48 Heures Trop Tard

j'ai lu ton prologue sur ff.net (et pas laissé de com' comme souvent)
j'ai bien aimé, je trouvais que tu rendais bien l'univers et l'ambiance de la série. Tu m'as donné envie de la continuer...
je compte lire la suite ^^

Bon les deux semaines sont passées non ?
Super ce chapitre que j'attendais plus xD
Suiiiiiite !

BN, j'aurais une suite à lire à mon retour de Pragues?

Rhoo merci tout le monde ^^

Euh, ça dépend Lily, tu reviens quand ?

De Pragues, je reviens le 14 ou le 15! Après, je suis 10jours chez ma marraine, mais je devrais pouvoir me connecter, mais sûrement pas autant que maintenant!

Il y a de forte chance que j'ai posté une suite !

YEEAAHH! Viva BN!

j'adore !
j'avais déjà lu ta fiction sur FF.net, et j'attends la suite avec impatience !

Merci AbbyCath .
Le chapitre 6 est presque terminé, y a juste un petit problème niveau chronologie ^^ donc je devrais le mettre d'ici peu

SUPER c'est une trés bonne nouvelle ta fanfic est vraiment super car comme je te l'ai déjà dis elle me fais penser à une série que j'adore également (mais pas autant que CM) et j'ai hate de connaitre la suite.
Hip hip hip hurah vive toi.
Biz,biz.

Roooh, mais c'est quoi ce travail? J'attendais une suite moi!

Bon, OK, ma gue**e! J'attendrais patiemment, ma BN de poche me tient compagnie là!

ouhaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa j'adoreeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
je veux la suite sitoplais

Merci à tous !
Merci de prendre le temps de lire ma fic' lol .

Sinon, comme promi, la suite
un immense MERCI à ma Chookynette qui m'a corrigé, et y a du boulot .

**************************



8 janvier 2007, milieu de l’après midi.

*Près du domicile de l’agent Hotchner*

En attendant que la police locale ou Garcia trouvent quelque chose au sujet du macchabée sur la pelouse, Emily alla réinterroger la vieille dame. Elle était restée devant chez elle, malgré tout ce remue-ménage. Elle se tenait bien droite, regardant ce qui se passait. Elle avait ses deux mains posées sur le manche d’un balai qu’elle avait devant elle. Voyant l’agent du FBI s’approcher, elle la regarda en faisant des mouvements avec sa tête de gauche à droite, comme pour montrer une certaine désespérance en voyant ce genre de spectacle :

Mamie : « Ils ne m’écoutent jamais ! »
Emily : « Je vous demande pardon ? »
Mamie : « La police... Je les appelle souvent, mais ils ne m’écoutent jamais. Et là j’avais raison, n’est-ce pas ? »

C’était ça le problème. C’était une petite mamie qui s’ennuyait, alors elle passait son temps à regarder par la fenêtre pour surveiller les mouvements de ses voisins. Elle téléphonait à la police pour un oui, pour un non. Il est presque normal qu’ils n’aient pas prêté attention à son dernier appel, le seul qui en valait vraiment la peine. Son dernier coup de fil au 911 remonte à quelques heures avant que ces individus entrent dans la maison de Hotch. Elle avait signalé un rôdeur... Mais une fois la police sur place, il s’est avéré que c’était simplement un homme qui se promenait là. Les policiers sont retournés au poste de police en se jurant de ne plus répondre aux appels de ce petit bout de femme... Protéger et Servir, ils ont dû oublier pourquoi ils étaient entrés dans les forces de police. Si seulement ils s’étaient déplacés, si seulement cette petite mamie n’ameutait pas la police pour un rien, si seulement... Avec les « si » on refait le monde. Et si la chance, le destin, la vie... le hasard... Peu importe le nom qu’on lui donne, n’était-ce qu’une réaction en chaîne d’erreur humaine, et qui a des conséquences sur la vie de quelques individus ?

