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Adie
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MessageSujet: Re: Totally Reid Team (T.R.T)   Totally Reid Team (T.R.T) - Page 16 Icon_minitimeJeu 17 Juin 2010 - 22:37

Oh dur... Je hais le réveil XD
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Nessie
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Nessie


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MessageSujet: Re: Totally Reid Team (T.R.T)   Totally Reid Team (T.R.T) - Page 16 Icon_minitimeJeu 17 Juin 2010 - 22:41

Ah ! Toi aussi tu dis : Oh dur !

Oui, moi aussi. Surtout quand je rêve de Matthew. Quand je cauchemarde c'est mon sauveur love_4 mais sinon c'est mon ennemi ! :rahhnonnn:
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Adie
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MessageSujet: Re: Totally Reid Team (T.R.T)   Totally Reid Team (T.R.T) - Page 16 Icon_minitimeJeu 17 Juin 2010 - 22:46

Lol oui.
Moui mais à la limite quand on fait un cauchemar on peut aussi se réveiller toute seule, mais un rêve...
Moi ça fait super longtemps que je n'ai pas rêvé de MGG soupir1
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Luce
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Luce


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MessageSujet: Re: Totally Reid Team (T.R.T)   Totally Reid Team (T.R.T) - Page 16 Icon_minitimeVen 18 Juin 2010 - 17:20

Nessie a écrit:
Oh ma pauvre chérie Sad je sais se que sa fais !
Une fois ma meilleure amie a failli mourir car elle m'a reveillé pendant une scène avec Reid ! Twisted Evil

Si tu veux continuer ton rêve, pense y a fond, ne pense qu'a sa pendant que tu essaye de dormir, et normalement tu revera de lui. Moi je fai sa et sa marche ! Very Happy Defois !

J'ai essayé cette nuit =)
Mais ça a pas marché triste6
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enilec21
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MessageSujet: Re: Totally Reid Team (T.R.T)   Totally Reid Team (T.R.T) - Page 16 Icon_minitimeSam 19 Juin 2010 - 21:40

Je vais vous raconter le rêve sur lequel je suis en ce moment. Il faut d'abord s'imaginer que Reid et moi on est ensemble et que je travaille au FBI avec eux tous, mais que bien que notre relation n'est secréte pour personne, pour ne pas genêr le bon déroulement de notre travail, nous ne l'exposons pas tous les jours aux yeux de tous surtout lorque nous sommes sur des enquêtes. Au bureau, un petit bisou de temps en temps ou un petit geste tendre est tolérer... drunken

Je vais vous raconter le "mini-épisode" en rêve.

Ce jour là je ne travaillais pas et Hotch m'avait confié la garde du petit Jack auxquel je suis très attaché. Jack et moi on passe la jounée à se ballader et à jouer mais voilà quand rentrant de la promenade en tout début d'après-midi, quelqu'un sonne à la porte de chez Aaron chez qui nous étions rentré. Malheureusement, n'étant pas sur mes gardes, je ne pensais pas que Jack et moi allions nous faire enlever par la personne qui se trouvait derrière la porte.

Séquestrée , le kidnappeur, n'arrêtait pas de me rouer de coup en me répétant la phrase "c'est pour lui, comme ça tout sera fini" et après toi ça sera le petit.... Je ne comprenais rien du tout à ce qui se passait et je ne pensais qu'à une chose, mettre jack à l'abri...et bien sûr prévenir l'équipe du problème et surout reid, il fallait qu"il vienne me sauver.

Un moment d'inattention du kidnappeur j'arrive à murmurer à Jack d'aller se cacher à l'intérieur de la boite de jouet qu'on venait de déposer dans le garage et surout de ne sortir que si il m'entendait moi ou sont père l'appeler, de ne surout pas sortir si il entendait quelqu'un d'autre l'appeler car ça pouvait être un méchant qui s fait passer pour un gentil. C'était LA GROSSE RECOMMANDATION que je lui fait "tu ne sors que si c'est moi ou papa"...(il est trop petit il est incapable de reconnaitre les voix des autres membres de l'équipe et il ne faut pas que le kidnappeur puisse le leurer donc je n'ai pas le choix que de lui faire promettre de sortir que si c'est moi ou hotch...et son père sera forcément là quand ils se rendront compte qu'on est en danger) :talk:

Le kidnappeur revient et se rend compte que jack n'est plus là. Il me demande où il est et comme je ne veux pas lui répondre il me roue de coup. J'ai mal de partout, et je me dis qu'il faut absolument que j'arrive à les prevenir car nous sommes quand tout début d'après-midi et hotch et reid ne rentre que tard le soir et ne se rendront pas compte que nous sommes en danger avant qu'ils rentrent et d'ici la je serais peut être morte et le kidnappeur risque d'avoir trouver jack et lui avoir fait du mal.

Ma croyant dans les vappes à force de ma frapper, le kidnappeur part chercher jack en l'appelant. C'est alors que je parvint à attraper mon téléphone portable et que j'envoie un sms ou il est simplement maque "Help" . Mais je réfléchi que même si Reid est la première personnne à qui je pense l'envoyer, ils seront que je suis en danger mais pas où nous trouver alors que si je l'envoie à Hotch, ce ne sera pas quelque chose de "normal" et puisqu'ils sont analyste du comportements ils comprendront facilement que si je lenvoie à Hotche, nous sommes en danger sur un lieur familier à Hotch. Mon téléphone était tellement en piteuse état car il avait ramasser autant de coup que moi qu'après avoir envoyé ce SMS, il rendit l'âme...Heureusement que j'ai eu le reflexe de le cacher sur moi§§§

Au BAU, Hotch réceptionne mon SMS et appelle reid de suite. Reid commence à s'inquiéter pour moi et demande à Hotch dans la panique "mais pourquoi à vous et pa à moi puisque nous sommes ensemble?". Hotch lui répondi qu'il il avait forcement une raison et il réunit l'équipe et ils ne tardirent pas à comprendre la raison.

Hotch : "C'est notre priorité numéro 1"
Morgan "Reid, ou-est- ce qu'il avait prévu d'aller aujourd'hui?"
Reid : Ce matin, elle voulait l'emmener au centre commercial pour lui acheter un jouet pour son anniversaire, ils devaient manger là-bas. Après, elle devait le ramener chez hotch pour que jack fasse sa sieste et après, au parc qui se trouve à côté de chez nous et je supposse qu'ils seraient après rentré à l'appartement puisque hotch devait récupérer jack chez nous."
Hotch : il n'y a qu'un seul endroit qui m'est familier
JJ : c'est chez vous....

Hotch : en route tout le monde, on y vas, on observe et on avisera sur place.

Pendant ce temps je repris connaissance. Heureusement je vis que le kidnappeur n'avait toujours pas retrouver jack puisque à peine réveiller, je me pris un coup de poing dans la tête avec le 'où est le petit". Je me mis à crier avec mes dernières forces "Jack reste cacher tant que papa ou moi ne te disons pas de sortir...

Le tueur : mais dis lui salope, de toute façon je vous aurais, c'est pour lui...

J'étais en plein cauchemar et je pensais uniquement "jack répond uniquement à papa ou à moi, à personne d'autre", quel pauvre petit, revivre encore une fois presque la même situation qu'avec la perte de sa mère. Mais c'est impossible, Foyet est mort....

C'est alors que l'équipe arrive enfin et tue le kidnappeur. Reid se précipite vers moi pour voir comment je vais alors que je git par terre, rouer de coup et de sang, pendant que hotch par dans l'autre direction fouiller la maison à la recherche de jack.

Reid tout en me prenant dans ses bras délicatement pour ne pas me faire mal à cause de mes blessures ;
Reid :Céline, comment tu vas ma chérie?

Mais malheureusement, je m'écarte vivement des bras de reid pour appeler uniquement et désespérement Hotch.
Devant mes réactions, Reid s'écarta de moi et, désemparé et alla rejoindre JJ, Morgan et Prentiss qui se trouvait dans la pièce d'à côté.

Morgan "Qu'est ce qui se passe spencer?"
Reid "C'est Céline, je crois que c'est fini entre nous deux?"
JJ : mais pourquoi tu dis ça?
Reid : elle est en danger elle envoie un sms à hotch, et là je vais là voir et elle me rejette et ne veux parler et voir que hotch, je crois bien qu'elle ne m'aime plus.
Prentiss : Ca m'étonnerais y'a forcement une raison

Triste, Reid préfère partir de chez Hotch, et s'en alla dans la rue seul, et rentra à pied à Quantico, abbatu pensant que notre relatio était fini

Pendant ce temps là, Hotch m'entendant l'appeler me rejoint
Hotch : "Céline , où est jack"
Moi : hotch, enfin vous êtes là, jack il est dans le garage, aidez moi à bouger et je'y vais avec vous
Hotch : pas question que tu bouges tant que les secours ne t'ont pas vu
Moi : Mais je lui ai dit de répondre uniquement à vous à moi et je veux savoir comment il va?
hotch : tu a bien fait, je te l'amène tout de suite

Tout ést bien qui fini bien, hotch est là il va chercher jack, ma seule préoccupation : sauver jack, était résolu.
c'est alors que je sent toute la douleur que me procure mon corps et que je reviens à la réalité et que je pense à l'homme de ma vie : reid.

c'est alors que je me met àl'appeler : reid, reid.
Mais reid ne venait pas puisuqe'il est parti désemapré par mon attitude à pieds rentré au bureau.
Les secours arrive mais je ne veux pas qu'il me soigne tant que je n'ai pas vu reid (je ne me souvenais pas des choses que je lui avais faites ni même dites puisque j'étais obnubilé par jack).
tout le monde essaye de le chercher, de l'appeler au téléphone, mais personne n'arrive à le joindre. tout le monde pensait qu'il était juste aller faire un tour dehors.
Tous commencait à s'énerver car je refuse de me faire soigner tant que je n'ai pas vu reid et reid est injoignable.

Morgan laisant un message sur le téléphone de Reid: "Reid, mais quest ce que tu fou, Céline te réclame et elle est mal en point. Reviens vite.."

Hotch m'ammène jack pour me montrer qu'il va bien et me remercie.
Moi : hotch ou est Spencer?
Hotch ; je ne sais pas mais ne t'inquiétes pas on va le retrouver mais il faut que tu partes avec les ambulanciers pour te faire soigner
Moi : non je veux le voir avant (je ne savais pas si j'allais pouvoir m'en soritr ou pas )

C'est alors que je me mis à vomir du sang

Les ambulanciers : on n'a plus le temps, elle doit faire une hémoragie interne...

Et je tombis dans les pommes ce qui permis au secours de m'emmener àl'hopital.

Hotch emmena jack chez sa belle soeur, prentiss parti avec moi àl'hopital et morgan, jj et rossi finir le travail (ils découvrirent que le kidnappeur était le meilleur ami de Foyet qui voulait vanger son ami et terminer son oeuvre, donc il voulait tuer jack pour faire souffrir hotch) et se mirent à la recherche de reid.

C'est alors que Garcia appela Morgan
Garcia : Mon coeur, pourquoi reid est-il rentré tout seul au bureau et s'est-il enfermé dans le bureau de réunion
Morgan, lui expliquant tout ce qui s'était passer : explique lui ma beauté que céline l'a réclamé et qu'elle est mal en point, qu'il faut qu'il aille ilico presto la voir à l'hopital, nous autres on y va de suite.
Garcia ; OK, tenez moi au courant

Garcia alla voir reid et lui expliqua. Il se précipita à l'hopital.
Il arriva essouflé aux urgences avec garcia ou tout le monde était là en attente de mes nouvelles.
Reid : comment vat-elle?
Prentiss : on ne sait toujours pas
Morgan : Mais qu'est ce que t'as foutu? Ta laissé ta femme toute seule alors qu'elle avait besoin de toi?
Reid : mais elle a réclamé hotch, je pensais qu'elle ne voulais que ça présence
Rossi : a force de vouloir protéger jack, elle a conditionner son cerveau en même temps que celui de jack, ne répondre qu'à la voix de hotch ou à la sienne. Tant qu'elle n'a pas su que jack était sein et sauf, son cerveau ne pouvait penser à autre chose, c'est pour ça que cherchais désespérement hotch, car elle n'était plus capable elle même de sauver jack
Reid : mais je n'était pas au courant de tout ça
MMorgan : tu serais resté, tu aurais su. Tu es analyste du comportement ou pas?
Reid : je pensais sincèrement qu'elle ne m'aimait plus et qu'elle ne voulait voir que hotch.
Hotch : tes sentiments pour elle ton aveugler, c'est pour ça que je vous dis tout le temps de vous méfier tous les 2 et de faire très attention car vos sentiments peuvent vous jouer des mauvais tour sur les enquêtes.
Reid tout en passant ses mains dans les cheveux : jem'en veux je suis trop stupide
JJ en allant vers lui le réconforter en le prenant dans ses bras : allez t'inquiètes pas elle va s'en sortir.
Reid : oui, je l'espère, mais j'ai tout gâcher, je n'étais pas là au moment où elle avait besoin de moi.
Garcia : attend de voir mon chou

Après des heure d'attente le médecin vint les voir
Le doc : plus de peurs que de mal. Il n'y a pas eu d'hémoragie interne comme le craignait les ambulanciers c'était juste qu'elle a vomi tout le sans qu'elle avait avaler dû au coup. Elle a de nombreuses équimoses, un bras cassé ainsi que des côtes et une cheville foullée. Si sur le plan physique ça va du repos fera l'affaire, sur le plan psychologique, elle n'a pa l'air de vouloir se battre
Reid : est-ce qu'on peux la voir docteur
le doc : non, pas ce soir, elle est vraiment trop fatigué, on lui a donner des calements donc elle va dormir une bonne parti de la nuit, ça ne servirait à rien de rester.
Reid : je ne peux pas passer la nuit auprès d'elle, je suis son mari?
le doc : non, pas ce soir, revenez demain dans l'après-midi car le matin elle sera en soin et on veux voir comment elle récupére avant.

Reid et tout le monde reparti et Reid passa la nuit avec Morgan car il n'avait pas le moral.
Morgan : Arrête reid de te morfondre", ce qui est fait est fait et l'important c'est qu'elle aille mieux. Mais tu est quand même qu'un imbécile
Reid : je sais, mais tu crois qu'elle va me pardonner?
Morgan : a toi de faire le nécessaire. tu verras bien demain quand t'iras la voir à toi de trouver les mots justes

Le lendemain matin reid appela l'hopital pour avoir de mes nouvelles ou on lui dit que j'allais bien et qu'il pouvait venir me voir l'aprèsmidi quand j'aurais fini mes soins., et en attendant l'après-midi il alla travailler pour faire passer le temps plus vite et soccuper l'esprit.

Mais ne supportant pas l'hopital et étant une "super woman" je signe une décharge à lhopital pour que je puisse sortir tout de suite.
Ne voulant pas rentrer à notre maison croyant que reid ne m'aimait plus, je décide d'aller moi aussi au bureau pour avoir un endoit ou souffler et ou changer de vêtement et pouvoir demander à Emiliy si je pouvait aller habiter chez elle quelque temps en attendant de trouver un appart.

J'arrive à quantico, le bras en écharge, plein de bleus sur le visage, en boitant et avec un corset avec des vêtement plein de sang. Je traverse ls couloirs et les ascenceurs ressentant un grand vide en moi : reid ne m'aimait plus. J'arrive à mon bureau tel un zombie et pénélope me vit arriver.
Tout en s'aaprochant de mon bureau elle appele reid avec son téléphone casque
pénélope :reid tu ne devais pas aller voir céline cet aprèmidi àl'hopital
reid : oui
pénélope : pourquoi est elle dans son bureau alors?
reid : c'est impossible et en plus l'hopital m'aurais prévenu
pénélope : si je t'assure mon chou elle est en train de m'ouvrir la porte
reid : j'arrive

J'ouvre la porte à garcia.
Garcia : je suis contente de te voir. mais pourquoi n'est tu pas à l'hopital
Moi : Tu tombe bien peux tu m'aider à m'habiller (on a toujours une valise sur place pour lorqu'on pa en jet) et à me maquiller pour me rendre un peu plus présentable?
gARCIA : mais bien sur

Et on fermi la porte à clé.C'est alors que reid frappa à la porte de mon bureau
reid : céline, c'est moi reid, est ce qu'on peut se voir
moi : pas tout de suite garcia m'aide àm'habiller
reid , tout penaud pensant que je ne voulais en fait pas lui parler : d'accord, et il reparti vers son bureau ou la nouvelle de ma sorti inexpliqué de lhopital avait déjà fait le tour.
JJ : c'est vrai, reid, céline st là?
reid : oui
Morgan : mais comment ça se fait?
reid : je ne sais pas,elle n'a pas voulu me parler pour le moment, elle est avec garcia qui l'aide à changer de vêtement.

Pendant ce temps là dans mon bureau, mon téléphone fixe sonne. C'est hotch qui m'appel me demandant comment j'allais et de venir le voir dès que j'aurais fini.
C'est mon patron donc OK.

Une fois habiller et maquiller (enfin le maquillage dissimule un peu mes bleus sur mon visage pas très joli pleins de bleu et d'écorchures), garcia m'aida un peu à marcher pour aller jusqu'au bureau de hotche qui m'attendait.

En traversant le bureau je ressen une immense douleur à savoir que reid, l'homme que j'aime es là et que lui ne doit vraissemblablement plus m'aimer puisqu'il n'était pas là pour venir me secourir. Et a contrario reid me regarde passer avec son air triste pensant que je ne 'aime plus puisque je n'avais toujours pas pris le temps de venir le voir

Dans le bureau de hotch, il me remercie de ée que j'avais fait pour jack et me dis qu'il serais toujours là pour moi. Je lui explique que je vais bien et que c'est pour ça que je suis sorti de l'hopital mais que je n'avais pas envi de rentrer chez moi pour le moment que c'était pour ça que j'étais aussi, mais que j'étais fatigué. Il me dit alors d'aller m'allonger sur le canapé de la salle de réunion pour me reposer un peu. Il m'y accompagne et s'en retourna dans son bureau pour aller m'y cherche une couverture.

Pendant ce temsp là garcia vient voir reid, morgan, jj, emily et rossi pour leur donner de me nouvelles :
garcia : elle est fatiguée, mais elle semble abattu
tout ça ne rassure pas reid et le fait se sentir encore plus coupable.
reid voyant hotch sortir de la salle de réunion ou j'étais s'avança pour venir me voir dans la salle d réunion et il croise hotch sur le chemin.
reid : comment va t elle?
hotch : elle est fatiguée
reid : est ce que je peux aller là voir?(de son air tout gêné)
hotch en lui donnant la couverture : c'est ta femme...(en lui mettant la main sur l'épaule) : t'inquiètes pas tout va bien se passer
reid lui fit un hochement de tête comme pour approuver ce qu'il venait de dire.

Je m'attendais à voir hotch revenir mais quel fut ma surprise quand je vis reid. Je ne comprenais pas je pensais q'il ne m'aimait plus, je suis contente et à la fois étonné

Moi : spencer
Reid tout en s'approchant de moi lentement : comment tu va?
Moi ; ça va
reid toujour en s'avançant vers moi et en me prenant ma joue dans sa main car je détournait la tête pour ne pas qu'il me voye amocher comme j'étais
reid : pourquoi est tu parti de lopital
moi : tu sais bien que je ne supporte pas les hopitaux.
je ne comprenais pas il n'était pas là quand j'avais eu besoin de lui mais pourtant il était là devant moi, prenant de me nouvelles et ayant des geste tendre envers moi puisque maintenant il me caressait la joue avec son pouce je lui demande alors :
moi en tournant la tête face à lui avec les yeux pleins de larmes : spencer, pourquoi tu n'étais pas là?
reid : céline, j'étais là mais quand je suis arrivé vers toi tu m'a repoussé et tu a appeler hotch...
moi : quoi... (je ne me souvenais plus)..mais enfin ce n'est pas possible c'est toi que j'aime....ce n'est pas hotch
Et je commence à etre prise d'une crise de panique.
Reid tout en essayant de me calmer
reid : chérie, si tu as fais ça c'est juste que tu a tellement conditonner jack à ne répondre qu'à toi ou a hotch que tu t'es conditionné en même temps jusqu'au moment ou jack fut sauver.
reid me pris la tête dans ses mains et m'embrassa tendrement puis me serra très fort dans ses bras.

moi : reid je suis fatiguée
reid : il faut que tu te repose alors
moi : peut tu m'aider à m'allonger sur le canapé j'ai un peu de mal avec le corset.
reid m'aidant à m'assoir pluis à m'allonger et caressa avec délicatesse toutes mes blessures comme pour me dire que malgré elles j'étais joli à ses yeuxet qu'il m'aimait.

moi : spencer est-ce que tu peux rester un moment avec moi
reid : je vais rester avec toi jusqu'à ce que tu t'endorme.

Moi allongé sur le canapé, reid accroupi à côté de moi d'une main me pris la mienne et de l'autre main me caressait les cheveux tout en m'embrassant le front jusqu'à se que je m'endorme.

Code:
FIN


Alors qu'en penser vous?
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Luce
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MessageSujet: Re: Totally Reid Team (T.R.T)   Totally Reid Team (T.R.T) - Page 16 Icon_minitimeDim 20 Juin 2010 - 2:33

mouchoir1 C'est superbe comme rêve ...
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MessageSujet: Re: Totally Reid Team (T.R.T)   Totally Reid Team (T.R.T) - Page 16 Icon_minitimeDim 20 Juin 2010 - 10:28

merci little alice. Si ça dit à certains ou plutot certaines. Je vous en raconterais d'autres que j'invente. angel
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Nessie
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MessageSujet: Re: Totally Reid Team (T.R.T)   Totally Reid Team (T.R.T) - Page 16 Icon_minitimeMer 30 Juin 2010 - 23:01

enilec21 a écrit:
merci little alice. Si ça dit à certains ou plutot certaines. Je vous en raconterais d'autres que j'invente. angel

Oh c'est trop mignon triste6 J'ai fais un rêve comme ça, je vous raconterais plus tard Razz
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enilec21
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MessageSujet: Re: Totally Reid Team (T.R.T)   Totally Reid Team (T.R.T) - Page 16 Icon_minitimeMer 7 Juil 2010 - 17:04

Je vous met la suite du rêve....


A la suite de cette enquête au cours de laquelle j’ai été pas mal amochée : de nombreuses équimoses sur tout le corps, les lèvres ouvertes, des côtes fêlées, un bras cassé et une cheville foulée, les médecins m’ont ordonnés 15 jours de repos obligatoire (surtout que je suis sorti contre leur avis médical, n’aimant pas les hôpitaux et ayant peur d’avoir perdu reid à tout jamais).
Malgré cela, je suis heureuse, Reid et moi nous nous étions expliqué et nous étions toujours ensemble donc tout était le mieux dans le meilleur des mondes.
En sortant de la salle de réunion dans laquelle Hotch m’a permise de me reposer, je vis que toute l’équipe m’a organisée un « pot de bon rétablissement », tant ils sont contents que je m’en sorte en aussi bon compte. De nombreux ballons sont accrochés aux bureaux et aux chaises et une grande banderole marquée « Get well » est accrochée juste au dessus du bureau de spencer. Sur le bureau d’Emily des boissons (non alcoolisées) sont disposés avec de nombreux amuse-gueules.
Morgan tout en venant à ma rencontre pour m’aider à descendre les escaliers qui vont de la salle de réunion aux bureaux centraux
Morgan : contente de te voir ma puce
Moi : merci Derek. Mais qu’est ce que c’est que tout ça ?
Morgan : C’est rien du tout. On est juste content de te voir avec nous.
Morgan m’emmène jusqu’à Spencer qui était assis à son bureau en finissant de travailler sur un dossier en attendant que je me réveille. Spencer après m’avoir enlacé m’aide à m’asseoir sur son fauteuil.
Spencer : comment tu te sens ?
Moi tout en échangeant avec Spencer un furtif baiser : ça va ne t’inquiètes pas
Garcia égal à elle-même, vient me serrer fort dans ses bras tout comme si j’étais revenu de part delà des morts.
Garcia : Tu ne nous refais jamais ça.
Moi : Ok c’est promis, je ferais attention la prochaine fois.
Garcia : t’as intérêt.
Tour à tour, JJ, Emily et Rossi viennent m’embrasser et les discussions vont bon train pendant une grosse demie heure.
C’est alors qu’au loin apparaît Hotch qui était allé chercher Jack pour que tous les deux nous puissions nous voir.
Jack court jusqu’à vers moi et me saute dans les bras.
Moi : Mon chérie, comment tu vas. ?
Jack me regarde d’un air curieux et me demande :
Jack : pardon pour tes bobos.
Moi : pourquoi me dis tu pardon ?
Jack : c’est de ma faute si tu as tous ces bobos …
J’enlace très fort Jack dans mes bras et des larmes se mirent à couler.
Moi : ce n’est pas du tout de ta faute jack. Ce n’est pas toi qui m’a fait ça. C’est la faute du méchant monsieur, c’est lui qui m’a fait ça, ce n’est pas toi. Je ne veux pas que tu penses une chose pareille.
Je le retire de mes bras et le regarde bien en face.
Moi : Jack , dis toi bien une chose, je ne regrette pas du tout ce qui s’est passé et si c’était à refaire je le referais sans même hésiter une seule seconde.
Jack me prend par le cou et m’embrasse sur la joue.
Jack : dis, quand est-ce que tu me ramèneras au parc d’attraction.
Tous se mirent à éclater de rire.
Hotch : doucement, jack, céline est fatiguée, elle a besoin de repos.
Moi : Jack, je t’y ramènerais mais pas tout de suite. Les docteurs m’ont dit qu’il fallait que je ne bouge pas trop pendant un moment.
Jack : je ne vais pas pouvoir te voir alors ?
Moi : je t’appellerais jack ne t’inquiètes pas et si papa et ta tante sont d’accord tu pourras passer me voir de temps en temps à la maison après l’école.
Hotch : jack, il faut qu’on y aille maintenant.
Spencer : oui il se fait tard et les médecins ont dit repos.
Hotch : jack, embrasse céline et on rentre à la maison.
Tout le monde commence à plier, à ranger les bureaux et à prendre leurs affaires pour partir. Hotch interpelle reid.
Hotch : reid, on est mercredi prend toi quelques jours pour rester avec céline, les affaires sont calmes en ce moment. Si on a besoin de toi on t’appellera.
Reid : merci hotch

Reid et moi on rentre à la maison. je passe la plupart de mon temps à dormir pour récupérer. Spencer doit m’assister en quasi permanence car je ne maîtrise pas encore totalement mes gestes dus à mes blessures mais de jours en jours, même d’heures en heures je commence à m’y habituer.
Malheureusement, nos quelques jours en amoureux sont de courtes durées puisque le vendredi matin hoch appelle Reid pour une affaire d’enfant disparu où ils ont besoin de toute l’équipe.
Hotch : reid, désolé de te déranger mais on a besoin de toi, une sale affaire d’enlèvement d’enfant en arizona.
Reid : vous avez vraiment besoin de moi ?
Hotch : la police locale rame là-bas, on n’a pas beaucoup d’indice comme point de départ, on a besoin d’un maximum de monde.
Reid : c’est d’accord j’arrive
Hotch : si ça peut te rassurer j’ai demandé à ma belle sœur de passer pour faire attention à céline.
Reid : merci.


