel article parlez-vous ??
-Kellen : Vous n’avez pas lu le journal ? Tenez, le voici. Nous sommes en première page.
Kellen sortit le journal de sa sacoche et le tendit à JJ. Cette dernière parcourut rapidement la une et en fut estomaquée.
-JJ : Je n’arrive pas à le croire, elle est vraiment têtue !! Excusez-moi, il faut que j’aille régler ca…
JJ partit. Avant qu’elle ne franchisse la porte des toilettes, Kellen lui lança, avec un sourire :
-Kellen : La prochaine fois, soyez plus menaçante !!


Poste de police, salle de travail de l’equipe du FBI, un peu plus tard.

Aaron étudiait tranquillement un dossier quand le capitaine Storm surgit dans la salle. Aaron constata que le capitaine avait l’air au dépourvu.
-Storm : Agent Hotchner… Nous avons un problème. Le standard est en train d’exploser… Que doit-on faire ?
-Aaron, stupéfait : Que se passe-t-il ??
JJ entra, avec le journal.
-JJ : Hotch, Genna Stanton a vendu la mèche.
Elle tendit le journal à Aaron.
-Aaron : « … Pourquoi une conclusion facile ? A cause de l’identité des victimes, toutes mêlées à la délinquance de façon directe ou indirecte. Mais il y a quelques jours, une nouvelle victime a été retrouvée morte, tuée dans les mêmes conditions que les 4 précédentes. Une victime qui n’avait rien à voir avec la délinquance. Cela a suffit à la police pour avancer l’existence d’un tueur en série. Devons-nous comprendre que la police fait une distinction entre les victimes, même dans la mort ? Si des personnes ont commis des erreurs, doivent-elles craindre d’être expédiées à l’étage des affaires classées après deux jours d’enquête ?... »
-JJ : Je suis désolée, Hotch…
-Aaron : Ce n’est pas ta faute. Tu ne peux pas contrôler les journalistes… Pour répondre a votre question, lieutenant, nous allons tenter de rassurer la population. (Il tourna la tete vers JJ) Une conférence de presse s’impose.


Poste de police, Samedi après-midi.

JJ quitta la salle de conférence dans laquelle elle avait répondu aux journalistes et marcha dans un couloir puis entra dans une pièce, une salle de repos, ou se trouvaient Derek, Emily et David.
-JJ : Cette conférence était un vrai cauchemar… En plus, Stanton avait l’air fière de tout ce remue-ménage… Les gens ont maintenant les yeux rives sur nous. Ils veulent des résultats…
Le portable de Derek sonna.
-Derek : Salut Garcia (Il mit le haut-parleur) Vas-y ma belle, balance-nous tout ce que tu as.
-Garcia : J’ai un projectile pour vous. J’ai recense tous les blesses et morts, poignardes a trois reprises au ventre avec la liste que la police m’a transmise. J’ai un candidat qui répond à vos critères. Il s’appelle Connor Trask. Il est ambulancier et a travaille dans les secteurs ou ont été retrouve Harris, Ruben et Cobalt. Il y a dix mois, sa sœur, qui vivait pas loin du quartier ou a été retrouvée Koppland, a été agressée par un délinquant. Trois coups de couteau dans le ventre. Elle est décédée en arrivant à l’hôpital. Je vous envoie son adresse. Et la, c’est qui la meilleure ?
-Derek : C’est toi et ce sera toujours toi, tu le sais.
-Penelope : Ca fait toujours plaisir de l’entendre… Tchao mes mignons !


Un peu plus tard, alors que ses collègues étaient partis arrêter Connor Trask, JJ, après avoir pris une cannette au distributeur, aperçut Genna Stanton qui rodait dans le poste, près de la salle ou l’équipe du FBI s’était installée. JJ en fut énervée et vint vers Stanton.
-JJ : Qu’est-ce que vous faites encore la ? Vous avez déjà assez fait de dégâts.
-Stanton : C’est votre point de vue, agent Jareau. J’estime avoir rempli ma mission d’information.
-JJ : Vous n’obtiendrez rien de plus.
-Stanton: Un bon journaliste obtient toujours les infos qu’il veut.
Stanton partit. JJ resta perplexe et se demanda ce que Stanton avait bien pu faire. Malheureusement, elle ne put interroger aucun policier car Stanton avait profite de l’absence des policiers pour fouiner.


Domicile de Connor Trask, Newark :

Emily, David, Derek, Storm et un groupe d’intervention s’approchaient d’une petite maison. Des membres du groupe d’intervention se positionnèrent à l’arrière de la maison tandis que les autres se plaçaient face a la porte d’entrée. Le capitaine Storm fit un signe de la tête au chef de la brigade d’intervention qui regarda un collègue qui tenait un bélier. Ce dernier défonça la porte d’entrée et toute la troupe investit la maison. Connor Trask était en train de regarder la télévision dans son fauteuil et bondit de son fauteuil en réaction à ce vacarme. Storm lui ordonna de lever ses mains en l’air. Trask obéit et un membre de l’équipe d’intervention le menotta, sous les protestations de Connor.
-Connor : Mais qu’est-ce qui se passe ??!!?!!!?
-Storm : Monsieur Trask, vous êtes en état d’arrestation. Vous avez droit de garder le silence. Vous avez le droit à un avocat. Si vous ne pouvez pas vous en procurer un, l’Etat vous en fournira un d’office.