Emily savait que cette petite mamie n’allait rien lui apprendre de nouveau, alors elle décida d’aller voir l’ex-femme de Peter McCornick, la première victime...
Elle arrivera quelques minutes plus tard devant cette magnifique maison en périphérie de Washington. Une sedan blanche devant la porte du garage prédominait cet endroit. L’agent arrivait devant la porte d’entrée, frappa deux fois et entendit une petite voix étouffée par la tristesse lui demandant de patienter. C’est ce que fit Emily, rencontrer des personnes qui viennent de perdre un être cher n’est jamais une partie de plaisir mais ça fait parti du boulot.
Quelques secondes s’écoulèrent, quand la poigné de la porte tourna, Prentiss, recula d’un pas...

- Bonjour, je suis Emily Prentiss du FBI.
- Bonjour.
- Désolé de vous déranger dans de telles circonstances, madame, mais j’ai besoin de vous poser quelques questions au sujet de votre ex-mari.
- Mais, j’ai déjà tout dit à la police. Pourquoi vous ne me laissez pas en tranquille ?
- Je comprends madame, mais...

La perception de l’agent se troubla, sans doute un effet secondaire du coup reçu à la tête. Elle fit la grimace et commença à fermer ses paupières en espérant que ce n’était que de passage...

- Vous allez bien ? inquiète.
- Oui... C’est que... Oui ça va... ça va passer, juste un instant...

Elle s’appuya contre le mur comme pour essayer d’éviter de tomber, prit une forte inspiration, comme pour se calmer... Mais ça ne passait toujours pas. Sa vue devenait de plus en plus trouble quand un mal de tête prit le dessus...

- Ne restez pas debout, venez vous installer sur le canapé.

L’ex madame McCornick emmena Emily sur le canapé.

- Merci. Je suis désolée d’abuser de votre gentillesse... Mais est-ce que vous avez quelque chose contre le mal de crâne ?
- Oui, oui, bien sur. Je reviens.

Quelques instants plus tard, elle revenait avec un verre d’eau et le « quelque chose » qu’Emily attendait tant.

- Merci.
- Cela vous arrive souvent d’avoir ce genre de malaise ?
- Euh, non, non... Mais recevoir un coup sur la tête peut avoir des effets imprévisibles...
- Et vous n’êtes pas restée à l’hôpital ?
- Non, j’ai autre chose en tête, si je peux dire.
- Vous devriez, ça peut être méchant un coup sur la tête.

Une petite conversation s’était engagée entre les deux femmes, comme si elles étaient voisines. Mais l’agent se devait de recadrer la conversation à un niveau plus professionnel.

- Il faut que je vous pose quelques questions au sujet de votre ex-mari...
- Je vous écoute.
- Pardonnez-moi, d’être aussi directe, mais... Comment s’est passé votre divorce ?
- Oh... Bien, Peter et moi, on est... était... arrivé à un point où on ne se comprenait plus, où l’amour des premiers jours avaient disparu... On ne s’aimait plus comme au début... vous voyez. Mais plutôt comme des amis. Alors on a décidé de divorcer, et on était resté en bon terme, on se voyait de temps en temps, on sortait ensemble comme des amis pourraient le faire.
- Est-ce que vous lui connaissiez des ennemis ?
- Des ennemis ? Non... Il était gentil, à l’écoute des autres, c’était un bon copain. Je ne vois pas pourquoi quelqu’un lui voudrait du mal.
- Comment s’est déroulée la procédure de divorce ?
- Le plus simplement du monde. On est allé voir ensemble nos avocats, on s’est partagé les biens... et le juge a validé notre divorce... (Elle sourit un court instant) Je dois dire que notre divorce s’est mieux passé que notre mariage.

L’agent pouvait voir que son interlocutrice commençait à être submergée par les larmes...

- Pourquoi... Pourquoi on ne se rend compte de ce qu’on avait qu’une fois l’avoir perdu ?