Dans le jet qui les mène en Arizona, toute l’équipe fait le point sur l’affaire.
JJ : depuis 1 mois de nombreux enfants disparaissent le vendredi après l’école.
Emily : est ce qu’ils ont tous le même profil ?
Hotch : non c’est bien là le problème. Le kidnappeur n’a pas un style particulier d’enfant : aussi bien des filles que des garçons âgées entre 6 et 13 ans.
Morgan : ça ne va pas être facile de faire un profil
Reid : est- ce qu’on retrouvé un corps ?
JJ : non seul l’un d’entre eux a été retrouvé en plein milieu d’un centre commercial.
Morgan : qu’est ce qu’il a raconté à la police.
JJ : c’est bien ça le hic. L’enfant est en état de choc, il ne parle à personne et ne réagit à rien, les médecins n’arrivent pas à le faire sortir de son mutisme.
Rossi : Il a été retrouvé au beau milieu d’un centre commercial ? Pourquoi un centre commercial ?
Hotch : Il semble que ce soit le kidnappeur lui-même qui l’ai emmené là-bas car il était assis sur un banc, ce n’est sans doute pas lui qui s’est échappé tout seul sinon il ne serait pas resté assis là inerte.
Reid et JJ vous irez à l’hôpital, pendant que david et emily iront au centre commercial . Morgan et moi on ira voir les familles.




Malheureusement, l’enquête n’avance pas. La seule victime n’est pas en état de répondre. Ni un profil du kidnappeur, ni un profil géographique, ni le profil des victimes n’arrivent à être dégagé. Il leur manque un petit quelque indice pour arriver à faire un profil.

Hotch : Reid, il faut qu’on appelle Céline.
Reid : Pourquoi faire ?
Hotch : Elle est spécialiste dans le comportement des enfants, elle pourrait peut être nous aider à interroger le petit et elle pourra sans doute voir des choses que nous n’avons pas vu.
Reid : hotch, non elle n’est pas en état de voyager, on a tout passé au peigne fin et même les médecins n’arrivent pas à faire sortir le petit de son mutisme. Comment voulez vous qu’elle y arrive ?
Hotch : je sais que c’est un très gros service que je vous demande, mais la vie de 4 enfants sont peut être en jeu. On ne sait même pas ce que veux en faire le kidnappeur. Reid fait moi confiance, on a besoin d’elle et elle peut y arriver.
Reid : appeler là, c’est à elle de décider.

Hotch pris son téléphone et m’appela.

Hotch : céline c’est hotch, est-ce que ça va ?
Moi : oui, encore un peu fatiguée mais ça va de mieux en mieux.
Hotch : céline on aurait besoin que tu viennes nous rejoindre, on piétine, on a absolument rien.
Moi : de quoi s’agit-il ?
Hotch m’explique l’affaire en détail.
Hotch : céline cette affaire elle est pour toi. Tu es spécialiste du comportement des enfants et il nous manque des indices pour pouvoir dresser un profil et arrêter le kidnappeur. Ton étude peut nous aider et ça peut t’aider pour ton dossier .
Moi : Ok j’arrive.
Hotch : j’appelle garcia pour qu’elle t’organise ton voyage au plus vite.
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Nessie
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MessageSujet: Re: Totally Reid Team (T.R.T)   Totally Reid Team (T.R.T) - Page 16 Icon_minitimeSam 10 Juil 2010 - 15:08

Whoaw ! JE KIFFE ! applaud Et c'est tout ? :pendu:

Vous savez quoi ! Hier soir j'ai rever que j'étais un vampire, et le BAU essayais de m'arreter, mais moi et ma famille les CULLEN vapes2 (oui je délire souvent.) On les semés, puis à un moment Reid et Morgan me coursa, et il decidèrent de se separé, et Reid courait après moi et Morgan après Jasper. vapes2
Un moment j'étais coincé, et je me retournais vers lui, puis il savait pas quoi dire car les vampire ca a un coté charmeur, je m'avancais vers lui comme ci j'allais l'embrasser, mais je ne le fit pas, et je sauta par dessus lui, puis j'escaladais un immeuble pour aller rejoindre Jasper. Soudain je regarder vers le bas, pour voir Reid. Morgan lui parlais mais je ne savais pas se qu'il disait. Malheureusement, je commençais a tomber amoureuse de Reid, Je dis malheureusement car mon mari etait Jasper. Puis j'espionner souvent Reid. Quand Jasper su que j'avais des sentiments pour une autre personnes que lui il c'est mit a me taper, me battre très fort dans une rue, puis le BAU savais dans qu'elle rue nous etions et ils nous pourchasser et l'on vit des balles troué le mur a coter de nous, Jasper me lacha; partis en me laissant un bisous sur le front. Je gisait sur le sol. Ils m'attrapère, et Reid venait souvent me voir, en prison, et Jasper aussi.

Un rêve de ouf hein ? Mais je l'ai trop aimais, il a fallu que je me releve. Tiens je vais ecrire un bouquin basé sur ce reve ! MDR ! vole
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MessageSujet: Re: Totally Reid Team (T.R.T)   Totally Reid Team (T.R.T) - Page 16 Icon_minitimeSam 10 Juil 2010 - 18:58

Je suis en train de faire la suite.... Razz
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MessageSujet: Re: Totally Reid Team (T.R.T)   Totally Reid Team (T.R.T) - Page 16 Icon_minitimeSam 10 Juil 2010 - 22:26

enilec21 a écrit:
Je suis en train de faire la suite.... Razz

super !vivement la suite! applaud
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MessageSujet: Re: Totally Reid Team (T.R.T)   Totally Reid Team (T.R.T) - Page 16 Icon_minitimeDim 11 Juil 2010 - 9:40

Voilà la suite de l'histoire, pendant quelques temps il faut que je décrive plus "l'enquête"pour pouvoir au final finir sur une histoir tragique avec spencer reid....


Au final, Garcia vient avec moi rejoindre l’équipe en Arizona : n’ayant aucune preuve exploitable et ayant déjà assez perdu de temps, une « informaticienne » pourrait nous être utile si d’autres indices venaient à être découverts.
Le jet semble immense et bien calme puisque nous sommes juste nous 2.
Garcia : pourquoi m’ont –ils demandé de venir, je n’ai pas l’habitude d’être sur le terrain ?
Moi : pour l’instant ils sont dans une impasse, ils veulent que l’équipe au complet soit sur place pour pouvoir analyser la moindre preuve au cas où nous en trouvions de nouvelle, histoire qu’on ne perde pas de temps.
Soudain, l’ordinateur sonne nous indiquant que quelqu’un cherchait à rentrer en call conférence avec nous . Pénélope vêtu de ces habituels vêtements de couleurs flashys, un petit haut décolleté de couleur bleu lagon et d’une longue jupe à fleur du même bleu, arrête soudainement le tricot de son écharpe assorti à sa tenue, qu’elle est en train de faire.
Hotch : vous êtes dans le jet ?
Garcia : oui monsieur, nous ne devrions pas tarder à arriver.
Hotch : vous avez pris connaissance de l’affaire dans le détail ?
Moi : Nous avons 5 enfants qui ont été enlevés le vendredi à la sortie de leur école :
- Melissa Green, 6 ans ½ enlevée il y a 5 semaines à la sortie de l’école primaire Kennedy, non retrouvée à ce jour
- Norbert Valentin, 9 ans, enlevé il y a 4 semaines à la sortie de l’école primaire Roosevelt, non retrouvé à ce jour
- Roger Smith, 12 ans ½ enlevé il y a 3 semaines à la sortie de son collège Hockiss, retrouvé il y a 3 jours au beau milieu du centre commercial. L’enfant est en état de choc, il est impossible d’en tirer quoique se soit.
- Rosalita Solis, 13 ans enlevée il y a 2 semaines à la sortie du collège Berlioz, non retrouvée à ce jour
- Harlem Sous , 8 ans, enlevé il y a 5 jours à la sortie de l’école primaire North Western, non retrouvé à ce jour.
Garcia : les 5 enfants, n’ont aucun points communs , ils n’ont pas les mêmes loisirs extra-scolaires, n’appartiennent pas à la même origine éthniques, ils ne se connaissent pas ni même leurs parents. Rien je ne suis arriver à trouver aucune comparaison entre eux tous, choux blancs… Hotch, qu’espérez vous que l’on trouve de plus que vous en venant vous rejoindre ?
Hotch : il nous faut un œil neuf, selon le schéma du kidnappeur, un autre enfant va être enlevé dans 2 jours , j’espère que Céline arrivera à dégager quelque chose.
Moi : je vais essayer.
Hotch : dès que vous arrivez vous venez nous rejoindre au commissariat central. A tout à l’heure.
Sur ce la call conférence fut coupée, dans un silence immense et pesant Garcia et moi-même nous nous regardons si tout le poids du monde reposait uniquement sur nos épaules.

A suivre...vivement que j'arrive au passage plus croustillant avec reid.
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Nessie
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MessageSujet: Re: Totally Reid Team (T.R.T)   Totally Reid Team (T.R.T) - Page 16 Icon_minitimeSam 17 Juil 2010 - 12:52

Ah boule la suite ! applaud
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MessageSujet: Re: Totally Reid Team (T.R.T)   Totally Reid Team (T.R.T) - Page 16 Icon_minitimeSam 17 Juil 2010 - 20:48

Pour toutes celles qui le demandent voici la suite, elle n'est pas encore fini, je ne suis toujours pas arrivé au passage le plus "croustillant "avec reid. est-ce que vous pensez que je devrais la publier dans les fansfictions ou pas, sachant que normalement on ne doit s'identifier à aucun personnage...?

Une heure plus tard nous voilà, Garcia et moi devant la porte d’entrée du commissariat de Phoenix en Arizona.
La chaleur est étouffante, malgré l’heure matinale, le soleil commençait déjà à brûler le macadam et les réverbérations de celui-ci donne l’impression qu’il y fait beaucoup plus chaud qu’il n’y parait.
Je supporte d’autant plus mal cette chaleur avec encore l’atèle au poignet et à la cheville et le bandage pour mes côtes fêlées. Pénélope quand à elle est en âge et le fait de porter tous les ordinateurs qu’elle a emmenés, ne lui facilite pas non plus à supporter la température élevée.
Garcia : oh, my good, qu’est ce que c’est étouffant par ici
Moi : et on est que dans la matinée, ça promet pour le restant de la journée
Garcia : tu vas arriver à descendre du taxi ?
Moi : aucun problème, je commence à arriver à me débrouiller toute seule. Par contre toi, tu ne ferais pas mieux de demander à ce qu’on t’aide pour descendre tout ton matos ?
Garcia : pas question que quelqu’un touche à mes petits trésors…appelez moi « wonderwoman ». Plus que quelques marches et on serra arriver…j’espère qu’ils ont la clim au moins dans les bureaux.
Arrivé devant le perron du commissariat après avoir gravi les quelques marches qui nous séparent de l’entrée du poste, je devance Pénélope, qui est chargé comme une mule, afin d’essayer de lui ouvrir la porte. De la seule main valide que je possède, j’agrippe la poignée de porte et je me plaque dos à la porte afin de caler celle-ci et de la tenir ouverte pour que garcia puisse passer.
Moi : vas-y pénélope je te tiens la porte
Garcia : merci céline, je me dépêche……(pénélope faisant sont entrée triomphale et parlant à voix haute) attention chaud devant j’arrive…..
Ca manière d’être et de faire de pénélope m’amuse toujours et son entrée arrive à me tirer un petit rictus des lèvres malgré la fatigue des blessures, du voyage et de la chaleur.

Soudain, un policier se précipite vers nous :
Le policier : mesdames, calmez vous .
Il regarde garcia, essoufflée en train de poser toutes ses valises de matériel puis me regarde, l’air paniquée et nous lance : mesdames, mais que vous ai-t-il arriver ? (tout en me tendant une chaise) asseyez vous ? mais qui vous a fait ça ?
Sûr le coup nous ne comprenons pas pourquoi ce policier nous demande de son air paniqué ce qui s’est passé puis après quelques seconde de réflexions nous comprenons que mon aspect physique (bandage, equimoses et égratignures au visage) pouvait laisser supposer au policier que je venais de me faire agresser et que nous venions pour déposer plainte (quoique si il avait fait un peu plus attention il aurait remarqué que ces blessures dataient déjà d’il y a quelques temps).

Cette mini agitation soudaine, attire l’attention de tout le commissariat et notamment de JJ qui se trouve non loin de là en train de téléphoner, sans doute à un média.
Elle se précipite vers nous et s’adresse au policier :
JJ : c’est le reste de notre équipe, lieutenant, nous les attendions.
Le policier d’un air surpris et hébété, en tendant le bras vers la direction où je me trouve : votre équipe, mais enfin….
JJ : ce sont les agents garcia et guichard, elles sont venues en renfort pour l’affaire des enfants disparus. Venez le commissaire vallente nous à installer un bureau juste là derrière.
L’expression du visage, les traits durcis que prend le policier, suite à l’annonce de nos fonctions par JJ , dévoile ses arrières pensées quand à savoir si dans l’état dans lequel j’étais si j’étais capable de mener à bien une enquête ou bien tout simplement si jamais j’ai été capable d’en menée une à bien pour avoir été blessé à ce stade là.
Tous les policiers qui sont présents dans la pièce centrale restent interloqués par cette discussion et stoppent dans leurs tâchent respectives pour assister à notre discussion qu’ils trouvent très peu banal dans les faits.
Je regarde le policier tout en lui lançant un sourire de remerciement pour l’inquiétude qu’il a envers moi et lui dit, comme pour le rassurer :
Moi : ce sont des restes d’une affaire qui à mal tourner, je vous assure que tout vas bien et que je suis capable de travailler.

Garcia, JJ et moi nous nous avançons vers le bureau vitré que le commissaire nous a laissé à notre disposition. Au même moment, interpellé par le mouvement que notre présence à fait subir à l’accueil du commissariat, Hotch suivi par Rossi , le commissaire et Reid sortent du bureau vitré, se doutant que si agitation il y a c’est que nous devions être arrivé.

Garcia : est-ce qu’ils m’ont prévu une connexion internet ?
Hotch : oui, garcia tu a tout ce dont tu as besoin . Commissaire vallente, je vous présente les agents garcia analyste informatique et l’agent guichard, spécialiste en comportement infantile qui sont venus nous prêter main forte.
Commissaire valente : enchantée et merci d’être venu aussi vite.(en s’adressant à garcia) : nous vous avons fait installer une connexion wifi dans le bureau où travail votre équipe afin que vous ayez tout sur place, si vous avez besoin de quoique ce soit d’autre faites moi le savoir, et on fera le nécessaire.
Garcia : merci
Hotch : on a pas mal de travail sur la planche, vous vous sentez d’attaque ?
Garcia en jetant un rapide coup d’œil à la pièce qui nous était réservé : oui, heureusement que j’ai apporté mon propre matériel car ils ont 10 ans de retard.
Moi : on peux s’asseoir un moment, pendant que vous nous faites le topo sur le profil que vous êtes arrivez à faire.
Rossi : on explore beaucoup de pistes mais on n’a pas grand-chose de concret, pour l’instant il ne nous est pas possible de faire un profil.
Moi : vous n’avez vraiment rien ?
Reid tout en s’avançant vers moi : non on tourne en rond.
Tout en s’avançant vers moi, spencer et moi arrivons à nous dégager quelques instants d’intimité. Tous les deux à l’entrée de notre bureau, pendant que les autres sont déjà rentrées à l’intérieur et que garcia commence à installer son matériel et que JJ, hotch, rossi et le commissaire valente se dirige vers le tableau où toute l’affaire est épinglé dessus, nous arrivons à échanger quelques paroles.
Spencer en m’embrassant furtivement sur le front et en me mettant son bras gauche autour de ma taille: tu te sens comment ?
Moi : ça va, cette chaleur m’aide pas, mais ça peux aller. La douleur est presque plus là et comme te le dirais pénélope, je me débrouille de mieux en mieux. Mais là je m’assirais bien un peu, je commence à fatiguer.
Spencer : dans le bureau il y a la clim, tu te sentiras mieux, viens vite t’asseoir. Mais t’es sûr que tu ne veux pas renter à l’hôtel te reposer un peu avant que l’on te fasse le débriefe ?
Moi : A priori le temps joue contre nous, dons j’irais me reposer après, je crois que hotch à besoin de moi.
Spencer : oui, nous vous attendions tous avec impatience, mais promets moi de ne pas faire d’imprudence et de faire attention à toi et dès que ça ne vas pas tu t’arrêtes, d’accord.
Moi , dans un soupir de gratitude envers lui pour les soins et l’amour qu’il me donnait mais à la fois de lassitude pour la peur qu’il a sens cesse que je sois en sucre, tout en lui posant ma main sur sa joue : spencer, ça va, ne te fais pas de souci et je ferais attention promis.

Le tableau où tout l’avancement de l’affaire était noté est plein à raz bord. Sur l’extrémité gauche, est aligné la photo de chacun des enfants disparus, avec leurs noms, âge, résidence, école, parents, loisirs….à l’extrémité gauche, le plan de la ville et des alentours où le lieu de chaque enlèvement avait eu lieu. Cette carte est griffonnée dans tous les sens, ce qui indique qu’ils essayent de déterminer un profil géographique.
Hotch : prentiss et morgan sont avec les agents de surveillance du centre commercial ou Roger Schmit a été retrouvé. Ils sont en train de visionner toutes les caméras de surveillance pour voir si ils voient le ravisseur. Garcia, tu vois avec eux pour qu’ils te transmettent les bandes et tu vois si tu arrives à faire un regroupement.
Garcia : je m’y mets tout de suite monsieur
Garcia, fini de brancher ses câbles et appelle prentiss et morgan.
Garcia en appelant emily et derek : coucou mes trésors, je suis prête, envoyez moi les bandes
De mon côté, je me fixe assise sur une chaise devant le tableau pour pouvoir m’imprégner de tout ce qui avait été découvert .
Moi : reid, vu la carte je suppose que tu es en train de dégager un profil géographique.
Reid : tout à fait, mais, il me manque encore un point pour pouvoir le dégager. Selon la théorie du professeur hopuen, tout individu ayant des comportements impulsifs suit un schéma logique dans l’ordre du déroulement de ses comportements. A partir du 4ème point de rupture de la conscience des faits, on peut établir la zone d’action de cet individu si la logique du 1er point de rupture correspond aux points de ressemblance du 4ème.
Hotch en arrêtant reid dans ses explications : reid, en résumé
Reid : il aurait été possible d’établir un profil, mais le fait qu’il est relâcher un des enfants au centre commercial vient chambouler toute la théorie et il nous manque un nouveau point pour pouvoir l’établir avec certitude.
Commissaire Valente : il faut donc attendre qu’un nouvel enfant soit enlevé pour que vous puissiez arriver à nous aider ? C’est impossible, toute la population de phoenix est en effervescence, vous nous voyez leur dire qu’il faut un autre enlèvement avant que le FBI puisse commencer à travailler.…
hotch d’un ton grave et sérieux qui commence à se lire sur son visage : on va essayer d’éviter un malheur supplémentaire, l’agent jareau en en train de s’organiser avec les médias pour éviter tout cela
JJ : à 14h, j’ai organisé une conférence de presse, dans laquelle nous allons faire les recommandations d’usage et tenter de rassurer la population
Hotch : nous ne devons rien dire d’autre, si jamais le kidnappeur nous voyais il pourrait changer son mode opératoire et là on y est presque, c’est indispensable qu’il pense que la police et le FBI tourne en rond, pour le pousser à continuer dans son schéma et pourquoi pas faire un faux pas. Garcia est en train d’analyser les vidéos, Céline, tu veux commencer par où ?
Moi : j’irais bien à l’hôpital voir Roger, il est le seul témoin, j’arriverais eut être à en tirer quelque chose.
Le téléphone du commissaire valente sonne au même moment que celui de hotch.
Hotch en décrochant son téléphone : Agent hotchner .
Prentiss : Hotch, c’est Prentiss, il vienne de retrouver le corps de la petite Melissa Green
Hotch : oh non où ça ?
Prentiss : devinez, au centre commercial, son corps a été retrouvé dans la poubelle extérieure d’un magasin de vêtement.
Hotch : le centre commercial, il y a forcément quelque chose en relation avec lui. Ok on arrive.
Hotch raccroche son téléphone.
Commissaire Valent : agent hotchner, un de mes homme vient de m’appeler
Hotch : oui je sais ils viennent de retrouver le corps de Mélissa Green
Rossi : où ça ?
Hotch : dans un des poubelles extérieures du centre commercial. David, Reid vous voulez bien aller rejoindre Morgan et Prentiss ? Pendant ce temps là je vais emmener céline voir roger à l’hôpital. JJ tu viens avec nous, on risque de voir débarquer les médias à l’hôpital puisque le centre commercial va être bloqué, tu les éloigneras et tu les recentralisera au commissariat pour la conférence de cet après-midi. Pou l’instant on ne change rien à ce qu’on a prévu. Garcia continue à visionner les vidéos notre homme est forcément dessus.
Garcia : je vais traquer image par image, si il y a quelque chose sur cette bande de surveillance, je le trouverais.
Hotch : allons-y

Hotch, JJ et moi arrivons à l’hôpital où roger est hospitalisé depuis hier. Nous avançons dans les couloirs de l’hôpital. La chambre de roger se situe au 2ème étage dans l’aile nord du bâtiment, au service psychiatrie infantile.
Moi : il ne vous a absolument rien dit ?
Hotch : rien, à personne, même les médecins n’arrive pas à le tirer de sa léthargie.
Moi : on a retrouvé quelque chose sur lui
JJ : non , il était habillé de la même manière que le jour de son enlèvement. Ils sont même partis au labo, et ils n’ont absolument rien trouver dessus : pas de traces d’ADN, ni de terre, ni de sang, juste quelques cheveux qui lui appartiennent à lui et à ces parents. A croire qu’il s’est volatilisé depuis le jour de son enlèvement.
Moi : vous soupçonnez les parents ou pas ?
Hotch : Il ne faut écarter aucune piste. Dans les enlèvements d’enfant la plupart des kidnappeurs ou des tueurs sont des familles ou des connaissances de victimes.
JJ : oui mais là il y a plusieurs victimes et elles n’ont aucuns liens entre elles.
Hotch : je sais, mais il faut tout envisager pour le moment tant qu’on ne sera pas arrivé à faire un profil.
Nous arrivons au 2ème étage, les couloirs semblent interminables, tant la couleur blanche des murs leurs donnent une image de profondeur. Le bureau d’accueil des infirmières située au milieu du couloir parait minuscule et l’on peut y voir de loin 3 personnes en train de parler entre elles tout en lisant un dossier.
La marche que m’a imposé cette visite à l’hôpital commence à relancer la douleur de ma cheville et à me procure des bouffées de chaleur due à celle-ci. Cette sensation est amplifiée par le fait que l’hôpital n’est pas climatisé.
Nous arrivons enfin au bureau des infirmières. Un homme se retourne en notre direction. C’est le docteur armstrong qui s’occupe de cette unitée.
Docteur armstrong en tendant une poignée de main à hotch : agent hotchner, ravi de vous voir.
Hotch : merci, docteur. Est-ce que roger est un peu mieux ?
Dr armstrong : hélas non, aucun parole, aucun mouvement, aucun réflexe depuis qu’il est venu ici.
Hotch : Dr armstrong, vous connaissez déjà l’agent jareau (le docteur fit un hochement de tête en direction de JJ comme pour acquiescer les dires de hotch et dire bonjour à JJ), je vous présente également l’agent guichard. Elle est venue nous rejoindre pour nous aider à retrouver celui qui a fait ça à roger, elle est spécialiste dans le comportement de enfants.
Dr armstrong en me tendant la main et en me dévisageant lui aussi du fait de mes blessures : enchantée madame.
Je lui tends à mon tour la main pour lui dire bonjour à mon tour.
Moi : de même docteur.
Je m’accoude et bureau des infirmières et j’en profite pour prendre un anti-douleur.
Moi : vous ne mettez pas la clim dans les hôpitaux ?
Dr armstrong : non elle véhicule trop de microbes, mais pour l’instant il ne fait pas encore trop chaud, ce ne sont que des bonnes températures de printemps, l’été n’est pas encore arrivé.
Tout en me regardant me faisant un peu d’air avec ma main, le docteur me retorque
Dr armstrong : c’est sans doute la douleur que vous avez qui vous procure cette sensation de chaleur, vous vous sentirez mieux dès que l’analgésique du médicament que vous venez de prendre fera effet. Si jamais ce n’est pas le cas, venez me voir et je vous ausculterais pour vous en donner de plus fort.
Moi : je vous remercie docteur mais ça devrait aller.
Hotch : roger est-il en état de pouvoir être interroger, l’agent guichard, aimerait bien essayer de le faire parler ?
Dr armstrong : il n’y a aucune contre-indications, les examens médicaux nous ont confirmés une nouvelle fois que le petit n’avait subi aucune violence physique, mais je doute fort que vous arriviez à en tirer quoique ce soit. Ces parents ne sont pas encore là pour le moment, ils sont avec l’assistante sociale.
Moi : je vais essayer qui ne tente rien n’a rien.
Dr armstrong en s’adressant à hotch : agent hotchner, vous savez ou se trouve sa chambre ?
Hotch : oui merci beaucoup docteur armstrong.