Salle d’interrogatoire, fin d’après-midi :

David et Emily interrogeaient Connor Trask, assis. Emily posa sur la table une a une les photos prises sur les scènes de crime puis s’assit. David resta debout.
-Emily : Ces photos ne vous rappellent rien, Connor ?
-Trask : Non. Pourquoi ? Je devrais ?
-Emily : Ces personnes ont été poignardées ces derniers mois.
-Trask : Et en quoi cela me concerne ?
-David : Nous sommes au courant pour votre sœur. Pour vous, ces personnes représentaient le délinquant qui a attaque votre sœur pour lui voler son sac. Vous circuliez dans leur quartier. Vous pouviez les voir errer et terroriser leur quartier. Vous vouliez venger votre sœur…
-Trask : Attendez une minute… Vous croyez que j’ai tue ces personnes??
-David : L’avez-vous fait ?
-Trask : Des délinquants ont charcute ma sœur pour 30 dollars… Ces mêmes délinquants que j’emmène à l’hôpital presque tous les jours après leurs bagarres… C’est vrai que j’en ai eu l’envie. Mais je ne l’ai pas fait. Ma sœur ne l’aurait pas voulu.
-Emily : On aurait besoin d’un alibi…
-Trask : Je vous le donnerai avec plaisir.


Pendant ce temps, quelque part dans Newark :

Une jeune femme marchait dans une rue. Elle tourna à droite, puis se dirigea vers un immeuble délabré. Elle pénétra dans l’immeuble et put constater l’état profond de négligence qui y régnait : des détritus en tout genre trainaient dans les couloirs, les murs étaient recouverts de graffitis et certaines boites au lettres et portes d’appartements du rez de chaussée avaient été défoncées. De plus, deux sans domicile fixes avaient élus domicile au rez de chaussée et dormaient profondément, emmitoufles dans leur sac de couchage. Apres avoir observe l’intérieur, la jeune femme prit les escaliers. Peu après, alors que la jeune femme avait atteint le premier étage, voir plus, une silhouette pénétra a son tour dans l’immeuble. Sans aucune hésitation, la silhouette monta les escaliers.


Plus tard, dans un appartement abandonne, la jeune femme était étendue sur le sol, dans la même position que les victimes de l’affaire du capitaine Storm. Une silhouette s’attarda un peu sur les lieux, avant de partir.


Poste de police, un peu plus tard :

Emily et David venaient de sortir de la salle d’interrogatoire ou ils avaient questionne Connor Trask. Ils arrivèrent dans le bureau de Storm qui était en train de raccrocher son téléphone.
-David: Capitaine, nous aurions des alibis à vérifier, pour Trask…
-Storm : Ce ne sera pas nécessaire. Nous venons de retrouver une autre victime. Elle est morte il y a moins d’une heure.
-Emily : Connor Trask est ici depuis trois heures… Conclusion, ce n’est peut-être pas notre homme…


Newark, immeuble ou a été retrouvée la nouvelle victime, début de soirée :

Storm, David, Emily, Derek et Spencer étaient autour du corps. Storm tenait le portefeuille de la victime et lisait ses cartes d’identité et professionnelle.
-Storm : Erica Grundig. Comptable chez Herman&Frobes… Je commence à en avoir marre de ce tueur…
-Spencer : Qui a découvert son corps, lieutenant ?
-Storm : L’un de mes hommes. L’officier Barkley. Il patrouillait dans le coin, avec l’inspecteur Finn. Je lui demanderai de vous faire sa déposition.
-Spencer : Est-ce que l’inspecteur Finn et l’officier Barkley avaient une raison précise de patrouiller ici, ou se sont-ils retrouves ici par hasard ?
-Storm : Ils devaient patrouiller dans le coin. Ils enquêtent sur un gang de pickpockets. D’après nos infos, ce gang a son QG dans le coin. Finn et Barkley devaient vérifier l’info. Pourquoi tant de questions sur Finn et Barkley ?
-Spencer : Le corps de Theresa Koppland a été retrouve par le sergent Ulrich et celui de Jason Burns, par le sergent Kite. J’ai cru que c’était une coïncidence, mais avec la découverte du corps de Grundig par l’officier Barkley, je pense qu’il ne s’agit plus d’une coïncidence.
-Derek : Que veux-tu dire par la, Reid ?
-Spencer : Capitaine Storm, je suppose que comme Barkley et Frobes, les sergents Ulrich et Kite étaient en mission dans le secteur ou ont été retrouvées Koppland et Burns ?
-Storm : Oui… Ulrich filait un dealer de fausses cigarettes, et Burns enquêtait sur une série de vol à l’étalage…
Des supplications retentirent. Apparemment, un homme implorait l’un des policiers qui gardaient la scène de crime de le laisser entrer. L’homme lui disait :
-Homme : S’il vous plait, c’est ma sœur… Je veux la voir !
Emily regarda Hotch et lui demanda si elle pouvait s’en occuper. Hotch lui donna son autorisation. La jeune agent sortit de l’appartement et se dirigea vers l’homme qui se tenait près des escaliers. Elle indiqua au policier qu’elle prenait la situation en main. Le policier s’éloigna. Emily se présenta.
-Emily : Bonjour Monsieur, je suis l’agent Prentiss, du FBI…
-Homme : Du FBI ??
-Emily : Nous sommes venus donner un coup de main à la police locale… Vous êtes le frère d’Erica Grundig ?
-Grundig : Oui… Steven Grundig…
-Emily : Toutes mes condoléances…
-Grundig : Qui a tue Erica ?
-Emily : Je vous promets que nous allons tout faire pour le retrouver.
-Grundig : Pourquoi s’en prendrait-il à ma sœur et qu’est-ce qu’elle faisait ici ??
-Emily : Je n’en sais rien. Si vous vous sentez prêt, j’aurai besoin de vous pour nous aider à identifier une raison pour laquelle le tueur aurait choisi votre sœur.
-Grundig : Bien sur.
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MessageSujet: Re: Controle de routine   Controle de routine Icon_minitimeJeu 13 Mai 2010 - 22:49

Intéressant. Et Reid commence à avoir une idée du tueur qu'ils recherchent. Ca tombe bien, moi aussi sourit0 Plus qu'à savoir si j'ai les mêmes théories xD !