En voilà une excellente question... Sommes-nous égoïste au point de devoir affronter la mort, de prêt ou de loin, pour se rendre compte de ce qu’on avait ? Sommes-nous à ce point aveugle ? Je ne pense pas.
On pense toujours avoir le temps de dire aux personnes, qui nous entourent, qu’elles comptent à nos yeux. Le temps... une notion si abstraite, si aléatoire qu’on pense toujours, à tort, en avoir assez.
Mais une fois avoir perdu cette chance, il ne reste plus que les regrets, les remords et le silence qui nous hante, des jours, des semaines, des mois, voir des années. Car c’est bien ce qu’on ne fait pas qui nous fait le plus souffrir... « Si j’avais su... » Est une phrase qu’on garde à jamais gravée.

Prentiss prit congé et sortit de la maison et informa immédiatement ses collègues de son entretien, en omettant le fait qu’elle avait eu des vertiges...

- Morgan. C’est Emily.
- Ah ! Emily, tu as du nouveau ?
- Je viens d’interroger madame McCornick, ils ont divorcé par consentement mutuel devant leur avocat et un juge. Ils sont restés en bon terme et ils continuaient de se voir. Bref, on peut déjà l’exclure de la liste des suspects. Malgré le divorce, je crois qu’elle l’aimait encore.
- Tu as appris quoi d’autre ?
- Elle ne lui connaissait aucun ennemi... Vous êtes allés interroger l’ex-femme de la deuxième victime, Mitchel Graham ?
- Non, pas encore, JJ est en route. Et je vais aller avec Reid, voir Kimberly Stevenson, la compagne de la dernière victime, Kevin Stevenson...
- Pour le moment, le seul point commun qu’on a, c’est que les victimes étaient soit divorcées, soit sur le point de l’être...
- Je vais demander à Garcia de creuser la piste dans les tribunaux, peut-être qu’ils ont quelqu’un en commun dans leur dossier...
- Ouais bonne idée...

* Prêt du domicile de Mitchel Graham *

De son côté, JJ arrivait devant la maison de Stéphanie Graham, la compagne de la 2ème victime, Mitchel Graham. Elle sonna plusieurs fois, mais elle n’eu que pour réponse le silence le plus complet. Une petite enquête de voisinage s’imposait donc... L’agent regarda furtivement autour d’elle à la recherche du « voisin » qu’elle allait interroger pour sa petite enquête, quand son choix se fixa sur une sympathique petite maisonnette... Une pelouse parfaitement entretenue, avec une petite allée qui menait au garage. Des fleurs par-ci par-là donnaient un côté charmant à la bâtisse, malgré la façade qui criait haut et fort les années qu’elle avait traversées puisque la légère teinte beige du bois laissait entrevoir les marques du temps. JJ arrivait devant la porte de cet endroit, et frappa plusieurs fois quand quelqu’un finit par ouvrir :

- Bonjour, je suis désolée de vous déranger.
- Bonjour...
- Je suis l’agent, Jennifer Jareau du FBI.
- Le FBI ?
- Oui, vous savez où je peux trouver votre voisine, Stéphanie Graham ?
- Elle n’est pas chez elle ?
- Non, j’y suis allée, mais il n’y a personne.
- Ah... Essayez aux Entreprises Forman alors... C’est là où travaillait son mari avant d’avoir son accident sur un des chantiers et avant qu’il... Une minute... Vous enquêtez sur la mort de Monsieur Graham ?
- Oui, madame.
- Vous avez des pistes ?
- On avance, mais je ne peux pas vous en dire plus sur une affaire en cours...
- Oui, je comprends.
- Merci pour votre aide.
- Je vous en prie, j’espère que vous allez trouver le responsable.

Sur ces mots, l’agent se rendit aux Entreprises Forman...

* Sur le chemin de l’hôpital *

De leur côté, Morgan et le petit génie étaient en route pour aller rencontrer, Kimberly Stevenson, la compagne de Kévin Stevenson, la dernière victime encore en vie, mais qui se trouvait dans un état critique à l’hôpital.
C’est en se rendant au chevet de Monsieur Stevenson, qu’ils virent qu’il était sorti du coma, coma que les médecins avaient provoqué pour lui éviter de souffrir... Malheureusement il ne lui restait que quelques heures à vivre. L’hémorragie interne était bien trop importante pour qu’il ait une chance de s’en remettre, alors pour permettre à son ex-femme de lui dire adieu, les médecins l’ont sorti du coma en réduisant ses médicaments qu’ils lui administraient par intraveineuse. Maintenant, il n’y avait que la Morphine qui pouvait l’aider à « supporter » ses derniers instants pendant qu’il disait adieu à son ex-femme.