Hotch, JJ et moi nous nous dirigeons vers la chambre de roger qui se trouve au fin fond du couloir.
JJ : tu crois que tu vas y arriver ?
Moi : je n’en sais rien mais je vais essayer.
Hotch : est-ce que t’as besoin de te reprendre avant d’y aller ?
Moi : si je pouvais m’asseoir juste 5 minutes pour souffler avant de rentrer dans sa chambre ce serait bien.
JJ : tu veux que l’on t’apporte un verre d’eau ?
Moi : non merci JJ, juste besoin d’un moment de décompression.
Hotch va vers la salle d’attente pour aller me chercher une chaise.
JJ : reid , nous assassinerait si il te voyait comme ça.
Moi : oui mais c’est reid, tu le connais, il se fait du souci pour rien en ce qui me concerne, on ne vas pas le changer. Je lui ai promis de faire attention et puis ce qui est bien c’est que c’est mon corps qui me rappelle à l’ordre, donc je ne commettrais aucune imprudence.
Hotch revient de la salle d’attente avec une chaise sur laquelle je ne me fais pas prier pour m’asseoir quelques instants.
Hotch : tu y vas quand tu seras prête.
Moi : d’accord
JJ : de toute façon on sera avec toi si tu te sens mal.
Sur ces paroles de JJ je regarde aaron d’un air embêté. Aaron compris sans aucun problème de part mon attitude ce qui me gêne.
Hotch : non JJ, céline va y rentrer toute seule dans la chambre pour essayer d’interroger roger.
JJ, d’un air surprise : mais enfin, hotch, on n’a jamais fait ça ? on va interroger toujours une victime à plusieurs pour être certains qu’aucun indice ne nous échappe.
Hotch : non JJ pas cette fois ci.
Devant l’air interrogateur de JJ je lui réponds.
moi : JJ fais moi confiance, je sais ce que je fais, je ne pourrais avoir aucun renseignement de sa part si je ne suis pas seule avec lui.
JJ : tu ne l’as pourtant jamais vu comment es-tu certaine qu’à toi il voudra bien te parler ?
Moi : je ne suis certaine d’absolument rien, ni même du fait que je vais arriver à obtenir une quelconque information. La seule chose sont je suis absolument certaine c’est qu’il faut que je sois seule.
Hotch en posant une main sur l’épaule de JJ: JJ , je sais que ce ne sont pas nos méthodes habituelles de travail, mais il faut qu’on essaye de cette manière là.
JJ : si vous êtes d’accord avec ça hotch. En attendant, je vais aller voir si aucun média ne fait le pied de grue devant l’hôpital.
Hotch : c’est entendu JJ, vas-y.
JJ s’en va dans le grand couloir pour aller rejoindre l’entrée principale.
Hotch se tourne vers moi.
Hotch : c’est un bon cas d’étude pour ton dossier.
Moi : oui, faut-il que je puisse arriver à en tirer quelque chose, je ne l’ai jamais fait dans une telle situation.
Je me lève de la chaise et la douleur de l’appui sur ma cheville me fit faire une belle grimace
Hotch : les anti-douleurs ne sont plus efficaces ?
Moi : si elle commence à bien diminuer, j’ai beaucoup moins chaud, c’est juste que j’ai pris un mauvais appui. Je vais y aller maintenant.
Hotch : je reste derrière la porte si tu as besoin de moi.
Je me dirige vers la porte de la chambre de roger. Le stress d’avoir à interroger une victime avec mes méthodes et pas celle utilisée par l’équipe, m’envahit. La main sur la poignée de la porte de chambre, je prends un temps de pause et une grande inspiration avant d’entrer. J’entre….

Roger est un petit garçon brun aux cheveux court d’une douzaine d’années. Ces grands yeux bleus qui fixaient inlassablement le plafond sont d’un profond bleu océan. Il porte une chemise de l’hôpital et il est étendu là sur son lit, les bras le long du corps, ne bougeant pas d’un millimètre. Même mon intrusion dans sa chambre, ne le fait pas réagir, sont corps, ses membres, son regard, tout restent immobiles. La seule chose que l’on pourrait qualifier de vivant dans cette chambre est le dessin représentant probablement sa famille (ses parents, lui et me semble-t-il une petite fille, sans doute sa sœur) qui est poser sur sa table de chevet.
Moi : Bonjour Roger, je m’appelle Céline. Je suis venu là pour tenter de t’aider.
Je m’assois délicatement aux pieds de son lit.
Moi : On m’a dit que tu venais de vivre une aventure très désagréable, qu’une personne mal intentionné était venu t’enlever à la sortie de l’école. Mais cette personne ne t’a pas touché, elle n’a pas fait de mal à ton corps mais elle a fait du mal à ton cœur, à ta tête, c’est pour ça que tu as l’air si triste et que tu ne veux plus revenir parmi nous. Mais tout est fini maintenant, tu es en sécurité, je te promets qu’on te protège et que cette personne ne te fera plus jamais de mal. Pourtant, quand tu étais avec cette personne, tu n’étais pas seul tu as vu d’autres enfants, ou si tu ne les as pas vu tu savais que tu n’étais pas seul et que d’autre que toi était en danger. Contrairement à toi, ces autres enfants sont toujours avec cette personne et elles sont en danger et tu es le seul à pouvoir nous aider à les retrouver et à faire qu’ils retrouvent leurs parents. Alors s’il te plait, pour eux, il faut que tu m’aides.
Je commence à m’approcher doucement de lui.
Moi : je sais que pour le moment tu ne peux pas me parler. Je te comprends (avec un petit éclat de rire) moi-même si tu me voyais tu te demanderais ce qui m’est arrivé. Je suis couverte de bleus et j’ai eu pas mal d’os cassé. Comme toi, une personne méchante m’a fait ça et j’ai mal encore. J’ai autant mal à cause des blessures qu’il m’a faites que j’ai mal dans ma tête à cause des vilaines choses qu’il m’a dites et de la peur que j’ai constante qu’une telle chose se reproduise. Mais tu vois aujourd’hui je suis saine et sauve, je m’en suis sorti et je suis là pour t’aider. Toi aussi tu va arriver à t’en sortir et toi aussi tu dois maintenant aider tous ceux qu’il retient encore en otage et qu’il est en train de faire souffrir autant que toi il t’as fait souffrir. Tu es un garçon fort, et je sais qu’ensemble on peut arriver à faire quelque chose pour eux. Tu n’arrives pas à nous parler avec des mots pour le moment, ce n’est pas grave, parle moi dans ta tête et je vais essayer de t’entendre. Roger, maintenant je vais prendre ta main dans la mienne et tu vas commencer à visualiser tout ce qui s’est passé, je sais que c’est dur mais pense au moindre détails que tu as pu voir, sentir ou entendre, et je vais essayer d’entendre ce que tu veux bien me raconter.
Je prends la main de roger dans la mienne et lui caresse tendrement la main pour le rassurer.
Roger : je ne te veux aucun mal roger, mais aide moi s’il te plait. Je vais me taire maintenant pour essayer de t’entendre.


Après plusieurs dizaines de minutes à tenir la main de roger, les yeux fermés, dans un silence d’église, une énorme sensation de froid me parcours le corps et une vision d’horreur s’offre à moi , celle d’une petite fille blonde en train de crier à force de se faire battre à mort .
C’est alors , que le bruit extérieur d’un chariot d’infirmière, me fait revenir à la réalité. Je continue à tenir la main de roger, m’approche doucement de son visage et tout en lui caressant les cheveux de ma main « bandée », je lui dépose affectueusement un baiser sur son front tout en lui disant :
Moi : merci roger, je pense que tu nous a beaucoup aider. Je reviendrais te voir dès qu’on serra arrivé à l’arrêter. En attendant prend soin de toi, et je vais demander à ce que l’on mette des policiers en garde devant la porte de ta chambre pour que tu te sentes en sécurité et que tu reviennes parmi nous.
Je me dirige vers la porte de sa chambre pour sortir. A l’extérieur, JJ a rejoint Aaron ou tout deux m’attendait.
Hotch : tu es arrivé à savoir quelque chose ?
Voyant que je sortais de la chambre de roger, le docteur armstrong nous rejoint à son tour.
Moi : j’ai froid, je suis gelée.
JJ : mais tu avais trop chaud il n’y a même pas une ½ heure ?
Je prends les mains de JJ dans les miennes pour lui montrer qu’effectivement j’avais froid.
JJ : t’as les mains glacées.
Dr armstrong : vous devez être en état de faiblesse, je vais vous prendre votre tension , asseyez vous.
Je m’assoie et le docteur, commence à m’installer son tensiomètre sur mon bras pour prendre ma tension, pendant que hotch quitte sa veste pour me la poser sur mes épaules.
Moi : merci aaron, je vous assure que je ne suis pas fatiguée, j’ai juste froid .
Dr armstrong : votre tension est bonne pourtant, vous avez mal quelque part ?
Moi : pas du tout, ça va passer.
Hotch : céline, es-tu arrivé à savoir quelque chose ?
Moi : un endroit très froid, voilà ce que je suis arrivé à savoir, un endroit froid, il est traumatisé par un endroit froid…
Dr armstrong : il vous à parler….
Le dr armstrong ouvre violemment la porte de la chambre de roger, espérant trouver le petit garçon en possession de tous ces moyens, mais malheureusement, lorsqu’il ouvre la porte, roger se trouve dans la même position que lorsque j’étais rentré dans sa chambre.
Dr armstrong d’un air interrogateur et limite agacé: mais enfin son état est inchangé, il n’a rien pu vous dire…
Moi : il ne me l’a pas dit verbalement mais il me l’a fait comprendre, hotch, la petite fille qu’on a retrouvé est-ce que le médecin légiste a eu le temps de l’examiner ?
Hotch : je ne sais pas encore, prentiss et morgan sont avec lui.
Moi : je suis quasiment certaine qu’elle est morte depuis plus de 2 jours, qu’elle est morte avant que l’on ne retrouve roger au centre commercial.
Hotch : je vais appeler morgan, pour savoir si ils en savent un peu plus.
Hotch prend son téléphone, le mis sur haut parleur et appel morgan.
Hotch : morgan, c’est hotchner, est-ce que le médecin légiste à examiné le corps de Mélissa ?
Morgan : il est en train d’emmener son corps à la morgue pour pouvoir faire des examens plus poussés.
Hotch : quelles sont ses premières conclusions ?
Morgan : a priori elle serait morte suite à de nombreuses hémorragies internes provoquées par des coups.
Hotch : à quand remonte la mort ?
Morgan : 3-4 jours aux vues des premières conclusions.
A la suite de cette annonce, les regards étonnés de JJ et du docteur se tournent vers moi, tandis que aaron lui ne dégage aucune émotion.
Hotch : merci morgan, tu nous tiens au courant dès que vous avez quelque chose de nouveau.
Morgan : d’accord, et vous avez appris quelque chose ?
Hotch : il semblerait, dès que vous avez fini, on se retrouve tous au commissariat.
Morgan : rossi et reid finissent d’interroger les employés du magasin, je les avertis et dès qu’on en a fini avec prentiss avec le corps de mélissa on vous rejoint.
Hotch : a tout à l’heure.
Hotch raccroche son téléphone et le remet dans la poche intérieure de sa chemise.
Hotch s’adressant à moi : il semblerait que tu ais raison, dis nous tout ce que tu as trouvé ?
Je souffle sur mes mains pour tenter de continuer à me réchauffer, tandis que JJ s’assoie à côté de moi et commence à frotter la paume de sa main dans mon dos, pour diffuser de sa chaleur corporelle au travers de mon corps. Un peu abasourdi de la « la conversation »que je venais d’avoir avec le garçonnet, ma tête n’est plus vraiment ici.
JJ : céline, hotch t’as posé une question.
Moi en secouant un peu ma tête : désolée, j’étais ailleurs.
JJ : on a plus le remarquer
Hotch : qu’a tu appris d’autres dans cette chambre ?
Moi : roger à très certainement assisté à la mort de Mélissa , il en est traumatisé et c’est sans doute pour ça qu’il se trouve dans cet état.
Je me tourne vers hotch et lui demande : la petite à bien été violenté et c’est la cause de son décès ?
Hotch : tu as bien entendu morgan, pour l’instant le légiste dit que la mort est du à une hémorragie interne. Le corps est partie pour l’autopsie, on ne connait pas la cause exacte de cette hémorragie, mais des coups peuvent effectivement en être la cause …
Le dr armstrong se prend la tête dans les mains et d’un air étonné à la limite de la panique : mais c’est impossible qu’il vous ai parlé….(en ouvrant la porte de la chambre)…regardez le, il ne bouge absolument pas….
Hotch et moi nous nous regardons d’un air embêté par cette question.
Hotch : docteur, elle est spécialiste dans le comportement des enfants, c’est son métier
Je l’interromps et lui dis : Docteur, vous savez, nulle besoin de parole pour pouvoir communiquer…
Le docteur : avec quoi d’autres alors ? Même notre pédopsychiatre a échoué avec roger.
Moi : je ne suis pas psychiatre, je n’ai pas leur connaissance, j’ai juste beaucoup observé les enfants et j’emploi d’autres méthodes.
Dr armstong : je suis curieux de les connaître.
Moi regardant hotch en ne savant pas trop quoi répondre : je vous les expliquerais, mais pas maintenant, là nous avons des enfants à retrouver.
Dr armstrong : j’ai du travail je dois y aller.
Le dr armstrong nous tourne le dos et retourne vers le bureau des infirmières ou il continua de lire ses dossiers.
JJ : t’as fait fort sur ce coup là dis-moi, les médecins on échoué là ou t’as réussi.
Moi : non JJ, je ne l’ai pas guéri, les médecins maintenant qu’ils savent vont pouvoir le faire
JJ : il t’a quand même donné des informations
Moi : oui, mais tu sais bien que dans notre métier nous voyons des choses que les autres ne voient pas car ils n’y accordent importance.
JJ : c’est vrai, tu nous parlais aussi d’un endroit froid.
Moi : oui
Hotch : est-ce que tu sais ce que c’est comme endroit ?
Moi : pas du tout, je sais juste qu’il y fait très froid.
JJ : garcia pourrait peut-être nous aider ?
Hotch pris de nouveau son téléphone et appel garcia.
Garcia à l’autre bout du fil : agent garcia j’écoute..
Hotch : garcia, peut tu nous lister tous les endroits de la ville et des environs qui ont un rapport avec le froid : lieu public, entreprise de climatisation…. ?
Garcia : sans aucun problème , monsieur, je vous fais ça tout de suite.
Hotch : garcia, cherche nous rentrons immédiatement au commissariat (hotch raccroche et range son téléphone)
Hotch s’adressant à JJ et à moi: nous allons retourner au commissariat central.
En tendant la main vers hotch pour le retenir : ce serait bien qu’il y ai une surveillance policière devant la porte de la chambre.
JJ se levant en même temps que moi : tu penses qu’il peut être en danger ici ?
Moi : je ne sais pas. Le petit à peur, la présence policière pourrait le rassurer et l’aider à sortir de son état végétatif.
Hotch d’un air désapprobateur : on ne peut pas mobiliser des forces policières pour aider à guérir une personne alors que d’autres à l’extérieur sont en danger.
Moi : au-delà de ça, j’ai peur que le kidnappeur ne revienne. Ce n’est pas logique qu’il ai tué mélissa et pas roger, je ne voudrais pas qu’il revienne à l’hôpital pour finir son œuvre.
Hotch : c’est une hypothèse, tant qu’on ne sait pas ce que le kidnappeur veux, on ne va prendre aucun risque.
Moi : merci hotch.
Hotch : en partant, je vais aller prévenir le docteur armstrong et j’appelle tout de suite le commissaire valente pour qu’il envoie des hommes.
JJ, Aaron et moi nous nous en allons et nous retraversons les longs couloirs de l’hôpital, pour aller rejoindre notre voiture, direction le commissariat

De retour au centre de police, tout le reste de l’équipe est déjà là, à l’intérieur du bureau qui a été tout spécialement aménagé pour notre équipe.
Le commissaire valente s’approche de hotch.
Valente : agent hotchner, 2 de mes hommes sont parti à l’hôpital pour surveiller la chambre du petit roger.
Hotch, tout en continuant de s’avancer en direction du bureau : parfait commissaire, nous avons du nouveau, nous allons enfin pouvoir dégager un profil, venez avec nous.
Le commissaire valente emboîte le pas à celui de hotch, tandis que JJ et mois les suivons derrière, d’un pas beaucoup plus lent du fait de la douleur de ma cheville.
En arrivant, Emily et Dereck, que je n’ai pas encore pu voir depuis mon arrivée font le tour de la table qui siège au milieu de la salle pour venir me dire bonjour.
Le premier à venir vers moi est derek.
Derek : t’as meilleure mine ma poupée
Moi : merci derek
Emily : le voyage n’a pas été trop pénible.
Moi : avec garcia, c’est pas possible de faire un voyage pénible…
Garcia, en entendant ses paroles, relève la tête de son ordinateur et avec un large sourire et un clin d’œil nous dit :
Garcia : merci mon chou, pareil pour moi. Bon en attendant, je vous ai sorti la liste des endroits ayant un rapport avec du froid.
Derek me tire une chaise d’au-dessous de la table pour que je puisse m’y asseoir. Une fois assise dessus, je tire celle d’à-côté pour pouvoir y étendre ma jambe où ma cheville me tiraillait un peu.
Tous font de même et s’attablent autour du bureau, à l’exception de spencer qui se trouve toujours debout devant le tableau, un feutre à la main, essayant de trouver une logique à la localisation géographique du kidnappeur, et de hotch qui se tient debout à ses côtés.
Hotch : david, les employés du magasin ont-ils vu quelque chose.
David : pas grand-chose, les poubelles se trouvent à l’extérieur, et ils ne s’y rendent que le soir, une fois que le ménage du magasin a été fait et le matin pour jeter les cartons une fois qu’ils ont mis les vêtements en rayon.
JJ : et ils ont découvert quand ?
Rossi : en fin de matinée quand l’apprenti sortait les cartons.
Hotch : ils n’avaient vu personne de suspect ?
Reid : non, rien de suspect. Par contre ont à retrouvé quelque chose d’étrange dans la cour : une feuille de chêne.
Hotch d’un air interrogateur : une feuille de chêne ?
Reid : oui, le souci c’est qu’aux alentours du centre commerciale, il n’y a pas d’arbres et les seuls que l’ont peut voir ce sont des peupliers.
Rossi : garcia peux-tu faire un regroupement avec les lieux où on peut trouver des chênes et les lieux où de la liste que tu nous as déjà sorti.
Garcia : pas de problème, ça sera sur vos écrans…maintenant…
Rossi : au fait hotch, pourquoi cette recherche sur les lieux froids ?
Hotch : c’est ce que roger a fait comprendre à céline.
Prentiss : il va mieux alors ?
Moi : pas encore pour le moment, mais il a entendu ce que j’avais à lui dire et il m’a répondu, comme il a pu mais il m’a répondu, enfin c’est ce que je crois avoir compris….(je ne me sens pas très bien car je suis obligé de leur mentir) : son corps est devenu subitement froid.
JJ : c’est pour ça que tu es ressorti gelé ?
Reid se retourne brusquement vers ma direction et s’arrête d’écrire sur le tableau.
Reid : comme ça gelée ?
Moi : ce n’est rien, c’est passé maintenant, concentre toi plutôt sur le profil géographique, il ne nous reste plus que quelques heures avant que ce malade n’enlève de nouveau un enfant.
Cette intervention, me soulage grandement car elle me permet d’arrêter là les explications sur le pourquoi du comment je suis arrivée à savoir que roger était traumatisé par un endroit froid.
Prentiss : 2 endroits qui correspondent.
Garcia : une usine à glace et une patinoire.
Hotch : reid….
Reid : attendez, je note ces 2 points sur la carte.
Hotch : on peut supposer que l’un de ces 2 lieux est l’endroit où ils cachent les enfants.
Reid qui se retourne violemment :
Reid : la patinoire, c’est la patinoire…
Derek : garcia, qu’est-ce que t’a comme renseignements sur la patinoire et son propriétaire :
Garcia : attendez, attendez….Albert Moore, 52 ans en est le propriétaire à la suite d’un accident, sa carrière en tant que patineur professionnelle fut anéanti ce qui lui valu le rejet de la part de ses parents qui avait placé touts ses espoirs en lui. Depuis 20 ans, son chiffre d’affaire est déjà en baisse depuis déjà 2 ans, il a fait de nombreux crédits pour pouvoir moderniser sont affaire mais là, sa dernière demande a été refusé. Du coup la mairie qui le soutenait financièrement a décidé d’arrêter de lui verser des fonds en…oh mon dieu…. Il y a 3 mois, la mairie lui a notifié qu’à partir de la rentrée prochaine les groupes scolaires ne viendraient plus dans son établissement pour faire du sport à l’école, du coup il n’aura pas de subvention et au vu des dettes qu’il a rembourser, il va devoir mettre la clé sous la porte et qu’à la place, les enfants iront faire de l’initiation aux différents sports…à la salle de gym qui se trouve au sous sol du centre commercial.
Emily : c’est bon on a notre profil et notre élément déclencheur.
JJ : mais pourquoi s’en prendre aux enfants ?
Garcia : juste une minute JJ, l’école de la première victime va à la patinoire tous les vendredis, la seconde tous les lundis, la troisième tous les mardis et ainsi de suite…
Morgan : selon ce schéma logique, il va enlever sa 6ème victime, donc un enfant d’une école qui va à sa patinoire le vendredi.
Hotch : garcia, quelles sont les écoles qui sont au programmé pour aller à la patinoire le vendredi ?
Garcia : il n’y en à qu’une le vendredi, l’école primaire de beverly place avec la classe de CM2 .
Hotch : JJ appel tout de suite la directrice de cette école et mets l’école sous surveillance policière.
JJ se lève de sa chaise et se lève pour partir de la pièce.
JJ : j’y vais tout de suite hotch.
Morgan : on ne sait toujours pas pourquoi il a tué la petite mélissa et relâcher roger ?
Hotch : que peux tu nous apprendre d’autres garcia ?
Garcia pianote de nouveau sur le clavier de son PC.
Garcia : son adresse personnelle est le 125 Manchester street
Hotch : d’accord la priorité est d’essayer de retrouver les enfants et n’éviter qu’il en enlève un autre. david et emily vous allez à son domicile avec le commissaire valente pendant que morgan, reid et moi nous allons à la patinoire. Céline, tu restes ici, tu centralises les opérations avec garcia et tu te reprends un peu.
Moi : je préférerais retourner à l’hôpital si ça ne vous ennuie pas.
Hotch : tu crois qu’on est passé à côté de quelque chose d’autres d’important ?
Moi : non, il ne me semble pas, mais je me sentirais plus utile là-bas qu’à vous attendre ici, puisque je ne peux médicalement pas venir avec vous sur les lieux.
Hotch : d’accord. Allons-y
Valente s’adressant à moi : je vais demander à un de mes hommes de vous y conduire madame.
Moi : c’est gentil merci.
L’équipe s’en va, après que chacun pris soin de revêtir les gilets pare balle, les blousons ou les casquettes estampillé « FBI ». En passant, spencer me sourit et me pose sa main sur mon épaule comme pour me dire de tenir encore un petit peu, que bientôt nous pourrions enfin nous retrouver. En retour je pose également ma main sur la sienne et dans un regard langoureux commun, spencer part avec les autres en destination de la sortie du commissariat pour aller tenter de retrouver les enfants.
Pendant ce temps là, je me lève et pars avec un officier en direction de l’hôpital.
Moi : pénélope tu vas t’en sortir.
Garcia : je ne vais pas laisser cette pourriture toucher un seul cheveu d’un autre de ces gamins ( et pénélope retourne le nez dans son clavier et d’un geste de la main pour me dire de partir)….vas-y je centralise les opérations , non mais on va pas le laisser faire ça ce salopard.
Moi : pénélope, tu me mets en liaison avec les équipes tout de même ?
Garcia : bébé, bien sûr que oui, allez oust du balai….faut le coincer
Moi : merci pénélope à tout à l’heure.
A mon tour, je prends la direction de la sortie du commissariat en direction de l’hôpital.

Du côté de la maison de Albert Moore, Rossi , Prentiss et le commissaire valente sont en train d’arriver.
David et Emily descendent de leur 4x4 noir tandis que le commissaire accompagné d’un policier descendent de leur voiture de fonction. Tout en réajustant leur gilet, ils s’approchent doucement de la maison en prenant leur arme à la main.
Rossi : prentiss vas vers la porte de derrière avec les 2 policiers en couverture. Commissaire valente, vous assurez mes arrières
Emily : d’accord rossi.
Valente fait un signe de la main en apposant son index et son majeur l’un contre l’autre, le signe des plongeurs pour dire OK.
Tous s’approchent furtivement des portes d’entrée respectives de la petite maison blanche qui d’extérieur semble être très crasseuse à l’intérieur au vu de l’aspect du jardin qui est laissé à l’abandon.
L’herbe n’avait pas du être tondu depuis des semaines puisque sa hauteur atteignait presque la palustrade décrépi qui sépare la maison de albert Moore à celle de ses voisins, et d’innombrables feuilles jonchent le sol de la terrasse en béton.
Seuls les volets semblent être en bon état.
Soudainement, chacun de leur côté , Emily enfonce la porte de derrière tandis que David fracasse celle de devant, tout en tendant leur arme en avant au cas où le kidnappeur se trouve dans la pièces. Tous inspectent minutieusement chaque pièce de la maisonnette. Personne : ni enfant, ni ravisseur.
Tout d’un coup emily appelle rossi :
Emily : rossi venez voir
Davis, se dirige à la voix de prentiss pour savoir dans quelle pièce elle se trouve . Le commissaire et ses officiers, emboîtent son pas.
Emily les yeux écarquillés de surprise
Emily : regardez….
Ils se trouvent dans la chambre d’albert. Dans cette chambre point de tapisserie, des photos et des articles de presse sont affichés sur les murs recouvrant totalement les murs. Tous observent attentivement et minutieusement les murs de la chambre, touchent les photos après avoir pris soin de mettre des gants pour ne pas laisse d’empreinte et détérioré les preuves potentielles,lisent les coupures de presse,et vont d’un endroit à l’autre de la pièce.
Valente : mais qu’est-ce que c’est que tout ça ?
Emily : Il semblerait que sa vie entière soir étalée sur les murs de sa chambre. Regardée sur cette photo il ne doit pas voir plus de 3 ou 4 ans et on le voit sur des patins à glace.
Rossi : tu ne trouves rien de surprenant prentiss ?
Prentiss : il y a uniquement des photos et des coupures de presse en rapport avec le milieu du patinage artistique. Regardez tout est disposé de manière chronologique, de gauche à droite on le voit enfant jusqu’à aujourd’hui sur les articles les plus récents.
Valente : oui et les articles les plus récents parlent du kidnapping des enfants.
Rossi : vient voir ça prentiss, jusqu’à la fin de son adolescence, on le voit tout le temps photographier avec ces parents. Là c’est la dernière photo où il a été pris avec ses parents.
Prentiss : et juste à côté, il y a l’article « un espoir brisé » et ça parle de sa blessure et ensuite plus aucune photo, que des articles de presse parlant de l’ouverture de sa patinoire
Rossi : et plus aucune trace de ces parents non plus..
Prentiss : ça colle avec ce que garcia nous a dit tout à l’heure, que suite à son accident, ses parents lui ont tourné le dos.
Emily se dirige vers david.
Prentiss : elle est là notre explication : ses parents l’ont conditionné durant toute son enfance et son adolescence à devenir une bête de concours, pour eux leur enfant n’était pas un enfant mais une machine à gagner une machine à rapporter de l’argent, regardez sur cette photo l’attitude de son père lorsqu’il brandi la coupe qu’il a gagné.
Sur cette photo on peut voir un petit garçon d’une dizaine d’année brandir son trophée et son père, cigare à la bouche, affichant un sourire sacarstique de victoire, regardant plus la coupe en plaquée or que son fils.
Emily : et le jour où à cause de son accident, leur fils n’a plus pu patiner, il leur était devenu inutile et ont couper toute relation avec lui. Avec la perte de sa patinoire, il a le sentiment de revivre l’échec de cette adolescence, mais cette fois-ci pour lui les enfants sont là cause de sa perte…
Rossi : et c’est pour ça qu’ils les kidnappent, mais pourquoi en garder certains et en tuer d’autres ?
Emily : ça c’est encore un mystère…
Rossi : il faut prévenir hotch et garcia qu’il n’est pas à son domicile, et qu’il est très probablement à la patinoire. Je téléphone à hotch, appel garcia de ton côté.
Ils prennent tous 2 leurs téléphonent et appellent respectivement arroon et pénélope pour les tenir au courant de l’évolution de l’affaire.