Vivement la suite !
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MessageSujet: Re: Controle de routine   Controle de routine Icon_minitimeSam 15 Mai 2010 - 18:59

Et bien et bien !!! je pense aussi avoir une idée sur le tueur...
je suis pressée de lire la suite
Wink

Continue comme ça pour une première tu te débrouilles bien.

J'ai juste eu un petit manque en lisant, désolé mais en tant que fan de Derek, j'aime beaucoup les délires avec Garcia...
Embarassed

Mais bon c'est ta fic, et surtout c'est pas le plus important

En tout cas fonce et fais nous peur!!!! Twisted Evil
lol

A suivre...
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MessageSujet: Re: Controle de routine   Controle de routine Icon_minitimeVen 21 Mai 2010 - 15:40

la suite, la suite!! applaud applaud

c est tres sympa continue Very Happy . bah oui je veux savoir la fin moi!
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MessageSujet: Re: Controle de routine   Controle de routine Icon_minitimeLun 24 Mai 2010 - 12:28

Une petite suite en attendant le dessert... Very Happy



Poste de police, Dimanche matin.

L’équipe de la BAU était dans sa salle de travail et relisait les dossiers quand Spencer rompit le silence.
- Spencer : Je crois que nous avons oublie une catégorie de professionnels dans notre profil.
-Derek : Qui ?
-Spencer : La police.
-JJ : Tu en es sur ?
-Spencer : Oui. Je n’ai pas voulu évoquer cette hypothèse devant le capitaine avant d’en être sur. Nous avons dit que notre homme passait inaperçu dans le paysage et exerçait un métier qui lui demandait pas mal de déplacements. 3 victimes ont été découvertes dans des secteurs dans lesquels il y avait une patrouille de police. Qui se douterait qu’un policier puisse commettre un meurtre ? De plus, la majorité des quartiers des victimes sont réputés pour leur plus ou moins grande dangerosité. C’est le terrain idéal pour tuer des voyous et conclure l’affaire comme un règlement de compte, et le terrain idéal pour une surveillance policière…
-Emily : Si c’est un policier, quel serait son intention ? Si les victimes n’avaient été que des délinquants, on aurait pu pencher pour un nettoyage, mais la, on a deux victimes qui étaient clean…
-David : Je pense que Reid a raison. On a forcement loupe un détail dans le passe des victimes… Peut-être qu’il s’agit de quelque chose qui n’est pas écrit quelque part. On peut déjà partir du fait qu’elles aient toutes eu affaire à la police, pour une raison plus ou moins grave. Il faut chercher un lien entre des délits avec violence et des PV. Pour Grundig, il faut voir si elle n’est pas venue au poste de police un jour…
-JJ : Il faut également demander au capitaine Storm tous les plannings de ses hommes et leurs dossiers.
-Aaron : D’accord, on va faire ca. Mais restons prudents. Nous marchons sur des œufs. Cette théorie ne va pas enchanter Storm.


A la sortie du poste de police, après midi.

Un homme en costume cravate franchit la porte du poste de police pour quitter le bâtiment, tout parlant au téléphone cellulaire.
-Homme : C’est bon, je viens de sortir du poste… Je te jure, ils ont vraiment du temps à perdre, ces flics… Toujours a embêter les bons gens comme nous, même en plein weekend, alors qu’ils auraient mieux a faire avec la racaille qui traine dans les rues… J’arriverai en retard. Tu n’as qu’à commencer sans moi…

L’homme ne sut pas qu’une personne l’observait, a partir de la vitrine d’un magasin de beignets.


Poste de police, pendant ce temps.

Aaron et David étaient dans le bureau du capitaine Storm et venaient de lui demander les plannings et dossiers personnels de ses hommes. Storm en fut outre.
-Storm : Je vous demande pardon ?? C’est quoi, cette histoire ?? Vous ne pensez tout de même pas que le meurtrier se cache parmi l’un de mes officiers ???
-Aaron : Nous n’écartons aucune possibilité… Le métier de policier colle au profil…
-Storm : J’en n’ai rien à faire de votre profil ! Vous venez chez moi et comme vous n’arrivez pas à coincer le coupable, vous décidez qu’il fait partie de la police…
-Aaron : Pas du tout, capitaine. Nous voulons vérifier que notre hypothèse est fausse, croyez-nous.
-Storm : Ah ouais ?? Vous avez intérêt à me donner de bons arguments…
-David : Toutes les victimes, sauf une, ont eu affaire a la police. Pour bagarres entre gangs, vols, trafics et contraventions.
-Storm, tranchant : Simple coïncidence.
-David : Peut-être, mais jusqu'à preuve du contraire, c’est le seul lien qui les unit. Qui serait en mesure de connaitre ces détails ? Une personne qui aurait accès aux dossiers de la police. Par exemple un policier. Personne qui serait la seule à pouvoir se déplacer aussi facilement pendant la journée, a des heures différentes, pour surveiller ses victimes. Qui serait la seule à approcher des délinquants, a les interpeller. Puis à les fouiller, pour voir si elles n’ont rien d’illégal dans leurs poches. Puis à les menotter, à les faire s’agenouiller, et enfin, à les tuer. Et un policier peut très bien procéder à un contrôle d’identité avec des non délinquants.
-Aaron : Je vous en prie, capitaine. Laissez mon équipe continuer ses recherches…


Poste de police, mardi matin.