Que pouvaient-ils bien se dire dans cette chambre ? Qu’ils s’aiment encore ? Qu’elle aimerait qu’il reste, mais que, malheureusement, ça ne dépendait pas de lui... Puis les mots laissèrent la place au silence, un silence ponctué par le « bip » continue de l’électrocardiogramme. La main dans la main, ils restèrent là, à se regarder dans les yeux... Ce « bip » devenait de plus en plus rapide. On pouvait voir la dernière victime, de ce tueur en série commencer à chercher sa respiration. Ses yeux se fermèrent doucement, sur ce qui allait rester la dernière chose qu’il emmènera précieusement avec lui jusqu’à sa dernière demeure, le regard de son ex-femme. Sa main, qui au départ tenait fermement celle de « Kimi », comme il aimait l’appeler, commençait à relâcher sa pression pour ne devenir qu’une main inerte, sans vie. Le « bip » qui au départ avait un tempo régulier s’était transformé en un et même son, un « bip » continue, sorte de chant de la mort. L’équipe médicale entra dans la pièce et quelques secondes après, l’heure du décès était prononcée...

L’ex Madame Stevenson était assise là, tenant toujours la main de ce corps sans vie, malgré les circonstances, les agents se devaient de lui poser quelques questions :

- Kimberly Stevenson ?
- Oui ? fit elle d’une petite voix enrouée...
- Toutes mes condoléances, madame... Je suis l’agent spécial, Derek Morgan, et voici le docteur Spencer Reid. Nous sommes du FBI...
- FBI ?
- Oui, Madame.
- Pourquoi le FBI ?
- Madame, votre mari est la troisième victime d’un tueur en série.
- Troisième ? Mais... Combien en faut-il pour que le FBI s’y intéresse, hein ?

Morgan ne su pas quoi répondre, il se contenta d’insister...

- Madame, je me dois d’insister, on aurait quelques questions à vous poser... Est-ce que Monsieur Stevenson vous a dit quelque chose sur ce qui lui est arrivé ?
- Il... Il y avait un autre homme, là-bas ?
- Un autre homme ?! s’exclama rapidement Reid.
- Oui... Il m’a dit qu’ils ont essayé de s’enfuir ensemble, mais ça n’a pas marché... C’est pour ça que vous êtes ici ? Essayez de retrouver cet homme ? Pour essayez de le retrouver avant qu’il ne lui arrive la même chose ?
- Oui, madame. Pouvez-vous nous en dire plus sur l’autre homme ?
- Kévin s’en veut... (Elle serra plus fort le mouchoir qu’elle tenait déjà fermement) S’en voulait, devrais-je dire... Il m’a dit qu’ils ont essayé de s’enfuir mais qu’ils n’ont pas pu. L’autre homme qui a disparu, il s’est fait rattraper par celui qui a fait ça à, Kévin. Il m’a dit qu’il aurait voulu rester pour l’aider, mais il voulait tellement revoir nos enfants... Il pensait sortir pour aller chercher de l’aide, mais il est tombé dans les escaliers et... Il...

Les larmes commencèrent à couler le long de ses joues, ses yeux noyés derrière tant de chagrin...

- Comment, comment je vais l’annoncer aux enfants ? Comment leur annoncer que leur père ne viendra plus les prendre à l’école, comment leur annoncer qu’ils n’iront plus faire du vélo ensemble ?

Morgan prit place à côté d’elle, il se contenta de poser une main sur son épaule, comme pour lui donner du courage...