/ Pendant ce temps là du côté de la patinoire, reid, morgan et hotch se préparent à prendre d’assaut l’édifice. Heureusement, c’est l’heure de fermeture, donc il ne doit pas y avoir trop de monde à l’intérieur. (la piste devant être refaite entre midi et 14heures et le soir après la fermeture). Les 3 points de sortie du bâtiment sont sous surveillance. Hotch s’occupe de pénétrer par la porte principale destinée aux visiteurs, tandis que reid s’apprête à entrée par la porte d’entrée réservée aux personnels et aux livraisons diverses, tandis que morgan surveille l’unique porte de secours que possède l’établissement. Tous sont accompagnés d’un officier de police, pour leur servir de renfort.
Grâce à leurs oreillettes qui leur permet d’être en contact permanent les uns aux autres tout en ayant les mains libres, hotch commence le compte à rebord pour coordonnées leur intrusion dans la patinoire.
Hotch : reid, morgan, vous êtes en place ?
Morgan : c’est bon pour moi
Reid : pareil pour moi.
Garcia qui est en relation constante avec tous les membres de l’équipe, intervint :
Garcia : monsieur, normalement à cette heure là vous ne devriez trouver personne à l’intérieur. Le seul employé que possède encore albert moore est un étudiant de 19 ans qui ne vient travailler que le soir de 18h à 19 h et le samedi et dimanche après-midi. Vous devriez trouver albert moore seul.
Hotch : merci garcia.
Garcia : faites attention à vous mes petits chéris et attrapez moi cette ordure…
Hotch : reid, morgan, vous avez entendu garcia. On fait attention. On y va…. maintenant.
Tous pénètrent à l’intérieur en défonçant les portes.
En rentrant vers Hotch, aucune lumière et ils doivent allumé des lampes torches car les petites lucarnes, n’éclairent pas assez la grande piste où se trouve la piste. Ils fouillent dans tous les endroits, le bar, l’arrière-bar, les vestiaires, les toilettes, les gradins, les dessous de gradins, mais il n’y a personne.
Hotch s’adressant à Morgan et Reid : Je n’ai rien de mon côté.
Morgan qui venait de finir de traverser le couloir qui mène de la porte de secours à l’entrée , rejoint hotch. Il arrive vers lui et lui dit :
Morgan : rien non plus pour moi….il touche son oreillette et s’adresse à reid : Reid est-ce que t’as quelque chose ?
Reid : négatif mais , on a pas encore eu le temps d’inspecter toutes les pièces (l’entrée des employées et le stockage si situe effectivement au dessous de la patinoire)
Morgan : on te rejoints reid.
Hotch et morgan descendent l’escalier situé à côté des gradins pour aller rejoindre reid, tandis que les policiers qui les accompagnent restent à l’étage pour guetter d’éventuels mouvements.
Hotche et morgan descendent l’escalier, jonché de poussière et aperçurent reid et l’agent de police dans la pièce d’en face qui sont en train de la fouillé, poussant des cartons de droite et gauche.
Reid aperçu son équipe et d’un geste de la main et de la tête, morgan indique à reid que hotch et lui vont s’occuper d’entrer en silence dans la pièce à leur droite. Reid fait un hochement de la tête pour leur dire qu’il a compris.
En entrant dans la pièces, aaron et derek découvre une réserve alimentaire : eau, gâteau apéritifs, congélateurs, pop corn , boissons diverses et variées sont soigneusement rangées sur diverses étagères….mais toujours personnes.
Subitement le regard de Morgan est attiré par une étrange trace sur le sol .
Morgan s’accroupit pour la voir de plus près.
Morgan : regardez hotch qu’est-ce que c’est que cette trace ?
Hotch s’agenouille à son tour.
Hotch : on dirait que l’on a déplacé quelques choses de lourd.
Morgan : et régulièrement vu la profondeur des entailles…
Hotch se lève, attrape une des étagères et la fait pivoter sur elle-même. Les pieds de l’étagère s’emboîtent exactement dans celle laisser sur le sol.
Morgan : on déplace très souvent cette étagère.
Morgan agrippe l’autre côté de l’étagère et grâce à la force conjointe de 2 hommes, ils dégagent le mur qu’obstruait ce meuble. Derrière se dissimule une toute petite porte, fermée à l’aide d’un cadenas. Morgan dégaine son arme qu’il avait remis dans son fourreau pour déplacer l’étagère et tire sur le verrou. Celui-ci explose sous la pression des balles.
Derrière le mur, un minuscule sasse et de chaque côté une porte. Morgan, toujours l’arme à la main défonce la porte de droite, pendant que hotch, prend également sont arme à la main et s’occupe quand à lui de la porte de gauche.
En rentrant, hotch et morgan ont l’immense surprise de découvrirent les enfants . Dans la pièce de droite se trouve une fille tandis que dans celle de gauche les garçons sont rassemblés ensembles.
Les enfants sont prostrés dans leur coin et ont peur pensant sans doute que leur ravisseur revenait les voir. Tous sont mal peignés, pas très propre et sont vêtu d’habits prêt du corps, avec des paillettes, de couleurs vives : bleu pour l’un, rouge pour l’autre, en réalité des costume de représentation que portes les patineurs.
Hotch s’adressant aux enfants : n’ayez plus peur, nous sommes de la police, est-ce que vous allez bien ? – et il s’approche d’eux- on va vous sortir d’ici.
Sur ces paroles l’un des 2 petits garçons se jette dans ses bras.
Hotch : ça va allez, le cauchemar est fini.
Hotch crie et s’adresse à morgan qui se trouve dans la pièce d’en face :
Hotch : morgan, j’ai les 2 garçons avec moi..
Morgan : j’ai la petite rosalita avec moi ….dieu merci, ils sont tous là.
Garcia qui communique toujours via les oreillettes : vous les avez retrouver, génial, je préviens tout de suite JJ qu’elle prévienne leurs parents
Hotch : garcia, demande aussi aux ambulances de venir pour examiner les enfants.
Garcia : tout de suite monsieur.
Des policiers arrivent dans le sous-sol pour sortir les 3 enfants de leur prison.
Hotch s’adressant aux 3 enfants et reposant celui qu’il a dans ses bras : les enfants, sortez avec les policiers, les médecins vont venir vous examiner et vos parents vont venir vous chercher.
Les 3 enfants partent en direction du dehors avec les policiers. La petite fille et le plus jeune garçon des deux se mettent à pleurer de soulagement tandis que leurs petits pas leurs font regagner peu à peu leur liberté.
Morgan et Hotch observent les 2 pièces. Les 2 pièces sont similaires à tout point : sombre, sale,sans fenêtre, isolé au maximum, avec un grand matelas posé là par terre à même le sol, sans aucun draps, un pot de chambre avec 1 bouteille d’eau. Dans le coin une paire de patin à glace pour chaque enfant. Sur un étagère, hors de portée des enfants, des sacs.
Hotch : au vue de la manière dont les petits sont habillés, ont sait maintenant ce qu’il leur faisait faire.
Morgan : oui du patin à glace, il leur faisait faire ce que lui faisait étant enfant.
Hotch : il revivait à travers eux son rêve de gosse, il essayait de recréer à travers eux sa période la plus heureuse où il avait tout, ses parents et la réussite.
Morgan en regardant en direction de l’étagère : qu’est ce que c’est que ça ?
Il s’avance pour prendre l’un des sacs et l’ouvre. Dedans des vêtements emballés, très soigneusement et fermé bien hermétiquement.
Morgan tend l’un des vêtement vers hotch : hotch, un pull vert. Les parents de Rosalita ne nous ont pas dit que le jour de son enlèvement leur fille portait un pull vert.
Hotch prend le pull que lui tend morgan : si, avec un jean bleu délavé.
Pendant que hotch prononçait ses paroles, morgan, retire du sac un jean bleu délavé qu’il montre à hotch.
Morgan : et je paris que dans chacun des sacs on va trouver les vêtements que portait ce jour là les enfants.
Morgan, prend autour de lui tous les sacs et s’adresse à garcia : garcia, ma beauté peut tu nous dire ce que portait exactement chacun des enfants le jour de leur enlèvement ?
Garcia : avec grand plaisir mon bel étalon…attend juste une seconde…
Garcia : rosalita : pull vert, jean bleu délavé et une paire de basket rouge, Norbert jean noir avec une chemise à carreau rouge et de mocassins noir, harlem un jogging noir de marque nike avec les baskets noirs assortis.
Au fur et à mesure que pénélope énumère les vêtements des enfants, morgan sort exactement les habits que garcia lui décrit.
Morgan : Ok on a compris pourquoi on a absolument rien retrouvé sur les vêtements de roger lorsqu’on l’a retrouvé.
Hotch : oui, dès leur enlèvement il a dû les habiller avec les vêtements de compétition des patineurs et il a rangé soigneusement et très hermétiquement les vêtements qu’ils portaient le jour de leur kidnapping…
Morgan : du coup difficile de trouver un seul indice sur les vêtements de que portait roger le jour où on l’a retrouvé.
Hotch : il conserve les habits en guise de trophée, et il s’est débarrassé de roger avec le trophée que roger représentait. C’est que roger ne représentait plus pour lui son fantasme, il ne l’excitait plus autant. A contrario, il s’est aussi débarassé de mélissa qui ne devait plus elle aussi le satisfaire..
Morgan : oui, mais elle a été retrouvée morte et nue, reste à savoir pourquoi ?
Soudain, reid appelle aaron et derek.
Reid : venez vite voir par ici…
Morgan : tu as trouvé albert moore ?
Reid : non il n’y a personne ici non plus …
Hotch : mais où est-il.. ? – il commence à prendre son téléphone – il faut prévenir JJ, il y à des chances pour qu’il soit parti pour enlever un autre enfant à la sortie de l’école.
Reid prend le bras de hotch pour l’empêcher de téléphoner à JJ.
Reid : il ne me semble pas qu’il soit parti pour l’école, regardez…
Derrière des cartons, une petite table avec des restes de repas, un verre renversé et la chaise à terre ainsi qu’une télévision qui est éclaté parterre.
Reid : quelque chose l’a fait partir précipitamment en laissant tout derrière lui, il ne reviendra pas ici, il est en fuite et ne cherchera pas à enlever d’autres enfants…
Hotch d’un ton énervé qui peux se lire sur son visage : mais où a-t-il bien pu aller maintenant ?
Pénélope reprise la conversation : je crois qu’on a un problème les garçons ?
Reid : lequel ?
Garcia en bégayant : à la télé….mais comment ont-ils su ?....ils parlent de l’affaire, sur CBS, ils sont en train d’annoncer que le kidnappeur d’enfant a été identifié et que la police et le FBI sont en train de l’arrêter.
Morgan fait des grands gestes d’énervements et de désespoirs en secouant violemment ses bras vers le sol : mais c’est pas vrai ils sont en train de tout faire capoter…
Hotch : garcia mets, moi tout de suite en relation avec JJ
Garcia : très bien monsieur .
JJ : agent jarreau.
Hotch : JJ est-ce que tu es au courant ?
JJ : oui, je viens de vois ça à l’instant.
Hotch : comment la presse a-t-elle pu être au courant ?
JJ : une fuite d’un des officiers qui a vendu la mèche sans nous en parler.
Hotch : mais c’est pas vrai quelle inconscient…on aurait pu l’arrêter sans cette histoire. JJ laisse les agents du commissaire valente continuer de surveiller l’école, même si il ne doit pas y avoir de risque maintenant et occupe toi de canaliser la presse.
JJ : c’est ce que j’ai commencé à faire hotch.
Hotch : continu, il ne faut que rien d’autres ne filtre.
morgan appelle rossi et prentiss qui se trouvent sur l’autre « lieu du crime »
Rossi : je t’écoute morgan
Morgan : rossi, albert moore, vient de nous échapper, est-ce que vous avez trouvé quelque chose chez lui qui pourrait nous dire vers où il est parti ?
Emily : sa chambre est l’étalage de sa vie de sa plus tendre enfance à nos jours, il revit l’échec et l’abandon de ses parents avec la faillite de sa patinoire.
Reid : voilà pourquoi il leur faisait faire du patin à ses petits. Dans ce rôle il prenait la place du père, et il ne pouvait décevoir plus personne, la déception ne pouvait plus venir de lui , mais uniquement des enfants si jamais ils n’étaient plus à la hauteur de ses espérances. Il se trouvait en position de force, et il pouvait punir les enfants à son bon vouloir si ceux-ci n’étaient pas assez bons. Melissa ne le satisfaisait sans doute plus, elle n’était pas probablement assez bonne pour lui au niveau du patin à glace et il l’a puni…en la tuant et en la jetant dans une poubelle nue, comme un simple objet, sans aucun signe de distinction…il a reproduit l’image qu’avait ses parents sur lui.
Rossi : il n’a pas pu finir son œuvre puisqu’on vient de l’en empêcher, il va vouloir la finir, c’est un psychopathe, il ne se laissera pas arrêter pour marquer les mémoires…
Morgan : et la seule personne qui puisse l’aider à assouvir son ultime fantasme…
Reid qui avale sa salive avec un air inquiet : c’est roger, il s’en ai débarrassé mais maintenant c’est le seul avec qui il puisse terminer son œuvre.
Hotch : on se rend tous immédiatement à l’hôpital. Garcia, prévient céline que albert moore, est probablement à l’hôpital.
Garcia panique : je la préviens de suite..


Je vous donne las suite bientôt si ça vous dit toujours, et j'attend vos commentaires sur ce que vous en pensez...(mise à part les fautes d'orthographes) omg
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MessageSujet: Re: Totally Reid Team (T.R.T)   Totally Reid Team (T.R.T) - Page 16 Icon_minitimeDim 18 Juil 2010 - 11:52

Super applaud
Bon j'ai pris mon courage à deux mains car c'était monstrueusement long!! study omg mais bien!! applaud
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MessageSujet: Re: Totally Reid Team (T.R.T)   Totally Reid Team (T.R.T) - Page 16 Icon_minitimeDim 18 Juil 2010 - 20:35

Je vais tenter de poster la suite plus régulièrement pour que ça ne vous fasse pas trop à lire d'un seul coup.., mais je crois que je suis sur ma lancée
De mon côté, l’officier me dépose à l’hôpital et j’arpente de nouveaux ces longs et interminables couloirs où l’air devient presque irrespirable. J’arrive devant la porte de Roger ou un garde est posté devant .Je lui montre ma plaque d’identification du FBI pour qu’il me laisse entrer à l’intérieur.
En entrant dans la chambre, je vois les parents de Roger, chacun d’un côté de son lui qui lui tiennent la main. En me voyant arriver ils tournent la tête en ma direction. Je leur tends la main pour les saluer et leur dit.
Moi : bonjour, vous devez être monsieur et madame Smith, les parents de Roger ?
Mme Smith en me tendant à son tour la main : oui
Moi : je suis l’agent Guichard…
Je n’ai pas le temps de finir ma phrase que Mr Smith se lève du lit de Roger sur lequel il est assis pour venir vers moi :.
Mr Smith : c’est vous.
Je le regarde, stupéfait, je ne comprends pas ce qu’il veut me dire.
Mr Smith : c’est vous qui avez pu communiquer avec Roger ?
Mme Smith qui ne ma lâche pas la main : oui c’est votre nom que le docteur Armstrong à prononcé. S’il vous plait, à nous il ne nous a toujours pas dit un seul mot, aidez nous…
Ces mots jettent un froid dans la pièce et je ne sais pas trop comment l’expliquer à ces parents en détresse :
Moi : Mr et Mme Smith asseyez vous un moment.
En s’asseyant, monsieur Smith remarque mes blessures.
Mr Smith : oulala, vous êtes blessé vous aussi, et vous continuez de travailler, vous vous êtes fait ça comment ?
Je regarde ma main bandée qui se pose sur mon ventre sur lequel les bandages qui soutiennent encore un peu mes côtes sur le point de la guérison, sont dissimulés par mes vêtements.
Moi : une enquête qui s’est mal déroulé pour moi, et oui je suis malgré tout capable de travailler dans certaines limites naturellement.
Je m’avance au pied du lit.
Moi : Mr et Mme Smith, je ne suis pas médecin et je ne suis pas capable de guérir votre enfant, il faut bien que vous compreniez ça.
Les larmes de Mme Smith commencent à couler.
Mme Smith : mais vous l’avez bien guéri, le docteur Armstrong nous a dit que quand vous êtes venu voir Roger, il vous avait donné des informations.
Moi : ce n’est pas tout à fait exact. Roger ne m’a pas parlé. Je travaille au FBI en tant qu’analyste du comportement et je suis spécialisée dans les enfants. J’ai juste analysé les réactions que votre fils avait quand je lui posais des questions.
Mr Smith, hésitant tant il est dans l’incompréhension : mais enfin, il est complètement inerte.
Moi : ce que vous vous voyez d’inerte, pas moi.
Mr Smith qui se retourne sur son fils : et là vous voyez quoi ?
Je fixe mon regard sur Roger, tout en sachant très bien que comme ça, je ne pourrais absolument rien percevoir. Après quelques dizaine de seconde qui paraissent des heures :
Moi : je suis désolée, là je ne vois rien.
Mes paroles finissent par faire pleurer totalement Mme Smith. Je m’approche d’elle, m’accroupi vers elle qui est assise sur une chaise et lui prend ses mains.
Moi : Mme Smith, écoutez moi. J’ai l’intime conviction que Roger vous reviendra dès que le kidnappeur sera sous les verrous, c’est ce qu’il me semble avoir compris lorsque j’ai analysé les attitudes de Roger la dernière fois. Pour le moment, il faut nous laisser faire notre travail et surtout laisser les médecins faire leur travail aussi, ce sont eux qui peuvent le guérir. C’est d’accord ? Les médecins s’en occupent bien ?
Mr Smith s’approche de Mme Smith pour la consoler.
Mr Smith : Roger doit encore passer un scanner dans l’après-midi.
D’un signe de la tête, Mme Smith, et Mr Smith avec un sourire, me font comprendre qu’ils avaient compris et qu’ils avaient retrouvé espoir.
C’est alors qu’on frappe à la porte. C’est un infirmier avec des lunettes et une grand barbe et moustache.
L’infirmier : bonjour je viens chercher Roger pour l’emmener faire son scanner.
Il débloque le lit de Roger pour qu’il puisse le faire rouler et l’emmène pour lui faire passe son scanner. Au passage, j’attrape la main de Roger comme pour lui souhaiter bon courage, de tenir encore le coup, qu’il faut qu’il continue à se battre.
Malheureusement, en attrapant sa main, une boule au ventre me tord les boyaux et me fige net.
Je ne suis pas tranquille, cette sensation n’est pas normale. Je m’excuse auprès des parents de Roger et sort de la chambre. Il y a quelque chose qui cloche. Je m’approche des bureaux des infirmières, me retournent et observent attentivement, tous les objets, tous les mouvements de cet étage.
Le père de Roger sort de la chambre et vient me voir.
Mr Smith : de toute façon ça ne va durer encore très longtemps,
Moi : je l’espère
Mr Smith d’un air incompréhensif : les infos viennent de dire que vous connaissiez le coupable et que vous étiez parti l’arrêter ?
Je suis surprise.
Moi : comment ça ? les médias sont au courant ? mais comment ont-ils su ?
Devant mon air surpris et étonné, il prend la télécommande pour allumer le poste.
Mr smith : tenez regardez.
A la télé, flash spécial, Le FBI connait le kidnappeur et est sur le point de l’arrêter, c’est le propriétaire de la patinoire de phoenix.
Quand tout d’un coup, mon regard est attiré par le planning des infirmières et aide soignante : house germaine, gayler célia, jackson emma, difental corinne…..des femmes, uniquement des femmes sont au planning et c’est un homme qui a emmené roger faire son scanner….il ne fait pas parti de l’hôpital.

Moi : ce n’est pas possible, excusez moi mr smith,.
J’appel très fort le policier en poste devant la chambre de roger tout en prenant mon téléphone et en installant le système blue-thoot de celui-ci à mon oreille.
Moi : officier, rattrapez l’infirmier qui a emmener roger, c’est le ravisseur, suivez le dans couloir, il se dirige en direction de l’ascenseur, moi je prends les escaliers..
Je n’ai pas le temps de composer le numéro que mon téléphone sonne, c’est pénélope.
Pénélope : céline, …y’a eu une fuite…les médias, ils ont..
J’interromps pénélope, avec une voix essoufflée tout en continuant à courir tant bien que mal.
moi : je suis au courant, j’ai besoin de renfort, Albert Moore, est là et il a enlevé Roger…vite…on n’est que 2 sur place…
Pénélope paniquée : OK, OK,je préviens l’équipe tout de suite….
Moi : rappel moi tout de suite après il faut que tu mes guides à l’intérieur de l’hôpital, je ne connais pas les couloirs ni les sorties et ça à l’air d’être un véritable labyrinthe..
Pénélope : Ok baby, je reviens vite…

Garcia de son côté joint l’équipe. Crispé sur son téléphone, elle compose le numéro avec la pointe de son stylo. Elle décide d’appeler reid qui est avec hotchner et morgan.
Reid mettant son téléphone sur haut parleur: garcia, pourquoi est-ce que les journalistes sont derrières nous et nous suivent ?
En arrière fond, garcia peut entendre la sirène de la voiture hurler à tue tête
Garcia : reid, il y a eu une fuite au niveau du poste de police, ils sont au courant de tous les détails de l’affaire…mais ce n’est pas le plus grave, reid, mon chou, ne panique surtout pas…
Reid qui s’est agrippé à la portière de la voiture
Reid avec d’un ton impatient et inquiet : garcia, qu’est ce qu’il y a ?
Garcia : albert moore, il est déjà à l’hôpital, il a enlevé de nouveau le garçon, céline et l’officier qui était en garde devant sa chambre sont les seuls sur place…ils se sont lancé à sa poursuite mais ils ont besoin de renfort pour arriver à couvrir la grandeur de l’hôpital.
Reid tourne la tête en direction de hotch qui conduit la voiture et de morgan qui est assis à l’arrière, et d’un regard qui traduit toutes ses pensées inquiètes : elle n’y arrivera pas, elle n’est pas en état physiquement de poursuivre quelqu’un…elle devrait être encore à la maison..
Hotch frappant violemment son volant d’une main : c’est pas vrai, ils ont tout fait capoter…-s’adressant à garcia – garcia, préviens rossi de nous rejoindre très vite à l’hôpital et pendant ce temps reste en liaison avec céline et met nous également en liaison avec elle…on arrive.
Aaron appuye fortement sur la pédale d’accélérateur et les pneus de la voiture crissent dû à l’accélération subite et elle roule dans une folle vitesse se faufilant de gauche et de droite entre les différents véhicules qui se trouve sur son passage qui elles, roulent aux vitesses autorisées.

L’agent de police qui était parti derrière le ravisseur, n’arrive pas à le rattraper, albert moore, qui parvient à s’introduire dans l’ascenseur avant qu’il ne parvienne à l’arrêter.
Le policier en hurlant dans les couloirs qui essaye de venir me rejoindre : il m’a échappé, il s’enfuit pas l’ascenseur..
Le malfaiteur est donc en fuite, je suis la personne la plus proche de lui pour le rattraper puisque je suis parti en direction des escaliers. Je m’engouffre en courant dans les escaliers. Je décide de m’arrêter au 1er étage, pour voir si à quelle étage il a décidé de s’arrêter. J’ouvre la porte, donne un coup d’œil vite fait à l’autre extrémité du couloir où la porte de l’ascenseur se situe pour voir si la flèche de celui-ci continue de descendre au niveau inférieur.
Par bonheur, au même moment, la porte de l’ascenseur s’ouvre et je peux apercevoir notre suspect. En me voyant, il agrippe le lit et sort à toute vitesse pour emprunter le couloir de droite situé juste à côté de la sortie de l’ascenseur.
Je le poursuis en le suivant dans ce couloir, mais soudain j’entends un « crac » provenant de ma cheville qui était déjà fragile à cause de blessures provoqués par notre dernière enquête. Une douleur m’envahit tout le corps et me provoque même un début de malaise. Mais je me reprends très vite, je ne pouvais pas abandonner la course poursuite ici, la vie d’un gamin en dépendait, et je continue donc ma trac infernale au bout milieu de ‘hôpital.
Moi :garcia tu m’entends ?
Garcia : oui, oui..tu es en relation téléphonique avec nous tous et j’ai trouvé les plans de l’hôpital.
Sur ce, hotch intervient dans notre conversation avec garcia: céline, comment ça se passe là-bas ?
Moi : il faut que vous arriviez et vite, il y a trop de points de sortie et d’entrée pour qu’on puisse seulement les couvrir à 2, il risque de nous échapper à tout moment….(en m’adressant à garcia)..pénélope, peux tu me localiser et me donner les points de fuite possible ?
Garcia : ok, je t’ai…1er étage, couloir nord, tu as 2 sorties possibles à l’est et à l’ouest. Si il va à l’est, au fond il y a de nouveau 1 ascenseur, méfie toi il mène uniquement sur le toit il sert à atteindre l’héliport pour les arriver en hélicoptère des blessées les plus grave, à l’ouest, il serait dans une impasse, il y a uniquement une sortie de secours avec une échelle.
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MessageSujet: Re: Totally Reid Team (T.R.T)   Totally Reid Team (T.R.T) - Page 16 Icon_minitimeDim 18 Juil 2010 - 20:38

oups j'en ai oublié une partie oufouf1 Hotch : céline, tiens le coup on est là dans même pas 5 minutes. (toujours via le téléphone ou tous les membres de l’équipe sont en call-conférence). Rossi t’es sur place dans combien de temps ?
Rossi : on devrait y être en même temps que vous. Avec prentiss on ne rentrera pas l’ouest du bâtiment.
Hotch : très bien , avec reid et morgan on se déploiera sur le côté est.

Suite aux informations de garcia, je fais signe à l’agent de valente qui me rejoignait petit à petit, d’emprunter l’autre couloir pour couvrir la sortie de secours . Si jamais, il l’empruntait on risquait de la perdre dans la nature, il fallait que quelqu’un puisse l’intercepter de l’autre côté, tandis que si il allait sur le toit il se retrouverait bloqué.
Je le poursuis.