Emily, Derek et Spencer épluchaient les dossiers des membres des forces de l’ordre. JJ entra. Elle paraissait préoccupée, et montra la cause de cette inquiétude en posant le journal sur la table.
-JJ : Genna Stanton vient de lâcher une bombe. Elle a écrit dans le journal de ce matin que le tueur était un flic.
-Emily : Quoi ?? Tu rigoles ?? On n’en a parle a personne. La seule personne à être au courant, c’est Storm. On a été très discret pour prendre les dossiers…
-JJ : Je ne sais pas comment elle l’a su… En tout cas, cela ne vient pas de moi… Elle avait raison, un journaliste obtient toujours les informations qu’il veut…
-Derek : On ne lui en a pas touche un mot, ni a un policier… Comment elle s’y est prise ? En plaçant des cameras ? Des micros ?
JJ regarda Derek, avec un air sérieux.
-Derek : Je disais ca pour plaisanter…
-JJ : Non, ce serait du délire…
JJ se pencha pour voir le dessous du bureau, puis remonta à la surface en tenant un micro. Elle jeta le micro par terre et l’écrasa avec son pied. Ses collègues étaient stupéfaits.
-JJ : C’est pour ca que Stanton rodait dans les parages, après la conférence... Elle en a profité pour jouer les James Bond…
-Spencer : Je dirai plutôt les Mata Hari, vu que c’est une femme… Il faut admettre qu’elle a de l’imagination…


Poste de police, bureau du capitaine Storm, au même moment :

Aaron et David arrivèrent dans le bureau du capitaine. Ce dernier parlait au téléphone.
-Storm : Sur Pine Street ? D’accord, j’arrive…. Je vous demande pardon ?? Je vais la tuer… Dites-leur de se rassurer… Et s’ils ont vraiment trop peur, qu’ils restent chez eux, bon sang !!
Il raccrocha. David et Aaron étaient perdus.
-Storm : On vient de retrouver un nouveau corps. Et pour couronner le tout, Genna Stanton vient de publier dans son article que le tueur était un policier !
-Aaron : Nous ne lui avons rien dit…
JJ rentra, avec le journal.
-JJ : Mauvaise nouvelle, Hotch…
-Aaron : On est au courant pour Genna Stanton.
-Storm : En plus, il y a une nouvelle victime. Qu’est-ce qu’il y a exactement dans l’article, agent Jareau ?
-JJ, lisant : « L’équipe du FBI qui est venue épauler la police de Newark pense que le tueur en série se cache parmi la police. Vient-elle de le découvrir ou pensait-elle à cette éventualité depuis un moment ? Quelque soit la situation, nous devons nous interroger sur cette question : si un assassin se cachait dans la police, les citoyens en auraient-ils été informes ? Le doute pèse sur cette question, quand on connait le lien fort qui unit la grande famille des forces de l’ordre. Cette affaire doit nous encourager à réfléchir sur la véritable mission de la police et son efficacité qui reste douteuse au vu de la liste des victimes qui s’allonge. Nous protège-t-elle vraiment comme elle le prétend ou préfère-t-elle d’abord protéger ses membres, même s’ils sont corrompus ou meurtriers ? Veut-elle nous laisser dans l’ignorance totale ? Veut-elle laisser régner le chaos dans les rues, laisser les gangs faire leur loi ? Diviser pour mieux régner est-elle sa devise ? » Ca continue. Stanton a déposé un micro dans notre salle, Hotch, après la conférence de presse… Elle a du attendre que nous nous absentions… Le standard téléphonique commence à exploser.
-Storm, a Hotch : Nous venons de perdre toute crédibilité… Qu’est-ce qu’on doit faire ?
-Aaron : Dites à vos hommes d’expliquer qu’il n’y a aucune preuve qui implique un membre des forces de l’ordre, qu’ils ne doivent pas prendre tout ce que dit Genna Stanton pour l’unique vérité. JJ, tu peux gérer tout ca pendant qu’on va sur la nouvelle scène de crime ? David, reste ici. Je t’appelle une fois arrive pour que tu puisses me sortir tout ce qu’il y a à savoir sur la victime. Pour le reste de l’équipe, qu’elle continue son travail.