« Dans la vie on ne regrette que ce qu'on n'a pas fait. » Jean Cocteau.

c'est trop court ! lol
non, sérieusement, j'aime beaucoup ta fiction ! enquête prenante, où on reconnait bien les personnages... c'est vraiment génial !
vivement de lire la suite !!

Wahou, super suite vraiment
Ta fiction est vraiment géniale, et j'adore

Vivement la suite

Merciiiii !

Trop court !!!? moi qui trouvait ce chapitre long !

Je viens de rattraper mon retard!! J'ai donc lu toute ta fic et vraiment je trouve ça super!
En même temps ça m'étonne pas vu que tu as toujours des scénars géniaux sous la main à nous proposer (notamment pour emettre des hypothèse sur la saison5!!mdr)!
En tout cas bravo, j'aime beaucoup l'histoire (même s'il n'y pas Rossi!!^^ )

rhoooooo mercii anthony258 ^^

Oui désolé pour Rossi, mais je préférais ne pas le mettre au lieu de dire n'importe quoi, parce qu'à l'époque je cernais pas le personnage.

^^ je t'en veux pas t'inquiète, je comprends bien!!Et puis c'est très bien comme ça!! mais c'est sûre ça aurait été encore mieux avec lui en plus!!mdr nan j'arrête!! désolé c'est côté rossiaddict qui dit ça!!^^ je déconne!!
non franchement super!!

Diiis, tu nous réserves un truc pour Prentiss ? T'as l'air de bien insisté sur ses maux de crâne (Tu connais le dicton, quand on est sadique, on le reste )
Sinon, oui, ça, c'est une petite suite et j'insiste bien sur le petite xD ! Mais elle est bien..Tu nous emmènes lentement sur les pistes du tueur..(mais qu'est-ce que j'raconte..)
Bref, tape vite sur ton petit clavier pour nous donner la suite ! (J'ose même pas imaginer le temps que tu vas nous faire attendre.. )

SUPERRRRRRRRRR c'est genial
a quand le suite ? le plus vite possible j'epere
en tout ca encore bravo j'adore

Merkiiiiii

Je peux pas faire plus vite lol, à cause du boulot bouuuh, j'aimerai écrire tout le temps mais je peux point Et j'suis du genre trop pointilleuse lol parce que pour écrire un chapitre, je relis les précédents tout le temps ^^

Petite ?!!! hum hum ^^

lolOw a écrit:

Diiis, tu nous réserves un truc pour Prentiss ? T'as l'air de bien insisté sur ses maux de crâne (Tu connais le dicton, quand on est sadique, on le reste )

A ton avis pourquoi dans le premier chapitre qui se passer vers la fin de ma fic', je ne parle pas de Prentiss ...

BlackNight a écrit:

lolOw a écrit:

Diiis, tu nous réserves un truc pour Prentiss ? T'as l'air de bien insisté sur ses maux de crâne (Tu connais le dicton, quand on est sadique, on le reste )

A ton avis pourquoi dans le premier chapitre qui se passer vers la fin de ma fic', je ne parle pas de Prentiss ...

Je me disais bien aussi..mais tu sais, le 1er chap', j'l'ai lu y'a..bah, y'a..6 mois..enfin, y'a super longtemps..tu venais de poster sur FF.net. Donc quand même lOol ^^ Sois pas trop méchante tout de même (mais un peu quand même xD..la fille qui sait vraiment pas ce qu'elle veut ^^)

mdr

euh, si tu l'as lu quand je l'ai mise sur FF.net, ça remonte à plus de 6 mois Published : 12-22-07, ça remonte quand même lol

BlackNight a écrit:

mdr

euh, si tu l'as lu quand je l'ai mise sur FF.net, ça remonte à plus de 6 mois Published : 12-22-07, ça remonte quand même lol

Euh, ouais..Peut-être pas direct alors..mais..franchement, ça date ^^ Même plus de 6 mois, j'en suis sûre..! Mais, avec tout ce que je lis, te dire quand je l'ai commencé, ça serait un exploit. Mais j'viens de refaire un tour sur FF.net xD ^^ J'ai survolé le chapitre..et c'est bon, j'suis reuh à jour xD !