Moi , l’arme à la main: FBI, arrêtez vous…
Les couloirs sont remplis de patients, de visiteurs et personnels hospitaliers qui se font bousculer par notre course poursuite. Des petits cris de personnes surprises se font entendre, certaine même tombe au sol.
Par bonheur, il se décide à emprunter le couloir est qui mène à l’ascenseur de l’héliport. Me voyant à ses trousses, il brandit une arme et tire quelques balles…
Reid (ils entendent tout grâce à la conférence) : céline…
Moi : je n’ai pas été touché tout va bien.
Même si effectivement je ne suis pas touchée, la douleur de ma cheville devient insupportable et combiné avec la chaleur ambiante, on peut voir apparaître des gouttes de sueur me perler sur le front.
Reid toujours dans la voiture: dépêchez vous hotch…
Albert moore s’engouffre dans l’ascenseur avec le lit ou est roger, se retourne et d’un sourire narquois, appuye sur le bouton de l’ascenseur et me fait un signe d’au-revoir de la main, pensant qu’il m’avait échappé.
Moi : garcia, il va sur le toit, donne moi un moyen d’y aller aussi.
Garcia : attend, prend le couloir à gauche, au fond, c’est aussi une issue de secours mais si tu emprunte l’échelle, elle te montera jusqu’à l’héliport.
Moi : Bien compris, merci.
Ni une ni deux, je suis les instructions de garcia et gravi les escaliers.
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MessageSujet: Re: Totally Reid Team (T.R.T)   Totally Reid Team (T.R.T) - Page 16 Icon_minitimeLun 19 Juil 2010 - 17:03

je vous mets la suite au fur et à mesure que je l'invente..j'attends vos commentaires
Tant bien que mal j’arrive à accéder à l’héliport par l’escalier de secours.
En arrivant en haut, j’aperçoit albert moore en train de s’énerver, il venait de comprendre qu’il avait fait une erreur, et qu’il était bloqué sur le toit, et il commence à pointer son armes sur la tempe de roger.
J’ai à peine le temps de finir de gravir la dernière marche que je dois immédiatement intervenir. Je pointe mon arme en sa direction tout en m’approchant de lui.
Moi : FBI , plus un geste…
Surpris de me voir arriver par un autre endroit, il se cache derrière le lit tout en continuant de pointer son arme sur roger. Il commence à trembler de peur.
Albert Moore : n’avancez plus où je le descends. ..
Moi : ne faites plus un geste
Albert Moore : je vais le descendre.
Moi tentant une approche psychologique et m’avançant tout doucement vers lui : vous n’en ferez rien.
Albert Moore essaye de soustraire à moi et tout en reculant il se déporte sur la gauche ce qui donne l’impression que Albert Moore et moi sommes en train d’exécuter une grande ronde.
C’est alors qu’un grand bruit, suivi d’une énorme bourrasque de vent surgi de nulle part, et vient nous surprendre un peu, cheveux aux vents. C’est un hélicoptère d’une chaîne de télévision qui était sans doute à la patinoire et qui avait dû suivre les voitures de polices, qui est déjà arrivé sur place et qui était venu pour suivre en direct cette arrestation.
Toute l’équipe arrive au même moment sur les lieux. JJ est déjà sur les lieux et elle est en train de se disputer avec les médias çà cause de leur intervention qui a fait énormément compliquer l’affaire. Elle se dirige vers la voiture de hotch.
JJ : ils sont sur le toit, une caméra de journaliste est en train de filmer toute la scène. Mais tous les autres je les ai sous contrôle.
Hotch : fais voir ça.
Tout le monde se regroupe autour du mini poste de télévision que JJ a mis à leur disposition.
Hotch : garcia, combien de points d’entrée pour aller jusqu’à l’héliport.
Garcia : 2 ascenseurs, un situé au niveau 1 et l’autre au sous soul, et 2 sortie de secours sur l’aile est et ouest.
Hotch : Ok on se réparti, Morgan tu prends l’escalier est, rossi à l’ouest, prentiss et reid vous empruntez l’ascenseur du 1er et le commissaire valente et moi-même prenons celui du sous sol, JJ tu restes en bas et tu canalises…(il regarde reid ) : et personne n’agit sans que je n’en ai donné l’ordre, compris reid…
Reid acquiesce d’un signe de la tête, et tous s’en vont à l’assaut.

Tout en se dirigeant ver les bâtiment, hotch me parle via mon oreillette : céline , tu nous as entendu, essaye de faire en sorte qu’il ne nous voit pas arriver. Pour cela je continue notre « petit pas de danse » de manière à le bloquer au centre du toit en avant des portes des ascenseurs et des escaliers pour ne pas qu’ils voient les portes s’ouvrir lorsque les renforts arriveront
Albert moore : si je le ferais, je n’hésiterais pas à le tuer, n’approchez plus.

Moi : j’entends bien ce que vous m’avez dit (pour faire comprendre à l’équipe que je comprenais ce que j’avais à faire), mais vous l’avez libérer une fois, vous ne lui ferez pas de mal, vous ne voulez pas lui faire de mal…
Albert moore : je me fou complètement de lui, si je l’ai laissé partir c’est parce que cet imbécile ne me servait plus à rien….
Moi : vous ne l’avez pas tuer contrairement à la petite mélissa .
Albert Moore : Mélissa, elle ne méritait pas de vivre, elle m’avait déçu, elle n’arrivait pas à exécuter correctement les figures artistiques que je lui demandais.
Moi : et pas roger , vous l’avez pourtant libéré, il ne vous servait plus et pourtant vous ne l’avez pas tué ?
Albert moore : roger, il est doué lui, je ne pouvais pas le tuer ?
Moi : pourquoi l’avoir libérer alors ?
Albert Moore : il ne réagissait plus, il ne bougeait plus, il était malade, il fallait qu’il aille se faire soigner pour ensuite revenir vers moi…je ne l’ai pas laisser partir, je l’ai envoyer ce faire soigner et après je l’aurais repris, et là il va mieux, je suis venu le chercher.
Moi en m’énervant : vous trouvez qu’il va mieux ? mais bon sang regardez le…son état est stationnaire…
Albert Moore : vous me mentez, ils ont dit aux informations qu’il avait parlé.
Il continue à braquer son arme sur roger et il faut absolument qu’il pointe son arme dans une autre direction, pour lorsque l’équipe arrivera pour le maîtriser, il ne fasse pas un geste désespérer et tir sur le petit. Je n’ai donc pas le choix, il faut que je le provoque, pour qu’il me vise, surtout que je commence à apercevoir mes équipiers arriver au sommet de l’immeuble et morgan me faire un signe de la main en mettant son index sur sa bouche de n’absolument rien dire sur leur présence.
Moi : depuis quand vous croyez ce que dis la presse ?.... je suis arrivé à lui tirer quelques informations mais à vous il ne vous parlera certainement pas….
Albert Moore : ce n’est pas vrai, si vous y êtes arriver, il me parlera, je suis tout pour lui, je suis tout pour ses enfants, c’est grâce à moi qu’ils vont pouvoir arriver au plus haut niveau du patinage artistique, aller même jusqu’au jeux olympiques, ils me doivent tout…
Moi , j’éclate de rire : mais vous rêvez…vous voulez que je vous dise la vérité, c’est à cause de vous si il est dans un état pareil.
Albert moore : vous n’êtes qu’une menteuse….(et il me mit en joue avec son revolver mais malheureusement il était encore trop près de roger pour que quelqu’un puisse venir le maîtriser, il faut que je continue la provocation).
Moi : pas du tout, vous avez assassiner la petite mélissa devant ces yeux et vous l’avez traumatisé, c’est part votre faute qu’il est malade, c’est par votre faute qu’il ne peut plus s’entraîner, c’est par votre faute s’il ne sera jamais un champion olympique.
Albert Moore : taisez vous ou je tire.
Moi : vous parents avaient raison, vous n’arriverez jamais à rien dans la vie, vous avez encore une fois échoué par votre faute.
Albert Moore tire sur moi, heureusement la balle ne fait qu’effleurer mon bras gauche. Ce mouvement permis aux autres d’intervenir et de le mettre en joue.
Rossi : FBI, vous êtes cerné, lâcher votre arme et mettez les bras en l’air.
Sous le choc de ce que je venais de lui dire, albert moore, n’entend même pas ce que rossi lui disait. Il est stupéfait et regarde roger , et continue de me braquer.
Morgan en criant et en s’énervant : lâcher votre arme c’est un ordre.
Toujours sous l’œil des caméras de télévision, tous commencent à l’encercler et à continuer à le braquer avec nos armes, moi compris, mon bras saigne mais sans plus de graviter ce qui au vu du regard de reid et de prentiss, les inquiètes un peu.
Morgan continue de s’approche de lui et fini par la maîtriser.
Morgan en lui attrapant les bras et en le menottant les bras derrière la tête : vous êtes en état d’arrestation pour le kidnapping et le meurtre de 5 enfants.
Soulagée pas la fin de cette prise d’otage, je m’écroule sur le sol dos à terre à cause de la douleur de ma cheville. Mon visage est crispé de douleur. Reid et Prentiss court en ma direction, tandis que Hotch et rossi viennent prêter main forte à morgan pour la fin de l’arrestation.
Reid et Prentiss s’agenouillent chacun à un de mes côtés. Spencer me prend la main et de l’autre main me la pose sur le front pour caresser mes cheveux. Emily quand à elle, regarde la blessure de mon bras.
Reid : céline…
Emily : reid, elle n’a rien la balle n’a fait que l’effleurer.
Spencer : où a tu mal ?
Moi , le visage complètement fermée par la douleur en lui montrant mon pied qui avait déjà un bandage de la dernière fois : ma cheville, spencer, j’ai très mal à ma cheville.
Emily : il faut lui enlever sa chaussure…
Emily se place à mes pieds pour commencer à enlever très délicatement ma basket en toile (je ne peux rien porter d’autres avec le bandage que j’avais déjà au pied) tandis que spencer arrête de me caresser les cheveux pour passer son bras derrière mes épaules pour m’aider à m’asseoir. En enlevant ma basket, mon pied commençait déjà à doublé de volume.
Hotch vient vers nous : comment ça va ?
Emily en montrant mon pied qu’elle tient encore à la main, mais n’ose pas toucher de peur de me faire plus de mal que de bien : c’est sa cheville qui a encore pris un coup, elle est sans doute cassée cette fois-ci.
Hotch : on va faire monter un médecin pour qu’il te regarde
Le toit commence à se vider, morgan et rossi partent par l’ascenseur pour emmener albert moore au poste de police, tandis que roger est évacué par l’agent de police de valente et le commissaire lui-même par l’autre ascenseur. Il ne reste plus que reid, prentiss, hotch et moi.
Toujours assise par terre, reid agenouillé à mon côté droit, fini par m’étreindre dans ses bras et je met mes bras autour de sa taille tandis que je blotti ma tête contre son torse, en attendant la venue du docteur.
C’est le docteur armstrong qui sachant que j’ai été blessé, se déplace pour venir me voir avec une infirmière. Il arrive par l’ascenseur que roger et albert moore avaient emprunté. En le voyant arrivé, hotch va à sa rencontre.
Dr armstrong : on m’a dit que l’agent guichard a été blessée ?
Hotch en lui ouvrant le passage en tendant son bras vers notre direction : c’est plus sa cheville que la balle qui l’a touchée qui est inquiétante, la balle n’a fait que l’effleuré..
Le Dr armstrong arrive vers moi. Prentiss se retire pour lui laisse sa place, tandis que spencer ne me lâche pas.
Dr armstrong : faites moi voir cette cheville.
Son examen médical me fait vraiment mal, et mon visage se crispe de douleur.
Dr armstrong : je ne vous demande pas si je vous fais mal….je vais faire monté un chariot et on va vous emmener passer une radio… célia (l’infirmière) aller en chercher un ? Faites moi voir votre bras.
Il examine mon bras.
Dr armstrong : ce n’est rien, ce n’est qu’une éraflure, 2 ou 3 points de sutures suffiront… tenez le coup, je vous administre un anti douleur dès que nous serons arriver au urgence.
Je lui fais un signe de tête pour lui dire Ok et merci.
L’infirmière arrive avec le brancard. Reid me soulève pour me porter et me pose dans le chariot.
Emily : on se voit tout à l’heure céline.
Spencer ne me lâche pas la main et nous descendons aux urgences avec le docteur armstrong et l’infirmière.

En arrivant aux urgences :
Dr armstrong : je vais vous administrer une dose de morphine pour que vous ayez moins mal et que nous puissions vous manipuler pour faire les radios sans que vous ne souffriez trop.
Le dr armstrong prend la seringue et s’approche de mon bras pour me faire la piqûre quand reid, lui agrippe la main pour l’en empêcher. Le Dr armstorng le regarde d’un air surpris.
Reid : non pas de la morphine….donnez lui autre chose
Dr armstrong : mais enfin…
Je frôle la main de reid et lui dit : spencer, ne t’inquiètes pas, ce n’est pas la première fois que l’on me faite des piqûres de morphine, il n’y a jamais eu aucune conséquence négative…
Dr armstrong : les doses que nous administrons à nos patients sont contrôlées agent reid, et la morphine est le produit qui la soulagera le mieux.
Reid : très bien allez y – et il lâche la main du docteur. Vous êtes certains qu’il n’y aura aucune dépendance ?
Le dr armstrong sourit.
Moi : spencer, arrêtes, tu préfères que je continue à avoir mal ?
Reid : bien sûr que non.
Dr armstrong tout en faisant l’injection de morphine s’adresse à reid : vous êtes autant protecteur avec tous vos collègues ?
Reid : nous sommes comme une grande famille vous savez, je souhaite qu’il arrive rien à aucun d’entre nous et chaque fois que l’un des nôtres est blessé, nous nous faisons tous beaucoup de souci, c’est une sorte de protection mutuelle qui nous lie et puis vous savez nous voyons tellement d’horreur, que nous avons tous développer la psychose du mal être de guershing..

Moi, ne laissant pas fini sa phrase à reid : on vit tout simplement en concubinage docteur…
Reid prend un air un peu surpris mais content à la fois de la « révélation » que je viens de faire au docteur, que à priori il avait du mal à formuler et à faire sortir.
Dr armstrong : ah, je comprends mieux maintenant….agent guichard, je vais maintenant désinfecter votre bras et vous recoudre…excusez moi agent reid, il faut que je passe de votre côté pour pouvoir la soigner.
Reid s’écarte. Le silence prend place pendant les « travaux de couture ».
Dr armstrong : voilà c’est fini pour le bras , la salle de radio à l’air d’être libre, on va y aller. La morphine commence-t-elle à faire un peu effet ?
Moi : ça me lance moins.
Dr amstrong : allez on y va.
Reid me donne un baiser furtif et je m’en vais avec le docteur à la radio pendant que spencer m’attend dans la salle d’attente des urgences.
Le temps de ma radio a laissé le temps, à tous les autres de rejoindre reid à l’hôpital.
Ils arrivent et aperçoivent reid, debout les mains dans les poches en train de faire les 100 pas dans la salle d’attente.
JJ s’avance un peu plus vite que les autres : Reid, je suis désolée, si j’étais arrivé à contrôler plus les médias, tout ça ne se serais pas passé – et elle enlaça reid.
Reid qui lui rend son étreinte : tu ne pouvais pas deviner qu’il y aurait une fuite JJ.
Garcia arrive par la suite , les yeux écarquillées de doute et de peur (elle n’avait pu entendre qu’une déflagration pas ses oreillettes et ce faisait du souci ) : reid chéri, émily m’a dit que la balle lui avait seulement effleuré la peau, les médecins ont bien confirmé, oh, s’il te plait dis moi que ce n’est pas plus grave.
Reid : non je te rassure garcia, la balle n’a fait que l’effleuré
Garcia pose sa main sur la poitrine et dit : merci mon dieu..
Rossi : ou-est-elle ? t’as l’ai encore inquiet ?
Reid : elle est allez passer une radio de la cheville, 2 fois une même blessure au même endroit ça fait beaucoup..
Morgan met une tape sur l’épaule de reid et pour essayer de détendre l’atmosphère fait une plaisanterie : c’est le cas de le dire, vous êtes vraiment fait pour être ensemble, il y a quelques semaines c’était toi et ta jambe et maintenant c’est elle avec sa cheville, vous vous êtes vraiment bien trouvé tous les 2.
Cela fait sourire tout le monde.
Emily : est-ce qu’elle a toujours autant mal ?
Reid : non ça allait un peu mieux, le docteur armstrong lui a administré de la morphine.
Morgan : tenez la voilà.
L’infirmier des urgences me fait rentrer dans une petite pièce avec mes radios posées sur le brancard en attendant qu’un médecin vienne les regarder et me dire ce qu’il en est.
Toute l’équipe vient me rejoindre dans cette petite pièce.
Reid s’approche de moi et s’appuye sur le rebord de la tête de mon lit
Reid : alors qu’est-ce qu’ils t’ont dit ?
Moi : je ne sais pas je n’ai pas encore vu le médecin.
Emily : ta douleur ?
Moi : nikel , je n’ai absolument rien senti pour la radio, ça me tire juste un peu.
Garcia, soulagée me prend par le cou et me pose un baiser sur la joue.
Garcia : tu m’avais promis de ne plus me faire peur..
Moi : ce n’était pas de ma faute cette foi-ci pénélope et puis j’ai pas été blessé pendant la bataille…
Morgan : … euh…, la jouer psychologie inversée avec albert moore pour le pousser dans ses retranchements, on ne peux pas vraiment appelé ça ne pas prendre de risque bébé, tu étais juste dans sa ligne de mire.
Hotch : il n’y avait pas vraiment d’autre solution morgan.
Morgan : je sais hotch, mais elle était sans couverture il y aurait put lui arriver n’importe quoi.
Moi : c’était moi ou roger ,derek...tu aurais fais quoi à ma place ?
Morgan : exactement la même chose.
JJ s’approche doucement vers moi .
JJ : je suis désolée céline.
Moi : pourquoi t’excuses tu JJ ?
JJ : les médias, ils ne seraient pas venus, albert moore aurait été directement à la patinoire.
Je suis un peu surprise par les paroles de JJ.
Moi : mais enfin JJ, tu ne pouvais pas deviner.
Reid : JJ je te l’ai déjà dit tout à l’heure qu’on ne tenait absolument pas responsable pour ce qui s’est passé.
Hotch : JJ, tu sais que tu ne pouvais pas contrôler ça.
JJ : je le sais.
JJ vient à son tout m’embrasser.
Le dr armstrong entre dans la pièce.
Dr armstrong surpris pas tout ce monde : oula, il y a bien du monde ici. Mais j’ai droit à l’équipe du FBI au grand complet. (il regarde reid) , effectivement agent reid, vous aviez raison quand vous me parliez d’une grand famille….
Tous les autres regardent reid d’un air interrogateur, ne comprenant pas les mots du docteur armstrong.
Reid, agite sa main pour dire non et répond à l’équipe : non, ce n’est rien, une histoire entre le docteur et moi.
Moi dans un soupir de rire : le docteur trouvait juste que reid était un peu protecteur et se demandait pourquoi.
Rossi : c’est bien notre reid national ça.
Dr armstrong : faites moi voir ces radios.
Il prend les radios de sur mon lit et va les poser sur le mur lumineux.
Dr armstrong : je vois…effectivement…
Moi : qu’y-a-t-il docteur ?
Dr armstrong se retourne vers moi et range les radios dans leur enveloppe. Reid me prend la main comme pour me rassurer, tout comme pénélope.
Dr armstrong : J’ai une bonne nouvelle et une moins bonne. La bonne c’est que vous n’avez rien de casser…la moins bonne c’est que vous vous êtes déplacé un minuscule os et qui va falloir qu’on vous le remette en place…et ça ne vas pas être une partie de plaisir pour vous.
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MessageSujet: Re: Totally Reid Team (T.R.T)   Totally Reid Team (T.R.T) - Page 16 Icon_minitimeSam 7 Aoû 2010 - 9:09

Hier j'ai regardé un épisode de CM en anglais (le 13 de la saison 5) et Reid m'a encore fait rêvé !
J'ai acheté récemment la même étoile que celle que Prentiss montre à Reid dans l'avion. Sauf que moi pour la reconstruire j'ai galèré, j'ai ralé et ...j'ai réussi mais il m'a fallu plusieurs minutes.

Et Reid nous fait ça en 1 à 2 secondes! applaud Merci Reid pour la démo !

merci1
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Carys
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MessageSujet: Re: Totally Reid Team (T.R.T)   Totally Reid Team (T.R.T) - Page 16 Icon_minitimeSam 7 Aoû 2010 - 22:03

j'ai vue la vidéo addie, elle est géniale !!! alala elle me donne envie d'écrire ma fics. je sens que je vais rêver de Reid se soir amour2
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MessageSujet: Re: Totally Reid Team (T.R.T)   Totally Reid Team (T.R.T) - Page 16 Icon_minitimeMar 24 Aoû 2010 - 18:50

La suite


Le dr amstrong va dans le couloir pour appeler ses collègues.
Dr amstrong : infirmière, pouvez vous venir avec 2 autres personnes dès que possible, s’il vous plait, il y a une réduction de fracture à faire ?
Il rentre de nouveau dans la pièce et garde la porte ouverte, la main sur la poignée il s’adresse à l’équipe.
Dr amstrong : je vais vous demander de sortir maintenant et d’attendre quelques instants dehors.
David est le 1er à sortir, suivi de JJ, hotch, morgan et garcia qui de nouveau est venu m’embrasser avant de sortir.
Garcia : sois courageuse.
Moi : c’est d’accord.
Avant de franchir la porte, reid s 'arrête au niveau du dr armstrong. Du coup les autres s’arrêtent juste à la sortie de la porte pour l’attendre.
Reid : dr armstrong, je ne pourrais pas rester avec elle ?
Dr armstrong : non, ce n’est vraiment pas possible, nous avons besoin de place pour lui ré-emboiter l’os. Nous devons la maintenir pour ne pas qu’elle puisse bouger et votre présence nous générais plus qu’autre chose. Mais ne vous faites pas de souci, vous pourrez revenir la voir , je viendrais vous chercher dans une petite vingtaine de minutes.
Sur ces entre faits les 3 infirmiers arrivent.
L’infirmier tout en s’introduisant dans la pièce : vous avez besoin de nous dr armstrong ?
Le Dr amstrong leur fait signe d’entrer dans la pièce : oui, oui…préparez la à la réduction, ne lui donnez pas d’anti douleur, elle est déjà sous morphine.
Spencer tourne son regard vers moi, alors que je commence à plaisanter avec les infirmiers (c’est trop top les effets de la morphine !!!!) et avec sa main , comme pour me montrer demande gêné au dr armstrong :
Reid : est-ce que je peux…. ?
Dr armstrong donnant un coup de tête vers ma direction : c’est bon allez y mais faites vites.
Reid se précipite vers moi, se fraye un passage entre les infirmiers, me prend la main sur laquelle il dépose un baiser, s’approche de mon visage jusqu’à coller son front contre le mien et me dit :
Spencer : je suis juste derrière la porte, je reviens aussitôt que c’est fini.
Il me dépose un baiser sur les lèvres . D’un signe de tête je lui réponds que oui. Je lui rends son baiser.
Spencer se dirige vers la porte, se retourne et d’un signe de la main me dit au-revoir en pliant les doigts. Le dr armstrong ferme la porte derrière lui.
Le dr armstrong s’approche de moi.
S’adressant aux infirmiers : vous , maintenez là par les épaules . Quand à vous (en s’adressant à une infirmière), maintenez lui la jambe, pendant que tous les 2 (en s’adressant au dernier infirmier) nous allons lui faire pivoter la cheville.
Tous s’exécutent et me voilà maintenu dans tous les sens, dans l’incapacité de bouger.
Le dr armstrong est assis à mes pieds, il tient entre ses mains ma cheville.
Dr armstrong : vous êtes prêtes ? On peut y aller ?
Moi : oui vous pouvez y aller. Mais avant vous avez des nouvelles de roger ?
Dr armstrong : il se porte bien, il est cette fois-ci allé passer son scanner.
Moi : très bien.
Dr armstrong : tout le monde est prêt ?( en s’adressant aux personnel hospitaliers qui font un hochement de tête pour lui répondre par l’affirmative). Prenez une grande inspiration agent guichard.
Je m’exécute.
Dr armstrong : on y vas…

Pendant ce temps là du côté de la salle d’attente qui se trouve juste à côté de la pièce dans laquelle je suis, toute l’équipe est assisse et attend patiemment la sortie du docteur armstrong pour revenir me voir. Bien étonnamment, à par eux, la salle d’attente est vide.
Emily se lève et se dirige vers la machine à café : quelqu’un veux un café ?
Seul Derek et david accepte l’offre d’Emily et la rejoignent vers la machine à café, où ils introduisent de la monnaie et attendent que la machine leur délivre la boisson.
Reid est assi à côté de JJ et de Pénélope et ne décroche pas une parole. JJ est au téléphone avec William, elle prend des nouvelles de son fils Henry. JJ raccroche.
Spencer : Henry va bien ?
JJ sourit : Il revient du parc avec william, il a voulu manger une glace mais il l’a fait tombé par terre. Son père a été obligé de lui en acheter une autre pour le calmer .
Pénélope : sacré bonhomme, il est toujours aussi gourmand…
JJ : oui, il faut dire qu’avec les paquets de bonbons et de gâteau que son parrain et sa marraine lui offre, ça aurait été étonnant qu’il ne devienne pas gourmand..
Pénélope :et ça sert à ça les parrains marraines – et d’un coup de coude à spencer – n’est-ce pas reid ?
Spencer sourit : il est mignon, difficile de lui résister.
JJ d’un ton humoristique : attention à ne pas trop nous le pourrir, sinon il va devenir infernal avec ses parents.
JJ : dites moi vous 2 – en s’adressant à pénélope et à spencer – les enfants c’est pour quand ?
Pénélope en répondant dans le même ton humoristique que JJ : avec Kévin…laisse nous finir notre crise d’adolescence d’abord JJ, dans quelques années…pour l’instant les bébés chez les autres ça nous va bien.- et elle fait un clin d’œil.
Elles regardent spencer qui s’appuie contre le dossier de la chaise
Reid : c’est peut-être un peu tôt encore…à vrai dire on en a jamais parlé encore.
JJ : Ca fait quoi, 6 mois que vous vivez ensemble, regarde nous avec William on ne vivait même pas ensemble quand je suis tombée enceinte d’Henry.
Pénélope : un petit génie de plus dans l’équipe,ça serait trognon…