Dans un appartement, Newark :

La victime était le jeune homme qui était sorti du poste de police en parlant au téléphone. Aaron regardait le corps étendu comme les autres victimes, dans le salon. Storm était avec lui et finissait de discuter au téléphone. Il mit au courant Aaron des nouvelles.
-Storm: Wade Carmino travaillait dans le marketing. Il a passe la nuit du Samedi en cellule pour tapage nocturne, et surtout pour outrage aux agents de police qui sont venus à son domicile.
Aaron sembla réfléchir à la deuxième partie de la dernière phrase de Storm.
-Storm : Agent Hotchner ? A quoi vous pensez ?
-Aaron : Mais oui… Il ne reste plus que ca… Donnez-moi une minute, je vais tout vous expliquer.
Il appela.
-Aaron : Derek ? Est-ce qu’Emily, JJ et toi pouvez regarder dans les dossiers des victimes et interroger les agents qui ont arrêté celles qui étaient fichées comme délinquants et qui ont rédigé les contraventions de Burns pour voir si elles se sont montrées violentes verbalement et/ou physiquement envers eux ? Je pense que les meurtres sont motives a cause du comportement des victimes envers la police… Merci.
Il raccrocha et dit à Storm.
-Aaron : Vous vouliez un argument irréfutable ? Y a-t-il un policier qui s’est fait poignarder par un délinquant ou une personne qui l’aurait insulte ou dont le partenaire est mort de cette façon, il y a plusieurs mois ? Pensez à ceux qui commandent une équipe, qui patrouillent souvent dans les quartiers sensibles et qui sont amenées à consulter souvent les fichiers de la police, les arrestations, les casiers judiciaires… Et surtout, qui agit différemment depuis son agression ou la perte de son coéquipier.
Storm réfléchit. Son expression se figea.
-Storm : Oh non… C’est pas possible… J’ai bien une personne qui correspond à votre description… Et qui vient de prendre un congé…
-Aaron : Ou est-ce qu’elle habite ?
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MessageSujet: Re: Controle de routine   Controle de routine Icon_minitimeLun 24 Mai 2010 - 19:32

Ah si c'est bien un flic, mon hypothèse se vérifie applaud ...!
A parier qu'il était présent aux réunions entre FBI et police locale ! sourit0

En tous cas, cette suite est aussi géniale que les autres ! Tu manies très bien l'intrigue et la vitesse de l'histoire !..

Et c'te journaliste omg Quelle relou, elle deviendrait pas un jour une prochaine cible xD?
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MessageSujet: Re: Controle de routine   Controle de routine Icon_minitimeMar 15 Juin 2010 - 16:27

Et voila la fin!!!


Dans un appartement, Newark :

Genna Stanton rédigeait un nouvel article sur son ordinateur portable quand on frappa à sa porte. La journaliste sortit du salon, longea le couloir qui menait a la porte d’entrée, regarda a travers le judas et ouvrit la porte. Elle se trouva face à face avec le lieutenant Eleanor Kellen, de la brigade anticriminelle, qui rangeait sa plaque dans sa poche avec sa main droite. La gauche tenait un journal enroule.
-Genna : Bonjour, inspecteur… ??
-Kellen : Kellen. Eleanor Kellen. J’ai lu votre article de ce matin.
- Genna : Ne le prenez pas personnellement…
-Kellen : Pas du tout… Je l’ai même adore. Il y a une part de vérité. Si vous me laissez entrer, j’aurai des infos supplémentaires pour vous.
-Genna, avec un immense sourire: Vous êtes la bienvenue.
Genna laissa passer l’inspecteur et referma la porte. Elle ne sut pas qu’elle venait de commettre une grave erreur.


Dans un immeuble, au même moment :

Aaron et Storm longeaient le couloir d’un immeuble. Ils arrivèrent devant une porte. Storm frappa a la porte mais n’obtint aucune réponse. Il fit signe à Hotch. Les deux hommes sortirent leur pistolet puis défoncèrent la porte. Ils fouillèrent chaque pièce, mais l’appartement était vide. Néanmoins, Hotch trouva quelque chose d’intéressant dans la chambre. Une chambre de célibataire. Une chambre de femme célibataire. Il appela Storm. Ce dernier vint et contempla ce qui avait captive l’intérêt de Hotch.
Des extraits de copies de dossiers avaient été colles sur le mur. Il s’agissait de photos prises des victimes lors de leur enregistrement au poste de police (la traditionnelle photo en gros plan dans laquelle la personne portait une plaque avec son nom et un numéro) et des extraits de « faits d’armes ». Storm fut attire par une feuille.
-Storm : C’est la plainte qu’a déposé l’officier Parkley contre Wyler… Il lui avait crache au visage…
-Hotch : Et ici, il y a celle du lieutenant Danton, contre Burns, pour insulte. Il y en a d’autres.
-Storm : Vous aviez raison, agent Hotchner, en disant qu’on serait étonné en découvrant son identité…
-Hotch : Elle est surement partie à la chasse. Je préviens les autres.


Poste de police, dans une salle :

Emily, JJ, Derek et Spencer étaient dans la salle de travail. Spencer était en train de raccrocher son portable.
-Spencer : C’était Hotch. Kellen n’était pas chez elle. Il faut qu’on trouve toutes les plaintes pour outrage a policier et les policiers qui en ont été victimes mais qui n’ont pas porte plainte.
-Derek: Cela va nous prendre des heures… Et si elle est déjà en chasse, on arrivera trop tard… Il faut partir du fait qu’elle a pris un jour de congé à la dernière minute… Cela veut dire qu’elle a une victime en tête…
Le regard de JJ parcourait la table. Soudain, elle s’arrêta sur le journal du jour.
-JJ : Attendez. Je crois avoir une cible parfaite. (Elle prit le journal et montra la une aux autres). Genna Stanton.
-Emily : Vu l’article incendiaire qu’elle vient d’écrire, cela correspond aux critères de Kellen.


Dans le couloir, immeuble dans lequel se trouve le domicile de Genna Stanton, après-midi :

Derek et Emily arrivèrent près de l’appartement de Stanton. Ils portaient leur gilet pare-balles et avaient sorti leur arme de poing. Arrives a la porte, Derek mit son index gauche devant sa bouche. Emily resta silencieuse.
-Derek: J’ai entendu du bruit… Et c’est pas la voix de Stanton… Kellen est en train de l’insulter. Il faut entrer discrètement…
Emily rangea son arme et sortit des tiges metalliques qu’elle inséra dans la serrure. Apres quelques mouvements, elle tourna la poignée et Derek entra le premier. Les deux agents se dirigèrent vers le salon en empruntant le couloir. Alors qu’ils longeaient le couloir, ils entendirent Kellen crier sur Stanton:
-Kellen : Tu sais ce que tu es ? Un ramassis de conneries !! Ca t’éclate de nous humilier avec tes articles pourris ?? Avec tout ce qu’on risque au quotidien pour protéger des bouseux comme toi ??!?!!
Les deux agents du FBI arrivèrent au salon. Kellen leur tournait le dos et tenait un couteau. Genna était agenouillée, les mains menottée derrière son dos. Derek ordonna :
-Derek : FBI !! Les mains en l’air !!
Kellen fit volte-face, et rapide comme l’éclair, elle se plaça derrière Genna et mit son couteau sous la gorge de la journaliste. Elle répondit :
-Kellen : Allez-vous en !!!!!!!!!
-Derek: Je le regrette, Lieutenant. Nous ne pouvons pas.
-Emily, s’approchant : Eleanor, posez ce couteau…
-Kellen : Vous faites un pas de plus et je lui tranche la gorge !!
-Derek : Et demain, tout Newark lira votre nom dans le journal. Tout le monde vous connaitra comme le lieutenant décoré et respecte qui a sauvagement tue une journaliste. A votre avis, de qui aura-t-on pitié et de qui aura-t-on horreur ? On est au courant pour votre agression, Eleanor, et celle de votre coéquipier.
-Kellen : Tout le monde se fout de nous…
-Derek: Moi aussi je suis passe par les insultes quand j’étais en uniforme… Je sais ce que vous pouvez ressentir… Mais je vous en prie, vous avez encore le temps d’arrêter tout ca. Pensez à votre coéquipier… Il ne voudrait pas que sa collègue se transforme en tueuse…
-Kellen : Est-ce que vous avez lu son article ??? Vous avez vu comment elle nous a traite ???
-Emily : Nous l’obligerons à en écrire un autre qui cette fois-ci redorera le blason de la police… Ce sera sa punition… Si vous la tuez, qui le fera ?
-Kellen : Elle en écrira un nouveau ??
-Derek : Oui, absolument.
Kellen regarda Genna, puis lança son couteau sur le sol. Elle s’éloigna de Genna puis mit ses mains sur la tête et s’agenouilla. Emily alla libérer Genna et Derek menotta Eleanor.


Poste de police, fin d’après-midi :


Kellen était assise dans une salle d’interrogatoire. Derek et Emily enregistraient ses aveux. Kellen semblait présente physiquement, mais ailleurs, intellectuellement.
-Kellen : Il y a 8 mois, John et moi, on venait de prendre la relève à Foxrow… Ce jour la, c’était la routine. Puis on a vu cette voiture rouler trop vite. On l’a coincée. On allait lui coller un PV pour excès de vitesse. Le chauffeur était membre d’un gang. John l’a fait sortir de sa voiture, lui a demande ses papiers pendant que moi je fouillais la voiture. Et puis le gars s’est mis à nous insulter… « Bande d’enfoires, vous me coller un PV parce que vous pouvez pas nous chopper »… « Sales keufs, vous feriez mieux de déguerpir avant qu’on vous trucide »… John lui a dit de se taire…
-Derek : Et il vous a attaques.
-Kellen : Deux coups de couteau pour John, un pour moi. Il nous à bien regarde nous vider de notre sang, en ricanant, et ensuite, il est parti. Un peu plus tard, une voiture est passée… D’autres délinquants. Ils ne se sont même pas arrêtés. « Alors, on aime bien le sol, les poulets ? Bande de triso » nous ont-ils lance…
-Emily : Ca vous a mis en rage. Alors vous avez décidé de vous attaquer aux personnes qui manifesteraient un tel irrespect envers la police. Vous les choisissiez grâce aux archives du poste et aux discussions avec vos collègues, et en fonction des quartiers que vous étiez amenée à surveiller. Vous aviez une grande marge de manœuvre.
Kellen réagit.
-Kellen : Nous, on risque tous les jours notre peau pour protéger les gens. Et comment on nous remercie ? On se fait insulter. On se fait ridiculiser. On se fait tirer dessus. Et ca ne scandalise personne ?? Et quand c’est un flic qui tire pour se défendre et touche quelqu’un, ou qui par inadvertance lâche un mot inapproprié, ou maitrise un individu avec un peu trop d’entrain, on crie tout de suite a la bavure, la brutalité policière. Vous trouvez ca normal ?? Il fallait réagir !! Y mettre un terme !!
-Derek: Vous les avez donc tues…
Derek posa sur la table toutes les photos des victimes.
-Kellen : Exactement… (Elle montra avec son index la photo de Grundig) Sauf celle la.
-Derek: N’essayez pas de vous défiler.
-Kellen : Je ne me défile pas du tout. Je vous dis que je ne l’ai pas tuée.
Derek et Emily se regardèrent, perplexes.