Sur ces entre faits, un grand cri se fait entendre dans tout le couloir. Le Dr armstrong revenait de me remettre en place l’os de ma cheville, et la torture de cette manipulation m’a arraché un cri de douleur.
Tous se lèvent et se dirigent dans la direction de la salle, Reid en premier. On peut lire de l’angoisse sur leur visage et dans leurs yeux. Le Dr armstrong sort de la salle, à peine à-t-il fini de fermer la porte que reid l’interroge.
Spencer : que s’est-il passer docteur, on l’a entendu crier depuis la salle d’attente ?
Dr armstrong avance jusqu’à eux jusqu’à ce trouver au milieu d’un demi cercle qu’il ont formé.
Dr armstrong : je vous avais prévenu que remettre l’os en place allait être douloureux.
Pénélope presque en larmes : oui mais à ce point là tout de même….
Rossi : comment va t elle maintenant ?
Le Dr armstrong s’approche de reid et lui pose la main sur l’épaule.
Dr armstrong : tout est de nouveau en place, maintenant ça va aller, cependant, elle est inconsciente pour le moment, la douleur a été forte, on ne pouvait rien lui donner d’autres que la morphine qu’on lui avait déjà injecté, et la douleur lui a fait perdre connaissance….
L’atmosphère devient pesante et on sent l’angoisse augmenter.
Dr armstrong : rassurez vous, ça arrive quelques fois…et elle pourra sortir tout à l’heure.
Reid fait un demi tour autour du docteur pour s’approcher de la porte.
Spencer : je peux y aller ?
Dr armstrong : dans quelques minutes, les infirmiers sont en train de finir de lui mettre en place son atèle. En attendant, je vais vous expliquer les recommandations qu’elle devra applique à la lettre.
Reid s’arrête et écoute très attentivement les explications du docteur.
Emily : va falloir qu’elle les suivent cette fois-ci.
Reid : on vous écoute.
Dr armstrong : tout d’abord, elle a l’interdiction formelle de poser le pieds par terre pendant 15 jours. Je veux qu’elle se déplace uniquement avec des béquilles…
JJ intervient : ça va être possible qu’elle se déplace avec des béquilles avec ses points de suture entre autre ?
Dr armstrong : les autres blessures qu’elle avait avant, ne se sont pas aggravées donc il n’y a pas de souci de ce côté-là. Pour les points de suture il faut faire attention à ce qu’ils tiennent dans le 48h-72 h à venir donc bien entendu, il faut qu’elle prenne un minimum d’appui sur son bras pendant cette période, ce qui veut dire qu’il faut qu’elle se déplace le moins possible pour ne pas forcer ni sur le pieds, ni sur le bras.
Derek : un repos total pendant 3 jours, c’est pas gagné.
Dr armstrong d’un ton autoritaire : il n’y a pas le choix, si elle force sur son pieds, elle risque de fracturer l’os cette fois ci et d’avoir droit à une opération.
Reid : je ferais en sorte qu’elle ne se déplace qu’avec ses béquilles docteur..
Dr armstrong calmant un peu le ton : très bien, je lui fais un arrêt de travail initial de 15 jours ( et il regarde hotch comme pour lui signifier ma désapprobation que j’ai été sur cette enquête alors que j’étais en arrêt)…
Hotch le coupe : ça ne sera pas un problème docteur, l’essentiel est qu’elle se rétablisse le mieux possible.
Dr armstrong reprend sa phrase :…. je vous fais l’ordonnance pour que dans 15 jours elle repasse de nouveau une radio de contrôle, mais ça devrait aller, un simple straping pendant encore un quinzaine de jours comme elle avait jusqu’à présente devrait suffir à ce que tout rentre dans l’ordre.
Reid : je m’assurerais à ce qu’elle suive votre ordonnance à la lettre.
Le dr armstrong tend les ordonnances à reid.
Dr armstrong : je vous ai fais également une ordonnance pour des anti douleurs . Elle peut en prendre toutes les 4 heures en cas de besoins.
Les infirmiers sortent de la salle.
L’infirmier : c’est bon on a fini docteur.
Le docteur se retourne : merci messieurs.
Il regarde l’équipe et dit : vous pouvez y aller maintenant.
Reid s’engouffre précipitamment dans la chambre pour venir me voir dans laquelle je m’étais assoupi paisiblement, tandis que les autres ne sont même pas encore parti du pas de la porte.
Hotch tend la main au docteur pour le remercier : merci docteur.
Dr armstrong : de rien. Dites à l’agent reid, qu’il me fasse appeler dès qu’elle aura repris connaissance, pour que je vienne la voir, mais normalement il ne devrait pas y avoir de souci, elle devrait revenir parmi nous d’ici une petite heure et pouvoir sortir ce soir.
Hotch : nous lui ferons le message.
Le docteur s’en va dans le couloir pour regagner son étage, tandis que tous les autres entrent dans la pièce. Reid est assis eu pieds de mon lit.
Pénélope : Elle a l’air d’aller bien…
Hotch pénétrant dans la pièce : reid, le docteur armstrong veut que tu le fasse appeler quand elle se réveillera, d’ici une heure il pense.
Reid en ne détournant pas son regard de moi : merci hotch.
Rossi : on va peut-être y aller et la laisser se reposer.
Emily : oui, c’est une bonne idée.
Hotch s’approche de reid : reid, on vous attend à l’hôtel, on ne repartira que demain matin.
Reid : d’accord.
Derek en s’en allant serre la main de reid et JJ lui demande : veux-tu que j’aille lui prendre son ordonnance de médicaments en attendant ?
L’attention de JJ lui fait détourner son regard de moi : merci JJ, ça m’arrangerais.
Spencer lui donne l’ordonnance et se décide à les raccompagner à la porte.
Pénélope d’un air sérieux : A tout à l’heure, on vous attend.
Et ils partent dans les couloirs direction le parking, tandis que spencer tire un tabouret qui se trouve dans la chambre pour s’y asseoir et attend patiemment ma reprise de connaissance.

Le docteur a vu juste puisqu’au d’une heure je reprend connaissance. Spencer est toujours assis la sur le tabouret et commençait à somnoler un peu quand tout d’un coup je commence à revenir à moi.
Je reprend doucement conscience, peine à ouvrir les yeux, l’esprit un peu embrumé pas ce qui venait de se passer.
Moi , désorienté d’une faible voix : spencer…spencer..
Réveillé par mes paroles, reid reprend conscience et s’approche de moi et me pose son bras sur mon ventre et me dit : je suis là…
Le voir me procure un bonheur et un soulagement immense et je lui souris.
Reid : tu nous as encore fait peur une fois de plus, tu te sens comment ?
Moi me remémorant petit à petit ce qui venait de se passer : mieux, maintenant que tout est fini.
Reid : pas trop mal ?
Je me concentre sur mon pieds et les ressenti de celui-ci : c’est supportable. Je peux sortir ?
Reid se lève et tout en se dirigeant vers la porte : attends, le docteur armstrong veux te voir avant que tu ne sortes.
Je l’entends demander au personnel hospitalier de dire au docteur armstrong de venir. Il rentre de nouveau dans la pièce et s’assois sur le lit.
Reid : il ne va pas tarder, par contre il m’a dit que tu avais l’interdiction formelle de poser le pied par terre pendant 15 jours..
Moi : oh non, comment je me déplace ?
Reid me répond d’un air surpris par cette question stupide : ben avec des béquilles… de toute façon tu es en arrêt pendant ce temps là, donc tu va pouvoir te reposer à la maison.
Moi : …et me reposer dans l’angoisse perpétuelle qu’il t’arrives à toi où aux autres quelques choses lorsque vous êtes parti en mission…
Reid me fait une petite expression du visage sui signifiait qu’il acquiescait ce que je venais de dire mais qu’il ne savait pas quoi me répondre.
Reid : les autres nous attendent à l’hôtel, ils ont hâtent de te voir revenir.
Moi : et moi donc, j’en ai un peu ma claque des hôpitaux en ce moment…. (avec un grand sourie moqueur)t’en as pas marre toi non plus d’attendre tout le temps avec moi ?
Reid éclate de rire, (à la manière de reid naturellement, d’une manière très discrète et réservée).
C’est alors que nous entendons quelqu’un frapper à la porte. C’est le dr armstrong qui a fait incroyablement vite pour descendre. Il frappe et entre de suite derrière.
Dr armstrong : alors comment va la blessée ?
Moi : ça va
Il prend le tensiomètre et prend ma tension. Tout en la prenant il me demande : la douleur est supportable ? – et il appuie pour actionner la pompe du tensiomètre.
Moi : ça va aussi.
Dr armstrong : la tension est bonne – (il me retire l’appareil du bras et pris un stylo à la main qu’il déplace de gauche à droite et de haut en bas devant mes yeux) – suivez le stylo avec les yeux sans bouger la tête.
Je m’exécute.
Dr armstrong : les pupilles sont normales, vous pouvez sortir….mais attention , votre compagnon vous a expliqué, pas le pieds par terre pendant 15 jours et pendant 3 jours vous évitez de vous déplacer avec les béquilles pour ne pas rouvrir les points que nous vous avons fait au bras.
Moi : c’est entendu.
Je commence déjà à m’asseoir sur le brancard et à vouloir descendre, quand le docteur me retient.
Dr armstrong : attendez au moins qu’on vous emmène les béquilles avant de vouloir partir, pour la peine vous ne quitterez cet hôpital qu’en fauteuil roulant. Ne bougez pas je vais en chercher.
Il repart dans le couloir.
Reid s’approche de moi qui était maintenant assise sur le rebord du brancard
Reid : la patience ne fait vraiment pas partie de tes qualités premières.
Moi : je suis patiente, mais tu sais bien que j’ai une très sainte horreur des hôpitaux et que quand il s’agit de me faire soigner, il faut que ça aille très vite.
Reid : on va partir.
Moi : il me tarde d’aller rejoindre nos amis et d’aller me coucher.
Le docteur revient avec une paire de béquille dans une main et la chaise roulante de l’autre.
Tous deux m’aident à m’installer dans le fauteuil roulant. Nous saluons le docteur et le remercions. Nous nous dirigeons vers la sortie, reid poussant le fauteuil roulant jusqu’au parking. Il m’aide à m’asseoir dans le 4x4 noir, et ramène le fauteuil à l’hôpital.
Il prend ensuite le volant, pour nous emmener à notre hôtel. La musique de la radio, nous apaise tout deux des événements de la journée que nous venions de vivre.

A l’arrivée à l’hôtel, les 3 hommes sont en train de venir chercher l’apéro au bar tandis que les filles sont installées sur le canapé en train de regarder des photos du petit Henry.
Reid et moi entrons dans le hall. Pour ne pas trop que je force sur le bras, reid a pris soin de m’attraper par le dessous des bras pour que ce ne soit pas la force de mon bras qui pèse sur la béquille mais sa propre force.
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MessageSujet: Re: Totally Reid Team (T.R.T)   Totally Reid Team (T.R.T) - Page 16 Icon_minitimeMer 25 Aoû 2010 - 12:29

enilec21 ! ^_^

Tu me rappelles un rêve que j'ai fait après avoir regardé mon premier épisode de CM ! nut Guimauve, guimauve, guimauve dans mon cas, pas une seconde d'action ! En me réveillant, j'me suis demandée pourquoi j'étais pas à Quantico dans les bras de Spenci angel ( Bah quoi ? XD )
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MessageSujet: Re: Totally Reid Team (T.R.T)   Totally Reid Team (T.R.T) - Page 16 Icon_minitimeMer 25 Aoû 2010 - 18:11

Emily est la première à nous apercevoir.
Emily : hé, vous voilà enfin vous 2.
Elle se lève pour venir nous voir, suivi par JJ et pénélope et des 3 garçons qui furent interloqué par l’agitation soudaine. Prévenant comme à son habitude, morgan quand à lui s’est arrêté vers le canapé où était installé les filles pour m’installer de quoi m’asseoir confortablement.
Morgan : vient donc t’asseoir au lieu de rester debout.
Je m’avance, toujours aider par spencer, pour rejoindre morgan et me poser.
JJ me tend un sac en plastique : voici tes anti-douleurs, je suis passée les prendre à la pharmacie, tu en a peut être besoin.
Je prends le sac.
Moi : merci JJ, c’est très gentil à toi , mais pour l’instant je vais faire sans.
Rossi : la douleur est donc supportable ?
Moi : par rapport à tout à l’heure, je vous assure que ça n’a rien à voir.
Pénélope prend place à côté de moi et chacun va chercher une chaise. Nous sommes tous regroupé autour d’une table de salon, ça donnerait presque l’impression que nous sommes en salle de réunion à Quantico en train de prendre connaissance d’une nouvelle affaire.
Morgan s’amuse à taquiner Reid et lui dit : dis-moi, reid, t’as retrouvé le sourire, on se demande vraiment pourquoi ?
Reid : mais je ne l’avais pas spécialement perdu…
Cette réflexion de reid fait sourire tout le monde.
Morgan en rigolant et prenant reid par le cou : quoi, tu ne l’avais pas perdue selon toi, tu plaisantes ? tu n’as pas vu ta tête à l’hôpital…
Reid en passant une main dans ses cheveux pour relever une mèche, traduisant chez spencer un signe de gêne : tu as toujours tendance à exagérer morgan…
JJ : il n’a pas tord spence, tu ressemblais plutôt à un fantôme…
Garcia : on aurait cru que tu allais bondir sur la première personne qui passait dans le couloir.. .
Spencer : j’appréhendais sans doute un peu les conclusions du docteur, 2 blessures coups sur coups ce n’est pas anodin, on risque des complications ligamentaires sérieux pouvant entraîner l’inflammation et la dégradation pouvant être irrémédiables et entraîner d’énormes douleurs…
Le début d’explications de reid commence à jeter un froid dans l’assemblée.
Moi le coupant dans ses dires et lui prenant la main : chéri, stop s’il te plaît, j’ai pas vraiment envi de savoir maintenant à côté de quoi je suis passé…pas en sortant juste de l’hôpital…

Morgan s’approchant du visage de reid comme pour lui parler à l’oreille, mais parlant d’un e voix forte et distincte : hé, reid c’est une réaction naturelle quand on est amoureux…
Reid semble embarrassé, il a déjà du mal à exprimer ses sentiments même en privée alors en public…. Je m’approche de reid pour l’embrasser pour le remercier de l’inquiétude qu’il s était fait pour moi.
Pénélope ayant un frisson qui lui parcours le corps : bou, reid, tes explications me font froid dans le dos…
Rossi : j’ai comme l’impression céline, que ces explications vont avoir eu les mérites de t’inciter à suivre les instructions du docteur à la lettre.
Moi d’un air approbateur : je crois bien que oui.
JJ : si on passait à table maintenant.
Nous nous dirigeons vers la salle de restaurant. Spencer part devant nous pour m’installer à son tour de quoi m’asseoir confortablement avec mes béquilles.
Hotch s’adresse à reid : Je m’en occupe reid.
Reid : merci hotch.
Je m’appuye sur hotch pour me déplacer pour ne pas trop forcer sur mon bras.
Hotch me dit très discrètement : céline, strauss m’a appelé tout à l’heure, elle se doute que tu as mis en application ton étude pour cette affaire.
Je ne fais cas de rien et continue d’avancer comme si de rien n’était et répond à hotch.
Moi : elle veut quoi exactement ?
Hotch : elle veut savoir comment ça c’est dérouler exactement, je lui ai dit que pour l’instant tu étais en train de te faire soigner.
Moi : elle va rappeler ?
Hotch : il y a de fortes chances.

Nous nous installons à table. Les conversations vont bon train, des éclats de rire fusionnent de temps à autres. La détente est au rendez-vous. Morgan asticote toujours autant reid pour le faire décompresser de la journée. Quand à reid, assi à ma droite, il est toujours aussi complaisant et s’affaire à ce que je ne manque de rien.
La fatigue commence à se faire connaître et je me pose délicatement sur l’épaule de spencer. Soudainement le télphone de hotch se met à sonner ce qui me tire brutalement de mon somnolence. Il décroche. C’est strauss au téléphone. Nous nous arrêtons tous de parler et écoutons attentivement la conversation de hotch avec strauss.
Hotch : bonsoir madame…..oui elle est sortie… .vous voulez lui parler…très bien je vous la passe.
Hotch me tend son téléphone : céline, strauss elle veut te parler.
Un profond sentiment de appréhension m’envahit sous les yeux interrogateur de mes amis: allo….bonsoir madame….oui je vais bien…j’ai eu un os de ma cheville qui s’était déboité…oui tout est rentré dans l’ordre, ils me l’ont remis en place…si un peu, mais je viens d’avoir une piqûre de morphine donc pour l’instant tout vas bien et j’ai des anti-douleur au cas où…..je suis en arrêt de travail pendant 15 jours madame….c’est entendu vous n’avez qu’à passer à la maison quand nous serons rentré…lundi matin, c’est d’accord…bonsoir madame…merci.
Je raccroche et tous me regardent étonné pas l’appel de strauss et impatient que je leur disent ce qu’elle me voulait. Je redonne le téléphone à hotch.
Moi : c’était strauss, elle à vu la prise d’otage en directe et elle venait prendre de mes nouvelles.
Reid : elle veut passer chez nous ?
Moi : oui, elle veut se rendre compte par elle-même que je vais bien, je ne devais pas être avec vous ce jour là souvenez vous..et ça l’inquiéte un peu. En plus vu que les médias ont filmé en direct l’arrestation, elle a besoin que je lui expliques en détails tout ce qui s’est passé pour qu’elles puissent répondre aux différents questions que l’on risque de lui poser… à priori on est en train de lui demander de rendre des comptes.
Pénélope : waou, strauss qui se déplace en personne chez l’un de ses agents, c’est qu’elle est vraiment très embété, la dernière fois qu’elle s’est déplacé chez l’un d’entre nous c’était…
Pénélope stoppe nette sa phrase et une immense gène s’installe à table. Elle venait de rouvrir un passé douloureux et délicat, notamment pour hotch : la dernière fois que strauss s’était déplacé c’était à la mort de la femme de hotch pour lui proposer sa mise à la retraite…
Pénélope regardant hotch toute peinée : ..je suis désolée monsieur…
Hotch : ce n’est pas grâve garcia.
David repris la parole pour vite changer de sujet : et si nous commandions nos desserts ?
La réponse est unanime. Hotch et moi nous nous échangeons un regard en douce pour ne pas éveiller les soupçons des autres : effectivement strauss allait passer à la maison, mais la raison que j’avais invoqué n’était pas la bonne et lui seul le savait, lui seul avait été mis au courant depuis le début.
Le repas se finit dans la même bonne ambiance qu’il avait débuté.
Moi : excusez moi, je crois que je vais vous laissez pour aller me coucher.
Je prends appui sur mes béquilles pour me lever de table. Spencer se lève à son tour pour m’aider.
Spencer : je vais y aller avec elle aussi.
Emily : bonne nuit et à demain.
Moi : à demain.
Avant de partir je demande à hotch : hotch, est-ce qu’il me serait possible d’aller à l’hôpital demain avant de partir pour voir roger ?
Hotch se retourne de la table : d’accord on ne partira qu’en milieu de matinée. On se donne rendez – vous à l’aéroport à 10h30.
Moi : merci. Bonne nuit à tous.
Reid : Bonne nuit.
Morgan toujours aussi plaisantin: bonne nuit à vous 2…hé pas de folies ce soir…
Reid se retourne gentillement agacé : Morgan…
Morgan : je plaisante, reposer vous bien.
Pénélope : T’y vas un peu fort tout de même mon chou..
Morgan s’adressant à pénélope : ils avaient besoin de rire ce soir, de se changer les idées.
Nous nous en allons en direction de notre chambre ou après m’avoir aider à me changer et à me coucher, reid et moi nous nous endormons paisiblement dans les bras l’un de l’autre jusqu’au lendemain matin.
Nous nous levons très tôt le lendemain matin, ma cheville me faisant souffrir, une grasse matinée ne pas été octroyée. Cela ne tombe pas plus mal puisque je veux aller à l’hôpital avant d’embarquer. Mon levé n’est pas très discret ce qui réveille Reid.
Reid en s’étirant : tu es déjà réveillée ?
Moi qui es en train de finir de me lever du lit à grand coup de renfort de béquille : je suis désolée, je t’ai réveillée.
Reid : ce n’est pas important. T’as pu passer une bonne nuit ?- et il se lève du lit.
Moi : pas trop mal jusqu’à présent, maintenant ma cheville me titille un peu et ça m’a réveillé. Tu sais où sont mes médicaments ?
Reid attrape le sac qui se trouve sur sa table de chevet et fait le tour de lit pour me le donner.
Reid : tiens ils sont là.
Moi : merci
Notre petit bisou matinal est échangé à ce moment là.
J’ouvre le sac, prend la boîte de cachet et remarque qu’il y avait d’autres choses à l’intérieur du sac.
Moi :Regarde il y a des compresses stériles et du désinfectant, sacré JJ, elle pensera vraiment à tout.
Reid : elle a raison, il faudra qu’on pense à refaire ton pansement de temps à autre
Moi : on verra ça tout à l’heure.
J’avale un cachet et tout en lui posant une main sur son torse, je lui demande : je vais aller prendre une douche tant bien que mal , tu ne voudrais pas appeler la réception pour qu’il nous monte notre petit-déjeuner dans la chambre qu’on puisse le prendre tranquillement tous les 2 ? Après j’irais à l’hôpital.
Reid me caresse la joue : bien sûr mais je vais t’accompagner à l’hôpital.
Moi : c’est comme tu veux, tu peux rester avec les autres ci tu veux.
Reid s’approchant du téléphone pour appeler la réception : je t’ai déjà laissé partir une fois (allusion au faite que je m’étais retrouver toute seule à l’hôpital pour appréhender le suspect alors que je n’étais pas censé le poursuivre), je ne vais pas te laisser une seconde fois.
Moi : entendu.
Je vais dans la salle de bain me préparer. En sortant notre petit déjeuner était déjà monté. Nous nous installons tous deux et nous dégustons notre tête à tête, main dans la main, yeux dans yeux, avec pour seule conversation le plaisir d’être ensemble.
En partant de l’hôtel nous prenons bien soin de notifier au concierge de bien laisser la consigne à nos collègues que nous sommes déjà parti tous le2 et que nous les rejoignons à l’aéroport à 10h30 comme convenu. Reid se charge de prendre nos 2 valises pour les ranger dans le coffre du 4x4. Il prend nécessairement le volant : direction l’hôpital.
A notre arrivée au 2ème étage, je préfère traverser ce long couloir très vite et ne croiser personnes, les évènements de la veille me revenaient à l’esprit et me mettent très mal à l’aise, ce qui n’échappe pas à spencer qui m’aide toujours pour me déplacer pour ne pas que je ne force trop sur les points de suture.
Spencer : va doucement, tu n’as personne à poursuivre aujourd’hui, les événements d’hier ne vont pas se répéter aujourd’hui.
Moi : on avait dit jamais de profilage entre nous spencer
Spencer : ce n’est pas du profilage c’est de la logique.
Moi : tu joues un peu sur les mots
Spencer : vu ton attitude, je ne suis pas sûr que ce soit une bonne chose que tu sois revenu.
Moi : je peux pas partir sans avoir revu roger, il s’est passé quelque chose entre nous 2- très tendrement je continue en lui disant : tu peux le comprendre spencer ?
Spencer : bien sûr, t’es le seul être vivant à être arrivé à analyser ses comportements. Tu as besoin de le revoir une dernière fois pour lui dire au-revoir et essayer de trouver une dernière fois des signes pouvant l’aider à le guérir.
Je lui donne un baiser sur la joue pour lui faire comprendre qu’il a vu juste.
Arrivé devant la chambre de roger, spencer frappe à la porte. Une petite voix douce nous répond : oui entrez.
Spencer m’ouvre la porte et nous nous introduisons dans la pièce. En entrant nous apercevons ces parents à son chevet. C’était la voix de sa maman que nous avons entendue.
Moi : Bonjour Mr et Mme smith.
Je n’ai pas le temps de finir ma phrase,que son père et sa mère se lèvent précipitamment et avec un grand sourire viennent vers moi pour me saluer. Sa maman même me serre dans ses bras.
Mme smith : agent guichard, nous sommes heureux de vous voir.
Un peu surprise par cette réaction , je reste dans un premier instant sans rien dire et spencer se met à l’écart.
Mr smith me regardant de haut en bas : on a vu que vous avez été blessé en direct à la télévision. Le docteur armstrong nous a dit que vous étiez sorti de l’hôpital mais nous n’avons pas osé vous appeler hier sur votre ligne professionnelle pour vous demander de vos nouvelles. Comment allez vous ?
Moi : ce n’est pas trop grave, quelques points de suture et une quinzaine de jours sans mettre le pieds par terre et tout serra rentré dans l’ordre. Mais dites moi qu’a donné le scanner de roger ?
Mr smith me fait signe de m’approcher du lit de roger.
Mr smith : le scanner pas grand-chose, mais venez voir…
Je m’approche du lit et spencer intervient.
Reid : céline, tu ne devrais pas rester debout comme ça.
Mr smith un peu embarrassé de ne pas me l’avoir proposer avant au regard de mon état physique.
Mr smith : oui, oui désolée, venez vous asseoir (et il me présente une chaise).
Moi tout en allant pour m’asseoir : Mr et Mme smith ; je ne sais pas si vous connaissez déjà le docteur reid ?
Mme smith : nous nous sommes aperçu la première fois que le FBI est venu pour interroger roger.
Tour à tour, ils se serrent la main. Le docteur armstrong fit son entrée à ce moment là.
Dr armstong : agent guichard et agent reid, vous ici ?..c’est très bien à ce que je vois vous suivez bien mes instructions..
En me retournant vers reid : j’ai un bon garde du corps, docteur.
Reid, bras croisé à l’écart au fonde la pièce, gêné, lève la main pour faire signe que c’est lui dont je parle
Dr armstrong : j’imagine aisément vu l’inquiétude qu’il avait pour vous hier….,et puis, vous êtes une patiente difficile à peine soigner, si je ne vous avais pas arrêter vous posiez déjà le pied par terre…, votre fiancé à raison de vous surveiller.
Moi en plaisantant : je suis beaucoup plus docile et discipliné à l’extérieur docteur…
Dr armstrong répondant à ma plaisanterie : vous m’avez réservé cette faveur alors ?
Moi toujours en plaisantant : oui, c’est ça, on est tellement rigoureux, ordonné et discipliné au FBI pour mené à bien notre travail que je me suis dit, tiens je vais aller faire une course poursuite sur le toit de l’hôpital de phoenix pour me blesser et pour aller embêter ce brave docteur armstrong.
Dr armstrong fini de sourire : trêve de plaisanterie maintenant. La nuit s’est bien passée ?
Moi : bien, nous sommes venu prendre des nouvelles de roger avant de repartir pour quantico.
Dr armstong se tourne vers reid : agent reid, comment s’est réellement passé la nuit ?
Reid s’approche : non, bien docteur, sa cheville la juste réveillé ce matin de bonne heure parce qu’elle la lançait.
Dr armstrong se tournant maintenant vers moi : c’est tout à fait normal, vous avez pris vos cachets ?
Moi : oui docteur et je ne sens presque rien.
Dr armstrong en s’approchant du lit de roger : je ne vous l’ai pas dit hier, mais vous penserez à désinfecter votre plaie régulièrement.
Moi : une collègue m’a pris tout le nécessaire.
Dr armstrong : très bien. Vous vouliez des nouvelles de roger approchez vous un peu avec votre chaise.
Les parents de roger trépignent sur place.
Le docteur armstrong prend sa petite lampe de poche qu’il place et agite devant les yeux de roger. Oh, surprise le regard de roger s’est allumé, ses pupilles se sont dilatées et ses yeux suivent la lumière.
Abasourdi par ce que je viens de voir, je ne peux m’empêcher de sourire, je prend la main de roger et demande au docteur armstrong tout en balayant du regard ses parents qui serrés l’un contre l’autre me souri à pleines dents .
Moi : ça veux dire qu’il va mieux et qu’il va s’en sortir docteur.
Dr armstrong en rangeant sa lampe dans sa poche : tout à fait, il va progresser de jours en jours , le scanner n’a absolument rien révélé d’anormal, il devrait récupérer la totalité de ses facultés d’ici quelques temps.
Je murmure à roger : Roger, je suis fier de toi, tu t’es bien battu et maintenant que ton ravisseur est sous les verrous et que tu ne risque plus rien, tu va pouvoir avoir de nouveau une vie normale avec ton papa et ta maman qui t’aimes et qui attendent impatiemment ton retour.
A l’écoute de ma voix, les 2 petits doigts de roger se mirent à bouger.
Mme smith, excitée : regarder, docteur , regardez il vient de bouger…
Dr armstrong : on est vraiment sur la bonne voie.
Un doux parfum de bonheur se met à planer dans cette chambre.
Reid le suspend : céline, il va falloir y aller, on nous attend à l’aéroport.
Moi : oui tu as raison…(et je me lève, mr smith et le docteur m’aidant à rejoindre reid).
Avant de partir, les parents de roger nous saluèrent.
Mme smith me pose les mains sur les épaules et après m’avoir embrasser me dit : nous vous remercions agent guichard, pour tout ce que vous avez fait pour nous et notre enfant.
Moi : je vous en prie, madame, ça fait parti de mon métier.
Mme smith : non c’est bien plus que ça, on a bien senti que vous avez dépasser les frontières de votre métier avec nous, que vous avez une excellent instinct maternel…vous ferez une très bonne mère plus tard…vous aurez de très beaux enfants ensemble (mr et mme smith avaient compris que reid et moi étions ensemble suite à l’intervention du dr armstrong qui avait qualifié spencer de mon fiancé).
Mr smith : si vous avez besoin de quoique ce soit un jour, n’hésitez surtout pas.
Moi : je ne vous demanderais qu’une chose c’est de m’appeler de temps en temps pour me donner des nouvelle de roger.
Mr smith : c’est entendu.
Sur ces paroles, reid et moi quittons la pièce, direction la voiture et l’aéroport pour rentrer à la maison…et la confrontation prochaine avec strauss.

12/ Le retour en jet à Quantico se déroule comme à l’accoutumé, à l’exception près que cette fois ci je me suis allongé sur le canapé pour étendre ma jambe et m’assoupir. Prentiss et reid font une partie d’échec, tandis que morgan assis seul au fond écoute son MP3, que JJ et garcia parlent de tout et de rien et que Rossi et hotch font le débriefing de l’affaire.
Hotch : nous avons eu de la chance cette fois-ci.
Rossi en se retournant sur moi : oui, on aurait pu avoir beaucoup plus de perte….

Le lundi matin est là, et j’attends la visite d’Erin Strauss comme nous l’avions convenu au téléphone. Je me suis habillée de bonne heure en raison de sa venue et Spencer, fini de me refaire mon pansement quand la sonnette de la porte d’entrée sonna. Spencer termine de me poser le pansement et se dirige vers la porte pour l’ouvrir.
Reid : bonjour madame.
Strauss : bonjour agent reid, je suis venue voir l’agent guichard.
Reid : oui, elle vous attend.
Strauss : merci .
Elle franchi le seuil du palier et se dirige jusqu’au canapé sur lequel je me trouve pour me saluer.
Strauss : bonjour, comment allez vous ?
Je lui fait signe de s’asseoir à me côtés.
Moi : Bien merci, asseyez vous je vous en prie madame.
Strauss : merci beaucoup.
Elle prend place. Reid toujours debout près de l’entrée, attrape son sac qui se trouve pendu sur le porte manteau et glisse la bandoulière de celui-ci autour de son cou. Il s’apprête à partir travailler.
Reid : je vais vous laissez, faut que j’y aille.
Il fait des grandes enjambées pour rejoindre rapidement le derrière du canapé. Je penche ma tête vers l’arrière et reid m’embrasse sur le front.
Moi : a ce soir spencer
Reid : à tout à l’heure, tu m’appelles en cas de besoin.
Je lui fais comprendre que oui. D’un signe de tête reid, salue Erin Strauss.
Reid : Madame….
Strauss : bonne journée docteur reid.
Reid traverse notre salon, pour s’en aller à la BAU.
Strauss et moi sommes seules dans l’appartement.
Moi : vous voulez boire quelque chose ?
Strauss : non, merci ça va aller. Il faut que nous parlions.
Moi : je vous écoute.
Strauss, toujours avec son air sérieux : vos supérieurs m’ont appelés. Ils ont eu vent de votre intervention. Ils ont vu comme toute l’Amérique d’ailleurs, la libération de la prise d’otage en direct à la télé. Ils se demandent jusqu’à quel point vous avez contribuer à la résolution de cette affaire.
Moi d’un ton assez grave : effectivement, j’ai dû pas mal m’impliquer pour qu’on y arrive.
Strauss, s’enfonçant dans le canapé en prenant ses mains l’une dans l’autre : et qu’avez-vous fait ?
Je garde mon regard fixe droit devant moi et lui répond : j’ai du mettre en application les méthodes de l’étude sur laquelle je travaille…
Strauss se redressant et me fixant intensivement : c’est bien ce que nous pensions. Et le résultat ?
Moi : c’est prometteur, c’est grâce à elle que nous avons trouvé notre point de départ, que nous avons pu relié les événements à la patinoire.
Strauss : je sais que vous êtes en arrêt, mais nous aurions besoin que vous nous fassiez parvenir au plus vite le rapport de cette enquête, afin que nous puissions suivre l’évolution de cette recherche…vous savez que vous avez 3 ans pour la mener à bien , cela fait déjà 1 an que vous travailler dessus et jamais vous n’aviez eu une aussi belle occasion pour la mettre en œuvre.
Moi la regardant : oui, jusqu’à présent je les ai juste mis en parallèle à nos méthodes traditionnelles de profilage, mais c’est vrai que les résultats étaient probants aussi…
Strauss se lève du canapé et me tend la main pur me saluer : très bien, nous sommes satisfaits de votre travail, continuez ainsi.. Est-ce que je peux compter sur vous pour me rendre le compte rendu au plus vite que je puisse en prendre connaissance ainsi que vos supérieurs ?
Moi : entendu madame, je vais demander à ce qu’on m’apporte mon ordinateur à la maison et je vous enverrais le détail de cette affaire via votre ligne sécurisée.
Je commence à me lever pour raccompagner Erin strauss à la porte .
Strauss : non, ne vous donnez pas cette peine, je fermerais là porte derrière moi.
Moi : merci.
Elle s’éloigne et clos la porte derrière elle.
Strauss : au-revoir..et bon travail…on se voit dans 15 jours au bureau, en attendant rétablissez vous bien.
Moi : merci madame, à bientôt.
Je me retrouve seul dans l’appartement, reprend mes esprits et me dis que l’entretien avec strauss ne s’était pas si mal passé que ça enfin de compte.
J’attrape le téléphone pour appeler garcia.
Garcia : bureau de Pénélope Garcia, informaticienne de génie du FBI, j’écoute.
Moi : pénélope, c’est céline.
Garcia : hé, salut toi, comment ça va ?
Moi : bien, merci…pénélope j’aurais besoin de toi .
Garcia étonnée : bien sûr ma chérie, mais comment peux tu avoir besoin de moi alors que tu ne dois pas travailler ?
Moi : j’aurais juste besoin que tu me fasses porter mon ordinateur à la maison, strauss veut que je lui fasse son compte rendu.
Garcia : elle exagère, quelqu’un d’autre que toi peut le rédiger, je suis sur que reid ou qu’Emily se ferait un plaisir de le faire à ta place…je vais leur demander ..
Moi : non pénélope, elle veut que j’explique dedans comment ça c’est passer avec le kidnappeur lorsque nous j’ai essayé de l’appréhender, je suppose qu’elle veut voir si je n’ai pas fait d’erreur car je me blesse trop souvent en ce moment, et ça personne d’autres ne peux le faire à ma place.
Pénélope : d’accord.
Moi : tu me mets tous les branchements avec.
Pénélope : sans souci, je les donne à reid ?
Moi : oui, il n’a qu’a me l’emmener ce soir quand il rentrera.
Pénélope : OK , reviens vite c’est vide sans toi.
Cette remarque de garcia me tire un sourire.
Moi : merci penny, vous me manquez tous aussi ? tu les embrasses pour moi et tu leur dis que la porte de la maison leur est ouverte, vous pouvez passer chez nous, ça me ferait plaisir de vous voir.
Garcia : Ok baby, la commission sera faites .bye
Moi : a plus pénélope, j’appel reid pour lui dire pour l’ordinateur.
Je raccroche d’avec garcia pour appeler directement reid. Il décroche très vite.
Moi : spencer, c’est moi
Reid d’un ton un peu paniqué, pensant sûrement que si j’appelais c’était parce que j’avais un problème : qu’est-ce qui se passe ?
Moi : en rentrant ce soir, est-ce que tu pourrais me ramener le PC qui est sur mon bureau s’il te plait ? Garcia va tout préparer.
Reid : pourquoi as-tu besoin de ton ordinateur à la maison ?
Moi : strauss, veut que je lui fasse moi-même le compte rendu.
Reid : si le docteur t’a dis de rester à la maison pour te reposer, ce n’est pas pour que tu y ramènes du travail.
Moi : mon cœur, c’est pas ça qui va me fatiguer, ça m’occuperas un peu en plus. Tu sais les journées sont longues.
Reid : entendu, je le récupère tout à l’heure.
Moi : merci spencer, à ce soir…hé, je t’aime.
Reid a un petit rictus de plaisir : moi aussi.

Morgan qui est au bureau d’en face de celui de reid lui demande :
Morgan : il y a un problème chez vous ?
Reid, légèrement énervé : non, strauss lui demande de finir son rapport, il faut que je lui emmène son PC tout à l’heure.
Morgan : toujours aussi compatissante celle-là.


Les 15 jours passent et le jour de mon retour au bureau est enfin là, je peux enfin quitter mes béquilles. Je boite encore un peu mais pas trop. Spencer et moi, arrivons bras-dessus bras-dessous, un peu d’appui m’est toujours encore un peu utile. Ma première envi en arrivant est d’aller embrasser tout le monde. Garcia n’est pas encore arrivée ainsi que Rossi, mais JJ, Morgan et Prentiss se trouvent dans le bureau central. Nous arrivons tranquillement.
Morgan qui nous voit au loin : tiens, nous 2 tourteraux sont de retour.
Morgan avance en notre direction et m’étreint amicalement, suivi par Prentiss :
Prentiss : t’as l’air en pleine forme.
Moi tout en tapotant par terre le pied de ma blessure : t’as vu c’est du solide maintenant.
Reid : hé, doucement tout de même, ne vas pas te démettre encore autre chose.
JJ : il a raison, fait attention, surtout si tu veux pouvoir danser pour le bal annuel du FBI vendredi soir.
Moi :pas question que je le loupe et puis ne vous inquiétez pas, 15 jour d’immobilisation c’était trop pour moi , je suis pas prête de recommencer…Les autres ne sont pas encore là ?
JJ :garcia et rossi ne sont pas encore arrivé, mais hotch est déjà dans son bureau.
Moi : je vais aller le saluer avant de retourner dans mon bureau.
Je lâche spencer et me dirige vers le bureau de hotch. Chacun vaque à ses occupations. Je frappe à sa porte.
Hotch : entrez.
J’entre et m’avance vers lui. Il se lève de sa chaise.
Hotch m’embrassant sur la jour : céline, je suis content de te revoir. Tu es entièrement rétabli maintenant ?
Moi : entièrement oui.
Hotch : assied toi 5 minutes .
Il me tend la chaise qui est en face de son bureau et je m’assois dessus. Il retourne prendre place sur son fauteuil et croise les mains sur son bureau pour prendre la parole.
Hotch : strauss est venu te voir ?
Moi :oui, elle voulait que je lui rédige mes conclusions en relation avec mon étude sur l’affaire du kidnappeur de la patinoire.
Hotch : elle m’e l’as dit ? Tu as pu le finir ?
Moi : oui, je lui ai transmis via la transmission sécurisée qu’elle m’avait donné en fin de semaine dernière.
Hotch : est-ce que tu as eu des échos ?
Moi : non , pourquoi je devrais en avoir ? Je lui ai juste expliquer comment j’avais mis en application mes méthodes sur ce cas, c’est tout.
Hotch : et ta conclusion au final c’était quoi ?
Moi : que sur cette affaire, le résultat est positif, mais vous le saviez vous étiez là avec moi pour le voir. Pourquoi me poser vous cette question ?
Hotch embêté : elle m’a demandé à ce que nous venions la voir, dès son retour demain après-midi. Pour l’instant elle a Pittsburg.
Moi d’un air inquiet : vous savez pourquoi ?
Hotch : pas la moindre idée, elle ne m’a absolument rien laissé paraître. Attendons nous verrons bien.
Je commence à me redresser de la chaise.
Moi : bon ben en attendant, je vais retrouver mon bureau et avancer sur les dossiers que j’ai laissé.
Hotch : d’accord vas-y. Je te tiens au courant si jamais j’apprends quelque chose d’autres.
Sur ce je m’éloigne de son bureau pour regagner le mien.

La journée se déroule sans encombre, tout est routine, et les discussions vont bon train sur le bal annuel de vendredi soir. Nous ressemblons tous à des lycéens en attente de leur bal de promotion. D’ailleurs, JJ, Emily, Pénélope et moi-même profitons pour une fois de notre fin d’après-midi pour aller choisir nos robes pour cette soirée. JJ s’est même arrangée pour faire garder Henry pour qu’elle puisse venir accompagné de William.
Ce bonheur est de courte durée puisque le lendemain, le ciel est devenu beaucoup plus sombre.
En effet, strauss est rentré et elle nous a appelé hotch et moi à venir la rejoindre dans son bureau.
Hotch et moi partons séparément, chacun de notre côté en direction du bureau de Strauss pour ne pas éveillez les soupçons de nos collègues, et subir un interrogatoire en règle à notre retour du comment du pourquoi nous étions allé tous les 2 voir strauss.
Je frappe à la porte de strauss.
Strauss : entrez.
Hotch est déjà assis là.
Strauss : asseyez vous agent guichard.
J’obéis.
Le visage fermé de Hotch ne me laissait rien présagé de bon et les mouvements saccadés de strauss ne me rassurent pas non plus.
Strauss : si je vous ai convoqué tous les 2, c’est que quelque chose d’important vient de se passer.
Un silence de mort règne dans la pièce.
Hotch : quoi donc madame ?
Strauss ennuyée : votre mission auprès de nous touche à sa fin agent guichard.
Hotch surpris, s’avance de sa chaise tandis que je deviens blafarde.
Moi : mais ce n’est pas possible, ma mission doit durée 3 ans, ça ne fait qu’une année que je travaille dessus …
Strauss tout aussi embêtée que nous : oui je le sais, mais vous savez bien que vous ne dépendez pas uniquement de nous, nous avons donné notre accord pour que nos services travaillent ensemble… vos supérieures là-bas, en on décidé autrement…ils trouvent que les conclusions de votre dernière enquête étaient tout à fait concluantes et ils désirent arrêter là cette étude qui pour eux est arrivé à bout et à porter ces fruits….ils vous demandent de boucler le projet……(elle avale sa salive pour mieux arriver à prononcer la suite de son discours)…..pour la fin de la semaine….
Hotch : comment ça pour la fin de la semaine ? mais c’est totalement impossible….
Moi, commençant à m’énervé légèrement : pour la fin de la semaine, c’est une plaisanterie ???
Strauss reprenant son visage sérieux d’à l’accoutumé : non pas du tout, vos supérieurs arriveront jeudi après-midi et ils désirent assister à la conférence que vous tiendrez vendredi à 11h devant tous nos agents sur les conclusions de votre étude et comment vos nouvelles méthodes peuvent aider la BAU….(elle s’arrête, se retourne vers hotch)…bien entendu agent Hotchner, d’ici là vous n’acceptez aucune mission, vous avez l’obligation d’assister vous ainsi que toute votre équipe à cette conférence.
Moi : je devais rester ici pour 3 ans, je fais quoi…
Strauss ennuyée : je suis désolée agent guichard, mais votre mission auprès de nous s’achève en même temps que votre étude, vous rentrez en France…samedi à 14h ,par le même vol que vos supérieurs.
L’annonce de la nouvelle, me fait m’effondrer sur ma chaise. Hotch m’attrape le bras comme pour me soutenir moralement et s’adresse violemment à Strauss.
Hotch : sauf le respect que je vous dois madame, c’est n’est pas possible, comment voulez vous que j’annonce ça à mon équipe ?
Strauss : je suis encore une fois désolée, mais je ne peux absolument rien faire… nous savions que tôt ou tard cela arriverais.
Je reprends mes esprits et intervient.
Moi : attendez, il y a quelque chose que je ne comprends pas. J’ai signé un contrat avec eux de 3 ans, ils ne peuvent pas l’arrêter comme ça…
Strauss : vous en parlerez avec eux, mais il me semble que pendant les 2 années qu’il vous reste, vous soyez en charge de l’enseignement de votre technique.
Hotch : pas du tout ça ne devait pas se passer comme ça….elle devait rester 3 ans avec nous et après nous avions convenu de la garder ou pas avec nous selon si nous étions satisfait ou pas de son travail et si elle s’était bien ou non intégré…c’était à cette seule condition que j’ai accepté de garder le secret auprès de mon équipe…parce que sa venue n’aurai en rien bouleversé leur esprits et leur habitudes de travail.
Mes yeux deviennent larmoyant et m’agrippant au bureau de Strauss .
Moi : madame, ma vie est ici dorénavant, je me suis construite une nouvelle vie qui me plait, je vie même en couple, je voudrais rester, s’il vous plait…
Strauss : la solution n’est malheureusement pas entre les mains du FBI…si je pouvais faire quelque chose je le ferais,soyez en assuré.
Hotch : vous vous rendez compte, que c’est tout le travail d’une équipe que vous êtes en train d’anéantir, et la vie d’un homme en particulier ?
Strauss, mécontent de cette intervention : vous savez bien que le rapprochement entre agents est normalement interdit. Nous avons toléré que l’agent reid et guichard se fréquentent et vivent ensemble, tout comme l’agent garcia et Kevin pour la simple et bonne raison que leurs relations n’ont jamais entravé leur travail..et ce n’est pas cet argument qui fera basculer la balance.
Strauss se lève et vient vers nous et se place debout devant son bureau.
Strauss s’adressant à moi : j’espère que vous comprenez que nous sommes pieds et poings liés dans cette histoire ?
Moi : je sais, mais je suis encore sous contrat avec eux pour 2 ans et je ne veux pas partir.
Strauss : je comprend bien, il faudrait que votre agence vous libère pour que nous puissions faire quelque chose pour vous…nous pourrions éventuellement vous créer un poste d’ici quelque temps mais même si c’était le cas, en attendant, vous seriez sans « green card » et vous ne pourriez plus résider sur le sol américain….et vous seriez obligé de repartir pour la France pour quelques mois.
Strauss me pose une main sur l’épaule droite .
Strauss : écoutez moi. Préparez consciencieusement votre présentation pour vendredi. Nous discuterons de tout ceci avec les membres de votre agence puisque comme le veux le protocole de chez vous allez devoir passer tout leur séjour avec eux
Je fait un signe de tête pour acquiescer mais je sens au fond de ma poitrine mon cœur se serré lentement.Elle regarde l’agent hotchner.
Strauss : agent hotchner, je compte sur vous et votre équipe pour être présents vendredi , vous conviendrez bien de vous-même de l’utilité de cette présence.
Hotchner : bien entendu
Strauss : Je pense que dorénavant ce secret n’ a plus lieu d’être et qu’il faut leur dévoilé la vérité sur la présence de céline guichard au BAU, sans toutefois leur révélé totalement la nature de cette étude.
Hotchner ; nous le ferons.
Strauss : faites moi appeler quand vous leur parlerez, je tiens à être présente pour lever tout doute concernant nos agissements.
Sur ces dires, hotch et moi nous nous retirons de son bureau. Hotch ferme violemment la porte derrière nous. Abasourdi par la nouvelle, mes jambes n’arrivent plus à porter mon corps et se dérobent sous moi. Je me retrouve accroupi dans le couloir du bureau de strauss. Hotch s’approche doucement de moi.
Hotch : on va trouver une solution ne t’inquiètes pas.
Je lève brusquement la tête.
Moi : laquelle ? Même si je démissionne, vous avez bien entendu, je suis obligée de retourner sur le sol français, mon visa expire samedi.
Hotch m’aide à me relever et me fixe droit dans les yeux.
Hotch : écoute moi bien, tu fais et feras toujours parti intégrante de cette équipe et il est hors de question que l’on se passe de tes services, surtout maintenant que tu nous a prouvé que tes méthodes peuvent nous aider sur nos enquêtes….tu sais que tu ne peux pas démissionner, tu as signer un contrat et tu encours de gros risque si tu faisais une chose pareille, tu ne t’attaques pas à la petite police locale si tu te les mets à dos.
Moi : je sais bien, mais je me fou des conséquences.
Hotch ; raisonne toi…, si tu fais ça tu risque d’être éloigner des Etats-Unis et de Reid encore plus longtemps que ces 2 années , ….ils te mettront des bâtons dans les roues pour ne pas que tu puisses revenir …… Surtout tu ne fais pas de bêtises….. En attendant, tu fais le travail que l’on t’a demandé, tu prépares ta présentation, ça t’occupera l’esprit. Attend qu’ils arrivent de France pour voir avec eux ce qu’on peut faire.
Il me prend le menton pour me faire relever la tête que j’ai de baissée.
Hotch ; hé, regardes moi…je te lâcherais pas…maintenant reprend toi, il faut qu’on y retourne. Tu veux qu’on se réunisse maintenant pour leur en parler.
Moi, totalement décomposée : pas tout de suite, j’ai besoin de réaliser avant de pouvoir leur en parler.
Hotch :ne tardes pas trop, ils ont le droit de savoir.
Nous repartons Hotch et moi, ensemble cette fois-ci, puisque secret, il n’était plus obligé de tenir au BAU. Mon bureau se situant avant le bureau central, je m’arrête en premier et aaron continue son chemin pour rejoindre le sien.
Je passe la journée enfermée dans ma salle (ce qui m’arrive de temps en temps en fonction de ma charge de travail et ne met la puce à l’oreille de personne sur l’état déplorable dans lequel je me trouve aujourd’hui). Je passe par des phases de grandes détresses et de désespoirs me voyant déjà reparti pour la France et vivre loin de mon amour et des phases de grandes confiances où je me dis que ce n’est pas possible qu’on trouvera forcément une solution, que tout être humain ne peux pas rester insensible à mon cas et m’obliger à laisser derrière moi tout ce qui représente ma vie et mon bonheur….et ma présentation avance, doucement mais lentement et plus j’avance plus j’ai l’impression qu’au fur et à mesure que mes doigts pianotent les mots sur le clavier, plus ils m’amènent sur l’échafaud.
J’arrive à passer ma soirée avec Reid comme à l’accoutumée. Il me trouve bien un peu bizarre et les traits tendus. A table pendant note dîner, Reid me questionne un peu.
Reid : je te trouve bizarre ce soir, il y a quelque chose qui ne vas pas ?
Ca question me met très mal à l’aise, je n’arrive toujours pas à trouver le courage de lui parler et de lui avouer la vérité. Je lui prends la main qu’il avait posée sur la table.
Moi, trouvant un bon prétexte pour ne pas l’affronter : ma cheville me fais souffrir ce soir.
Reid : tu as déjà pris tes comprimés ?
Moi : oui, j’en ai pris (effectivement je venais d’en prendre car la douleur bien que minime par rapport à ce que je dit à spencer est quand même là).
Reid : tu iras te reposer sur le canapé, une fois qu’on aura fini de manger, je m’occuperais de ranger la cuisine. Je te la masserais après si tu veux.
Ces paroles me firent couler une larme : t’es un ange, j’ai vraiment de la chance de t’avoir à mes côtés.
Ces mots gènes comme à l’accoutumée, reid, qui est très pudique au niveau de l’expression de ses sentiments.
Nous finissons ensemble la soirée sur le canapé, et regardons le DVD de « Twilight 2 », ce qui ne m’aide pas à me sentir mieux. Bien souvent au court du film, mes yeux se détournent de l’écran pour se poser sur Spencer. Comment allais-je pouvoir lui dire ? Comment allai-je pouvoir vivre loin de lui ? Comment allais-je faire pour ne pas devenir folle si jamais je ne pouvais pas rester ? L’histoire d’amour que vivait Bella Et Edward, dans Twilight, faisait raisonner en moi l’amour entre spencer et moi. Oh, combien je pouvais comprendre et ressentir la détresse et le désarroi de Bella, abandonné sans Edward…et dire que prochainement, Reid et moi nous allions vivre la même chose. Non c’était impossible je ne veux pas le faire souffrir autant, en plus il a l’air tellement paisible et tranquille en train de regarder le film…je ne peux vraiment pas.
Au court du film je glisse à Spencer.
Moi : Spencer, demain soir, j’ai envie d’inviter toute l’équipe à venir manger à la maison, depuis le temps que je leur promets un repas typiquement français.
Reid : tu avais mal ce soir, tu risques aussi d’avoir mal demain soir, je ne pense pas que ce soit une bonne idée.
Je m’approche de lui et m’assois à califourchon sur lui, face à lui.
Moi : si je suis occupée à autre chose, je ne penserais pas que j’ai mal.
Reid passe ses bras autour de ma taille.
Reid : on a déjà le bal vendredi soir, tu ne trouves pas que ça fait un peu beaucoup pour une première semaine de reprise ?..on ferra ça plus tard.
Moi : je t’assure que je me sens en état de le faire, spencer . Je me suis tellement ennuyée pendant 15 jours que là j’ai besoin de me rattaper..j’ai vraiment très envi.
Reid : si tu t’en sens capable, c’est à toi de voir.
Contente, je l’embrasse.