Emily et Derek venaient de sortir de la salle d’interrogatoire. Ils tombèrent sur Aaron.
-Aaron : Alors ?
-Derek: On a ses aveux complets, mais elle affirme ne pas avoir tue Erica Grundig.
-Emily : Qu’est-ce qu’on sait sur son frère, Peter ?
-Aaron : Qu’est-ce qui te permet de penser que c’est lui ?
-Emily : Et bien, Erica n’avait pas de casier… Que faisait-elle dans cet immeuble sordide ? Et surtout, comment se fait-il que son frère soit arrive aussi vite sur les lieux ?
-Derek: Admettons… Pourquoi aurait-il tue sa sœur ?
-Aaron : Allez vous reposer. Nous continuerons demain.


Poste de police, le lendemain après-midi :

Toute l’équipe était réunie dans leur salle de travail pour voir et écouter Garcia, grâce à un ordinateur portable.
-Penelope : Messieurs dames, bonjour. J’espère que vous êtes bien installes car j’ai plusieurs révélations à vous faire sur Peter Grundig.
-Derek : On est prêt, Garcia…
-Penelope : Peter Grundig travaille dans une agence de voyages personnalises. Mais plusieurs fois par an, jusqu'à l’année dernière, il se rendait au Mexique pour une période de cinq jours. Toujours un aller simple et il rentrait aux Etats Unis via la frontière entre Ciudad Juarez et El paso. J’ai fait ma fouineuse en tentant de découvrir ce qu’il pouvait bien faire dans cette ville mexicaine qui n’est pas vraiment l’endroit idéal pour des vacances. Et j’ai trouve son nom dans un rapport de police, concernant l’exécution d’un dealer. En fait, un témoin avait raconte qu’un certain Grundig avait paye pour l’exécution et comme par hasard, ce même témoin est mort d’un accident de voiture quelques jours plus tard. L’affaire a été classée car la police pensait que le témoin était loin d’être fiable.
-Spencer : Notre homme serait implique dans le trafic de drogue... Sa sœur l’a surement découvert et elle a voulu l’espionner… Mais cela a mal tourne…
-David : Erica était surement en train de faire sa petite enquête. Il y a plusieurs dealers qui mènent leurs activités dans le quartier ou elle est morte. Son frère a su qu’elle savait. Il l’a suivie et l’a fait taire… Et comme il doit avoir des contacts avec d’autres dealers, ils a du entendre parler de la façon dont Kellen avait tue ses victimes… Une visite s’impose.
-Penelope : Je vous envoie son adresse.
-Aaron : David et moi, on va chez lui. Vous autres, retournez à l’ endroit ou Erica est morte. Interrogez les gens du quartier. Il est probable que Peter mène ses affaires dans ce quartier, d’où la présence d’Erica, et que quelqu’un l’a vu.


Immeuble dans lequel Erica Grundig est morte, plus tard :

JJ, Emily, Derek et Reid arrivèrent dans leur 4*4 et se garèrent devant l’immeuble en question. Les agents sortirent du véhicule.
-Derek : Ok, on se separe. Emily et moi allons commencer par cet immeuble. JJ et Reid, prenez celui de gauche.


Dans l’immeuble délabré ou Erica avait été tuée, Derek prit les étages supérieurs et Emily les autres. Bien entendu, personne ne voulut les aider car les occupants des appartements avaient tous un lien profond avec les stupéfiants. Alors que Derek se faisait claquer la porte au nez au sixième étage, il aperçut Peter Grundig, sortant d’un appartement, sac à dos sur le dos.
-Derek : Peter Grundig ? FBI !
Peter aperçut Derek et détala. Derek prit son arme et appela ses collègues avec son micro et leur donna sa position. Il suivit Peter dans les escaliers.
Emily entendit l’appel de Derek et se précipita vers les escaliers, en brandissant son arme. Malheureusement, elle ne put rien faire car Peter fonça droit sur elle et la bouscula dans les escaliers. La jeune agent tomba dans les escaliers. Derek la rejoint.
-Derek : Emily !!
-Emily : Ca va, ca va… Vas-y, continue !
Derek laissa Prentiss.


Peter Grundig sortit de l’immeuble. Il fut stoppe sur le trottoir par Reid, face a lui, qui le tenait en joue.
-Spencer : Plus un geste !!
Peter voulut s’échapper par une autre direction, mais JJ lui barrait le passage.
-JJ : N’essayez pas…
C’est alors que Derek arriva.
-Derek : Mettez les mains sur votre tête et agenouillez-vous !
Peter, coince, dut obéir. Derek rangea son pistolet, arracha le sac a dos du dos de Grundig et lui passa les menottes. Emily fit son apparition, sa main gauche caressant son bras droit meurtri à cause de sa chute.
-JJ : Ca va, Prentiss ?
-Emily : Oui. T’en fais pas pour moi.
Emily ramassa le sac à dos et l’ouvrit. Elle en sortit des sachets de poudre blanche. Elle regarda Peter :
-Emily : Vous avez préféré tuer votre propre sœur pour protéger vos affaires ?!?!
-Peter : Elle n’avait qu’à pas s’en mêler… C’est de sa faute si elle est morte…



Poste de police, fin d’après midi :

Aaron passa dire au revoir au capitaine Storm. Il le trouva assis à son bureau, l’air pensif. Aaron frappa à la porte puis entra. Ceci eu pour effet de faire sortir Storm de ses réflexions.
-Aaron : J’espère que je ne vous dérange pas.
-Storm : Pas du tout. En fait, j’étais en train de penser…
-Aaron : A Kellen ?
-Storm : Aujourd’hui, je viens de mettre en examen l’un de mes lieutenants, l’un des meilleurs… J’éprouve a la fois de la colère car elle a déshonoré l’uniforme, mais je ne peux pas m’empêcher d’éprouver de la compassion… Et en même temps, je me sens coupable de n’avoir rien vu venir… Ces hommes et ces femmes sont comme une deuxième famille pour moi, c’est comme si j’avais du mettre en prison ma propre fille…
-Aaron : Je sais que c’est dur. Mais vous devez savoir que ce n’est pas de votre faute si Kellen a fait ce qu’elle a fait.
-Storm : J’aurai du mieux la surveiller après son agression, mais elle avait l’air d’aller bien…
-Aaron : Ne le ressentez pas comme un échec, cela ne servira a rien. Ce qui est arrive est arrive. Maintenant, ne l’abandonnez pas totalement non plus. Rappelez-vous qu’elle a été l’un des membres de votre seconde famille.
-Storm : Merci pour votre aide, agent Hotchner.
Il serra la main d’Aaron. Ce dernier partit et une fois sorti du bureau de Storm, il se retourna une dernière fois. Storm s’était rassis à son bureau, pensif. Aaron connaissait bien le sentiment qu’un chef pouvait avoir après que l’un de ses hommes ait tue une personne. Il le connaissait parce qu’il avait vécu la même situation, sauf qu’il n’avait pas eu a arrêter son agent, l’agent Greenaway. Il regarda alors la salle dans laquelle son équipe avait travaille : Emily, Spencer, JJ et Derek rangeaient les dossiers. Apparemment, Spencer venait de dire quelque chose d’étrange car ses trois collègues le fixaient avec de grands yeux et Derek secouait la tête pour dire que Spencer pouvait être vraiment trop bizarre parfois. Aaron espérait qu’il n’aurait jamais à revivre une situation similaire. Et pour cela, si jamais l’un de ses agents traversait une épreuve, il serait la pour veiller sur lui, quoiqu’il en dise. Il ne vit pas Rossi qui s’était approche de lui. Ce dernier devait lire dans l’esprit d’Aaron car il lui dit :
-David : Ne t’inquiète pas, ils sont robustes.
-Aaron : C’est ce qu’on dit toujours, avant de passer a l’irréparable.
-David : J’ai confiance en toi et ils savent que tu seras la pour leur remonter les bretelles… Allez, allons les aider à ranger.


Citation: Pythagoras asks that we not let a friend go lightly, for whatever reason. Instead, we should stay with a friend as long as we can, until we're compelled to abandon him completely against our will. It's a serious thing to toss away money, but to cast aside a person is even more serious. Nothing in human life is more rarely found, nothing more dearly possessed. No loss is more chilling or more dangerous than that of a friend. Thomas Moore

(Bon, la, mea culpa, j’avoue que l’ai eu la flemme de traduire… Veuillez m’excuser pour cette paresse, je viens de passer trois heures devant mon ordinateur et j’ai mal aux yeux)


J’espère que cette histoire vous a plue. Merci pour l’avoir lue et pour vos commentaires ! A une prochaine fic !
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lilou
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MessageSujet: Re: Controle de routine   Controle de routine Icon_minitimeMar 15 Juin 2010 - 17:17

J ai beaucoup aimé! C est une bonne intrigue,on a tous les personnages de l équipe, y a un bon rythme, ça se lit facilement, on visualise les scènes non vraiment c était très bien.un tit épisode de CM en ligne. Bravo a toi on passe un bon moment en te lisant. applaud
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HOTCHKISS
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MessageSujet: Re: Controle de routine   Controle de routine Icon_minitimeMar 15 Juin 2010 - 17:44

Génial !!!! applaud applaud applaud applaud applaud
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MessageSujet: Re: Controle de routine   Controle de routine Icon_minitimeMer 16 Juin 2010 - 18:53

Rah, pour une fois que j'avais quasi tout deviné !..Finalement, mon pif n'est pas mauvais xD !..

Et bien, c'était une très bonne histoire, avec une bonne intrigue..peut-être un peu courte, mais bon, on n'aime pas tous les histoires longues xD !

J'espère en voir une prochaine très vite sourit2
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MessageSujet: Re: Controle de routine   Controle de routine Icon_minitimeDim 20 Juin 2010 - 16:45

Merci beaucoup pour vos messages! Very Happy Ils m'encourangent a ecrire.
Je suis contente que cette histoire vous ai plue. J'avais peur que vous n'aimiez pas les fics qui reprennent le meme schema que la serie.

lolOw: Esprits Criminels (et LES esprits criminels) n'ont plus aucun secret pour toi. Wink

Allez, si vous etes partant pour une plus longue histoire riche en suspens, mechants, drames (je me permets de faire un peu de pub, ne m'en veuillez pas, ce n'est pas du tout de la pretention Razz ), je vous donne rendez-vous a la fic suivante, intitulee "L'enquete ou tout a bascule".
Vous trouverez le lien dans ma signature.
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MessageSujet: Re: Controle de routine   Controle de routine Icon_minitime

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