13 /
Mercredi matin : arrivée dans les locaux du FBI, tout semble anormalement normal pour moi. Aujourd’hui Spencer et moi sommes les derniers à arriver, et chacun se trouve déjà à sa place. Hotch, Rossi,JJ et Garcia dans leur bureau respectif et Prentiss et Morgan dans les bureaux communs. Le besoin de passer une dernière soirée ordinaire, est ma préoccupation du jour et je n’attends même pas d’être arriver pour interroger Emily et Derek pour leur projet pour la soirée. De loin je les interpelle.
Moi : Emily, Derek, vous faites quoi ce soir ?
Ils se retournent.
Morgan : Quoi ?
Reid, amusé : attend au moins d’être arrivé vers eux pour leur demander.
Je continue à m’avancer vers eux, toujours accompagné de spencer.
Moi : je vous demandais si vous faisiez quelque chose ce soir car spencer et moi, nous voulions inviter toute l’équipe à la maison pour que je vous prépare enfin les plats français que je vous avais promis depuis des semaines.
Morgan avec une expression de plaisir : un repas fait avec la meilleure cuisine du monde, je ne raterais ça pour rien au monde.
Moi : Et toi Emily ?
Emily me donne une petite tape amicale avec le dossier qu’elle tient à la main.
Prentiss : tu rigoles, depuis le temps que j’attends ça, bien sûr que je serais là.
Moi : génial, je vais aller voir hotch et rossi…
Ni une, ni deux, je me dirige vers le bureau, sourire aux lèvres.
Morgan s’adresse à Reid, surpris mais heureux de me voir joyeuse : qu’est-ce qu’elle a aujourd’hui ? Elle a forcé sur la dose de ses analgésiques ce matin ou quoi?
Reid hoche les épaules.
Reid : aucune idée, ça lui a pris hier soir…elle m’a dit qu’elle avait mal vécu ses 15 jours d’arrêt et que maintenant elle voulait se rattraper.
Prentiss : tu m’étonnes, on voit bien que tu n’as jamais vécu avec elle morgan…
Morgan interrogatif : Pourquoi ?
Reid d’une moue résigné : elle est plutôt du style à ne pas tenir en place, sauf si elle-même le décide. – il s’adresse à Emily- elle était comme ça chez toi aussi ?
Emily en approbant : oh que oui, la semaine où elle est venue se réfugier chez moi quand vous vous étiez disputé, c’était tout à fait ça, tant qu’elle ne s’ennuyait pas tout allait bien, mais alors dans le cas contraire chaud devant….
Morgan : c’est comme à l’hôpital alors….
Dans un rire discret général.
Reid en enlevant se sacoche en bandoulière et en s’asseyant : c’est tout à fait ça…
Je monte les escaliers pour atteindre en premier le bureau de rossi. Je frappe à sa porte.
Rossi : oui, entrez.
J’entrouvre la porte, penche juste la tête à l’intérieur sans entrez totalement dans la pièce.Rossi est en train de lire des papiers qui sont disposés sur sa table.
Moi : Rossi, repas français chez nous ce soir, vous êtes des nôtres ?
Rossi :heu…attends…oui, c’est gentil à toi.
Moi : super, à ce soir 20h
J’attends à peine la fin de sa phrase que je me retourne et m’en vais en direction de vers Aaron.
Je frappe à sa porte.
Hotch : entrez.
Hotch raccroche son téléphone.
Hotch : céline, c’est toi, entre.
Je m’avance.
Moi : Hotch, Spencer et moi nous réunissons l’équipe pour un repas français chez nous ce soir, on serait content si vous pouviez venir ce soir avec Jack ?
Hotch se lève de son bureau.
Hotch : tu as donc pu parler avec reid hier soir ?
Ce dur retour à la réalité, me glace le sang et me fait perdre toute ma gaieté.
Moi : non, pas encore.
Hotch : attends, ce dîner ce n’est pas pour…
Je le stoppe net dans sa phrase.
Moi : non, ce n’est pas du tout un dîner d’adieu….(je commence à m’énerver et à sortir de mes gonds)…et je ne ferais pas de dîner d'adieu…
Hotch s’approche de moi pour me calmer.
Hotch : ce n’est pas ce que j’ai voulu dire céline, mais avoue que cette invitation peut porter à confusion..
Je hoche la tête pour montrer que je suis d’accord avec ce qu’il vient de dire.
Hotch : tu as l’intention de leur dire ce soir ?
Je m’approche et regarde par les baies vitrées qui donnent sur les bureaux centraux, bras croisés et le visage triste.
Moi : non, pas ce soir, pas aujourd’hui…
Hotch s’approche derrière moi.
Hotch : céline, il faudra bien leur dire un jour où l’autre…il ne te reste plus beaucoup de temps…
Moi : regardez les…(JJ et Garcia avaient rejoints les autres, et on les voyaient parler, rire et chahuter)..mais regardez les…ils sont si joyeux…je n’ai pas envi de les faire souffrir…j’ai tellement mal hotch, j’ai tellement mal….je ne veux pas qu’ils puissent ressentir la même chose que moi, c’est effroyable …comment est-ce que je pourrais leur annoncer une telle nouvelle sans les faire souffrir ?
Hotch : je ne sais pas céline, je ne crois pas qu’il existe de remède miracles mais ce qui est sûr c’est qu’ils ont le droit de savoir.
Moi : ils sont tellement heureux…plus je leur dirais tard, plus tard ils souffriront.
Hotch : et plus leur douleur sera forte si tu fais ça….et tu penses à Reid ?
Moi : je ne fais que ça…s’il vous plait hotch, mon retour en France est inéluctable.(hotch baisse la tête car il sait que j’ai raison), même si nous arrivons à convaincre mes supérieurs de me libérer de mon contrat, vous savez que je n’ai pas le choix que de rentrer dans mon pays de naissance pour quelque temps.
Hotch : je le sais, ton visa expire samedi, et même si ils acceptent d’annuler ton contrat…
Moi : …je ne pourrais pas rester sur le sol américain car je n’aurais plus de travail, et il me faudrait attendre non seulement de retrouver un nouvel emploi mais aussi attendre que l’administration me renouvelle ma « green card ».
Je me retourne ver hotch.
Moi : alors hotch, s’il vous plait, laisser nous passer une dernière soirée heureuse.
Hotch en me prenant dans ses bras : c’est d’accord, mais demain matin sans faute…
Moi : demain matin, il n’y aura pas le choix…ils arrivent.
Hotch : je viendrais avec jack ce soir tu peux compter sur nous.
Moi : merci, c’est important pour moi de vous avoir tous une dernière fois auprès de moi.
Je m’apprête à sortir du bureau.
Hotch : il y aura encore le bal de vendredi.
Moi : Le bal, à votre avis, il va avoir quel goût ce bal quand ils sauront… ?
Et je referme la porte derrière moi. Je rejoins « ma petite équipe ».
Reid : JJ et Garcia sont OK pour ce soir.
Je prend sur moi et fait comme si je ne venais pas d’avoir cette discussion avec Aaron.
Moi : c’est nickel.
JJ : tu vas avoir le temps de tout préparer pour ce soir ?
Moi d’un ton taquin : mais oui, je partirais de bonne heure ce soir pour aller faire quelque course et en rentrant je m’y attaque directement..la cuisine française est peut être la meilleure au monde, mais elle n’est pas forcément très compliquée et longue à faire…et puis spencer va m’aider.
Reid a une expression de surprise en m’entendant, et il se redresse de sa chaise sur laquelle il était en train de basculer.
Morgan rigole : tiens, je parie que tu n’étais pas au courant que tu devais cuisiner ce soir Reid, c’est ça les femme mon vieux, va falloir t’y habituer..
Emily : tu veux que je vienne vous donner un coup de main ?
Reid s’empresse de répondre comme soulagé par la proposition d’Emily : oui ce serait pas de refus.
Moi : Garcia, tu viens avec Kevin. Et toi JJ, tu viens avec Wil et Henry.
JJ et Garcia en même temps , s’entremêlant leurs mots et leurs paroles: ben oui, il n’y a pas de problèmes.
Moi : c’est génial. On se retrouve ce soir.
Reid qui tapote sur son clavier d’ordinateur : tiens, un mail qui nous indique que nous avons une énième conférence vendredi.
Morgan se dirige vers son bureau pour regarder à son tour son messagerie : effectivement, il semble que nous soyons tous convoqués..ha non, c’est quoi le sujet de cette prise de tête cette fois-ci ? Ils ne peuvent pas nous laisser faire notre job tranquillement.
JJ taquinant Pénélope car la dernière fois cette réunion l’avait mis mal à l’aise : …c’est peut être la suite de « pourquoi le rapprochement entre agent est prohibé ? »
Nous rions suite à cette réflexion.
Reid sérieux : le thème c’est : une nouvelle technique à l’aide du profilage.
Morgan agacé : qu’est-ce qu’ils sont encore allé nous inventer… ?
Emily en regagnant sont bureau : attendons de voir…
Mal à l’aise, je décide de retourner au travail pour ne pas éveiller les soupçons. Je m’éloigne en direction de mon poste accompagné par JJ et Garcia qui elles aussi rejoignent leur bureau.
Arrivée à mon poste de travail, l’émotion est trop grande et je m’effondre sur mon bureau.

La soirée est enfin là. Emily est là avec spencer et moi depuis la fin de son travail. Elle s’applique à dresser la table pendant que moi, devant les fourneaux avec mon tablier, taquine spencer pour qu’il coupe correctement les légumes.
Notre cuisine étant ouverte sur le salon - salle à manger, l’échange de discussions entre nous est très simple.
L’heure de l’arrivée de nos invités arrive. Ils sont tous enchantés d’assister à cette soirée. C’est JJ qui arrive en premier avec William et Henry. Qu’est-ce qu’il peux changer vite se petit bout de chou…et quand je le reverrais, comment sera-t-il à ce moment là ???Est-ce que même je le reverrais un jour ?? Non, il faut que je m’enlève cette idée de la tête, bien sûr que oui je le reverrais, bien sûr que oui je vais revenir…mais me pardonneront-il pour ce mensonge ?
Des éclats de rire, des farces, fusionnent de part et d’autres. Tous semblent heureux d’être ici.
Je dévore chaque instants que je passe avec eux, j’observe attentivement leurs moindre gestes, leurs moindre éclats de voix, comme pour graver en mémoire ces précieux moments, ces derniers moments.
Rossi : qu’est-ce que tu nous à prévu au dîner ce soir ?
Moi pour l’embêter : on va commencer par des cuisses de grenouille, suivi pas des escargots et ensuite nous finirons par du bon fromage français bien fort…
Ils font tous des bruits et des visages de dégoûts suite à mon annonce, mais ils ont tous compris que je plaisantais.
Moi : Je plaisante, en entrée la traditionnelle quiche lorraine accompagnée d’une salade, en plat principale un gratin dauphinois avec un filet de bœuf et en dessert île flottante.
Kévin : ça à l’air bon tout ça, vivement que l’on passe à table
Pénélope lui donne un petit de coude sur la cuisse.
Garcia le fixe : Kévin, tiens toi un peu, on ne dit pas ça quand on est en société
Moi : en société ? t’abuses un peu garcia…
Emily : hé, garcia, je suis là depuis la fin de l’après-midi et je peux te dire que moi aussi j’ai faim, toutes ces odeurs ça m’a ouvert l’appétit…
Reid : on va peux être passer à table alors.
Tout le repas se déroule dans cette ambiance bon enfant. Même hotch ne laisse rien paraître de la tragique réalité. La soirée se fini très tard et tous rentrent chez eux, enchanté….je suis contente.

Le jour fatidique de la révélation est arrivé. J’observe attentivement tous les moindres recoins du bureau, les objets, les personnes qui s’y trouvent, les odeurs, l’atmosphère, les petits dégâts matériels, rien ne m’échappe… je marque à jamais en moi, toutes ces petites choses qui ont fait parti de mon quotidien pendant une année et qui à été l’année la plus merveilleuse de ma vie. La première chose que je fait en arrivant c’est d’aller dans le bureau d’Aaron Hotchner, mais il m’attendait déjà sur le pallier. Il me fait signe de venir le voir quand il me voit arriver. Je lui obéit et vais le voir.
Hotch : assied toi.
J’exécute.
Hotch : tu es prête aujourd’hui.
Moi : Prêtes, pas du tout…mais j’ai pas le choix, c’est aujourd’hui.
Hotch : tu veux le faire maintenant.
Moi : autant se débarrasser de cette corvée au plus vite.
Il se dirige derrière son bureau pour prendre son téléphone.
Hotch : je vais prévenir Strauss que nous allons leur annoncer maintenant.
D’un signe de tête je lui dis que oui, tourmentée, je m’approche de la fenêtre pour regarder ce qui se passe à l’extérieur, comme si je voulais fuir cette pièce et rejoindre le dehors.
Hotch : madame, nous allons leur annoncer la vérité maintenant…très bien.
Il raccroche.
Hotch : elle descend dans une demi-heure.
Moi : est-ce que je peux rester ici en attendant..
Hotch : bien sûr que oui, assied toi en attendant.
Moi : non merci, je préfère rester debout.

Hotch s’approche de moi.
Hotch : ils comprendrons ne te fais pas de souci pour ça.
Moi : vous croyez vraiment.. , rien n’était censé se dérouler comme ça. Non seulement je vais leur annoncer que le les ai leurrer pendant une année et qu’en plus de ça je dois partir maintenant…à leur place je suis pas certaine que je prendrais très bien la chose…
Hotch : fait leur un peu confiance.
Je me retourne face à Aaron .
Moi : je ne veux pas qu’ils croient que j’ai joué avec eux et leurs sentiments en sachant pertinemment qu’un jour ou l’autre j’allais devoir les abandonnée…, je pensais que j’aurais eu le possibilité et le choix de rester…si j’avais su que ça se déroulerait ainsi je n’aurais….
Hotch me fixe dans les yeux d’un regard sombre et me serre très fort sur les épaules.
Hotch : …tu n’aurais pas quoi ?...tu n’aurais pas chercher à apprécier les personnes avec lesquelles tu as travaillé , tu n’aurais pas chercher à les connaître ?…sois honnête envers toi-même, ça ne t’aurais pas été possible..ça ne nous aurait pas été possible..tu sais bien que cette équipe ne fonctionne pas ainsi..tu fréquentes même Reid, tu serais arrivé à dénigrer tes sentiments envers lui pendant tout ce temps si tu avais su comment ça allait se finir ?
Moi : pour ne pas rendre malheureux les gens que j’aime,oui j’en aurais été capable.
Hotch : ne ment pas, je te connais, tes sentiments sont toujours plus forts que ta raison chez toi.
Et je m’effondre en pleurs dans ses bras jusqu’à ce qu’on entende frapper à la porte et que Strauss arrive.

A l’extérieur, le temps passe et ne voyant toujours pas sorti du bureau de hotchner au bout d’une demie heure, les interrogations commencent à se lire sur leur visage. L’arrivée de strauss traversant l’unité et se dirigeant directement vers le bureau de hotch sans pour autant que je n’en ressorte surprend tout le monde. Rossi en sort même de sa salle pour rejoindre Prentiss, Morgan et Reid.
Prentiss s’adressant à Rossi : vous savez ce qu’il se passe ?
Rossi : pas du tout. Reid , céline t’a-t-elle dit quelque chose ?
Reid : absolument rien.
Rossi : attendons de voir.

Strauss pénètre à l’intérieur du bureau de Hotch et me trouve dans les bras de Aaron en train de pleurer. Son arrivée me fait m’arrêter et lever la tête. Mon désarroi, lui coupe toutes paroles, c’est hotch qui entame le premier la conversation.
Hotch : je vais aller chercher l’équipe…
Strauss gênée : nous vous attendons.
Hotch pris sont téléphone pour dire à JJ et Garcia de nous rejoindre maintenant puis, il sort de la pièce et, du pallier, leur fait signe de nous rejoindre dans la salle de réunion. J’essuye mes larmes pour essayer de retrouver visage humain. Strauss ne sait toujours pas comment m’adresser la parole, et nous sortons toutes les 2 du bureau de Hotch pour rejoindre la salle de réunion. Je déambule sur ce pallier tel un zombie, tête basse et entre dans ce cher bureau dans lequel je me dirige encore une fois vers les fenêtres donnant sur l’extérieur tandis que Strauss se dirige vers la table.
Strauss : vous êtes prêtes ?
Moi lui répondant sèchement : non pas vraiment, mais ai-je le choix ?
Tous s’introduisent dans le bureau. L’atmosphère est pesante. Malgré mes efforts, mes yeux sont rouges et je ne peux le leur masquer. Me voyant dans cet état, reid se rapproche de moi.
Reid : mais qu’est-ce qui se passe ?
Moi stoïque, pour ne pas flancher de nouveau : je vais vous expliquer…
La tension est montée d’un cran ce qui se lit sur le visage de tous.
Strauss : asseyez vous, nous avons besoin de vous parler.
Tous regardèrent Hotch, interrogatif. D’un signe de tête il leur demande d’obéir et de s’asseoir.
Reid prend place à mes côtés ainsi que Strauss. Je suis la dernière à m’asseoir, espérant reculer encore un peu l’échéance….quelques secondes de silence…je prend ma respiration pour essayer de mieux faire sortir les mots.
Morgan s’impatiente : bon vous allez nous dire ce qui se passe ?
Strauss : mademoiselle guichard, c’est à vous…
JJ, garcia, Prentiss, Morgan et Rossi s’échangent un regard d’incompréhension, tandis que Reid me fixe : mademoiselle, voilà un mot que jamais Strauss n’utilise pour parler d’un de ses agent..
Rossi s’adressant à strauss : mademoiselle ???
Hotch : céline, est-ce que tu veux que je leur explique ?
Moi : non, c’est à moi de le faire.

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MessageSujet: Re: Totally Reid Team (T.R.T)   Totally Reid Team (T.R.T) - Page 16 Icon_minitimeDim 29 Aoû 2010 - 15:05

Assise, je pose mes bras sur la table, mes mains sont liées entre elles. Je n’arrive à fixer personne en particulier alors mon regard est dans le vague. Je prends mon courage à 2 mains et les premiers mots sortent de ma bouche. Ils sont tous attentifs à ce que je vais leur dire.
Moi : comme vous le savez je viens de France….et on vous a dit que si je suis venu ici c’était pour renforcer votre équipe avec une spécialiste en analyse du comportement enfantin..
Ils ont l’habitude d’analyser les dires des personnes et l’emploi de ces termes fait réagir Morgan qui m’interrompt.
Morgan : ho, ho, comment ça « on vous a dit »…
Hotch élève la voix contre Morgan : Morgan, ça suffit laisse la finir
Déstabilisée par son intervention, je réfugie mon visage entre mes mains et ferme les yeux pour me reprendre.
Moi : Morgan, je suis bien une analyste en comportement enfantin, ça c’est vrai, mais la différence avec vous c’est que je n’ai pas suivi de formation pour le devenir, on m’a recruté parce que depuis toute petite je baigne au milieu des enfants et que j’ai appris sur le tas à communiquer avec eux,…a la base j’ai une formation de comptable pas d’analyste…
Garcia reprenant confiance en l’issu de cette réunion : y’a pas de souci avec ça, tout va bien , moi aussi je n’ai suivi le cursus normal pour intégrer le FBI, c’est eux qui sont venu me chercher.
Moi donnant un coup d’œil à Hotch : ce n’est pas tout Pénélope…ce n’est pas la raison principale pour laqué le on est venu me recruter.
JJ interrogative : y’en a une autre ?
Prentiss : attend qu’est ce que t’essaye de nous dire ?
Moi : en fait on est surtout venu me chercher parce que j’ai étudiée et mise en application une nouvelle technique de perception des choses et ils voulaient savoir si cette méthode pouvait venir renforcer les méthodes d’analyses que vous utilisez déjà.
Reid : la conférence de demain…
Moi : oui c’est la mienne.
Rossi: mais pourquoi ne pas nous l’avoir dit ?
Strauss intervient sur ce domaine qui la concerne : on ne pouvait pas vous mettre dans la confidence, seul l’agent hotchner était habilité à connaître la vérité pour facilité la mission de mademoiselle guichard…
Morgan se lève de sa chaise, les bras sur sa tête et s’adresse à hotch : vous étiez au courant et vous nous avez rien dit, je croyais que vous aviez confiance en nous, et là vous nous mettez sur la touche.
Hotch : Morgan assied toi et laisse-nous le temps de finir nos explications. Vous ne deviez pas influencer céline sur son étude et elle ne devait pas non plus vous influencer à son tour. SI jamais vous aviez été au courant qu’elle testait une nouvelle méthode, ne serait-tu pas aller l’aider ? tu n’aurais pas cherché avec elle ?
Morgan se rassoie plus calme : si, bien sûr que oui.
Hotch continue : et dans le sens inverse, tu n’aurais jamais été tenté d’aller lui demander si elle arrivait à la même conclusion que toi grâce à sa méthode..
Morgan : probablement.
Strauss : alors comprenez notre décision agent Morgan, si toute l’équipe avait été au courant , vous auriez put non seulement fausser les résultats de l’analyse de mademoiselle guichard, mais aussi compromettre vos enquêtes car vous vous seriez reposé sur les analyses de mademoiselle guichard qui jusqu’à présent n’avaient pas prouvé leur fiabilité.
Rossi , classe comme à son habitude : c’est donc qu’elles sont fiables alors ? Elle porte sur quoi cette étude ?
Hotch : oui, on en a eu la confirmation avec la dernière affaire à Phoenix, quand à l’étude céline vous en parlera demain plus en détail lors de sa conférence.
JJ se tournant vers moi, l’air contente de comprendre : c’est pour ça que tu es rentrée toute seule dans la chambre de roger pour pouvoir l’interroger ?
Je lui fais signe que oui.
Prentiss faisant de grands gestes pour s’adresser à toute l’assemblée : bon, d’accord c’est assez déstabilisant comme révélation, mais il n’y a pas mort d’hommes.
A la vue de l’expression ennuyée de mon visage, même Pénélope qui n’est pourtant pas une analyste du comportement comprend très bien que ce n’est pas fini.
Garcia : Quoi ce n’est pas tout, il y a encore autre chose ?
Moi : malheureusement oui garcia…mon étude est dorénavant terminée.
Garcia paniquée et en bégayant : et alors…je ne vois pas où est le problème…ta méthode es une réussite…tu vas continuer à travailler avec nous, n’est ce pas madame Strauss ?
L’expression de mon faciès fait vite comprendre que ce n’est pas le cas.
Strauss : malheureusement non.
Un mouvement de panique se fait sentir.
Strauss : mademoiselle guichard n’a jamais travaillé pour nous.
Garcia : mais comment ça… ?
Strauss se tourne vers moi : voulez vous continuer à leur dire ?
Moi : oui c’est à moi de le faire.
J’attrape la main de Reid, car la suite ne va pas être simple à entendre pour lui.
Moi : …je travaille pour Interpol.
Ruée général dans le bureau, tous s’exclament, ont des mouvements d’incompréhension.
Moi : ….des recherches comme la mienne ont déjà été porté aux Etats Unis mais dans d’autres domaine. Interpol voulait savoir si elle était vraiment crédible a et en France nous ne sommes pas encore assez ouverts pour l’accepter, c’est pour ça qu’ils m’ont demandé de venir la faire sur le continent américain et qu’ils ont demandé la collaboration au FBI…
Ils viennent de comprendre quelle conséquence cela engendrait.
JJ : tu travailles pour Interpol et ton étude est fini, ça veux dire que…
une larme m’échappe.
Spencer retire sa main de la mienne et la met sous la table.
Moi : c’est exactement ça JJ…je dois retourner en France…mais je vous assure que ça ne devait pas se passer comme ça…je pensais pouvoir rester…
Hotch observe déconcerté son équipe volé en éclat : Morgan se lève et frappe contre le mur, garcia commence à pleurer, JJ et prentiss se regardent mutuellement, Rossi s’est replié dans ses pensées….et Reid se lève de la table et part sauvagement salle de réunion.
Je me lève à mon tour, me précipite vers l’entrée de la porte tout en pleurant et en essayant de le retenir.
Moi : Reid…Reid…ne pars pas…attends….laisse moi t’expliquer.
Mais c’est trop tard, Reid s’éloigne sans même se retourner, prend son sac et s’en vas. Je n’ai même plus la force de le suivre, je suis appuyer sur la porte d’entrée, anéantie.
Strauss s’adressant à moi : restez ici, nous allons bientôt partir pour aller chercher vos supérieurs…
JJ s’approche tendrement de moi et me prend par les épaules comme une mère : quand dois tu repartir ?
Moi, me retournant face à elle : dans 3 jours seulement…mais je ne pensais pas devoir partir un jour JJ je te l’assure..autrement...
JJ : je te crois.
Hotch : il faut que vous sachiez que ce n’était pas prévu comme ça. Céline avait un contrat de 3 ans avec Interpol durant lequel elle devait mener à bien son étude, après elle était libre de tout mouvement et nous avions convenu de la garder ou pas avec nous selon si nous étions satisfait ou pas de son travail et si elle s’était bien intégré ou non à notre équipe…c’était à cette condition unique que j’ai acceptée son affection temporaire avec nous et que j’ai accepté de gardé le secret. Malheureusement, Interpol trouve que l’étude est satisfaisante et ont décidé de l’arrêter là au bout d’un an …et il lui reste encore 2 ans de contrat avec interpol.
Garcia : elle ne peut pas démissionner ?
Prentiss : non avec eux je peux te dire que ça ne plaisante pas là-dessus. Ma mère a déjà eu affaire avec eux.
JJ : il n’y a vraiment aucune solution ?
Hotch: même si Interpol, acceptait de la libérer de ses engagements, son visa arrive à expiration samedi…
Rossi : elle pourrait rester travailler avec nous, elle a prouvé son efficacité mainte et mainte fois.
Strauss : c’est une possibilité, mais pas dans l’immédiat, pour l’instant aucun nouveau poste n’a envisagé d’être créer dans votre service.
Prentiss : et dans un autre en attendant …
Moi : ….j’irais même balayer les rues si il le fallait….
Strauss : d’ici samedi, trouve un nouvel emploi et refaire toute la paperasserie pour renouveler votre visa, c’est totalement impossible…
Je me retourne pour regarder de nouveau le couloir que spencer venait d’emprunter et qui était totalement vide de sa présence. Mon cœur est totalement brisé.
L’agitation du début commence à laisser place à l’abattement général de ma tendre équipe.
Hotch essayant de remotiver ses troupes : les membres d’Interpol arrivent tout à l’heure, nous espérons pouvoir trouver tout de même un arrangement avec eux, pour faciliter au plus vite son retour parmi nous.
Strauss : à condition de ne pas créer un incident diplomatique.
Morgan s’énerve après Strauss et nous rejoint JJ et moi : un incident diplomatique ???non mais il faut que vous arrêtiez de vous ficher de la gueule de gens….vous n’avez donc aucun sentiments vous là haut ???....vous arracher des personnes à leurs amis, à leurs familles sous le seul prétexte d’un hypothétique incident diplomatique…vous êtes donc sans cœur.
Hotch : Morgan , ça suffit.
Morgan : avec tout le respect que je vous dois, je suis désolé, mais je ne suis pas d’accord avec vos méthodes de considérer vos employés comme des objets.
Rossi : laisse-leur le temps de discuter avec Interpol avant de t’emballer.
Hotch : je vous promets qu’on faire le maximum.
Morgan s’adressant à moi : hé, mon cœur, écoute moi, file à ton rendez-vous avec tes patrons…trouve leurs les bons arguments pour que tu restes avec nous, concentre toi uniquement là-dessus, moi je m’occupe de te ramener Reid.
Emily : Derek à raison, occupe toi simplement de ça, nous on s’arrange de ramener Reid à la raison.
Je souris.
Moi : D’accord.merci.
Straus : nous devons y aller maintenant, c’est l’heure, nous devons aller les accueillir à l’aéroport, ensuite nous leur ferrons visiter notre base et ensuite nous irons dîner. Demain matin agent Hotchner, je compte sur vous pour être présent avec nous pour leur faire le débriefing de la mission de mademoiselle guichard.
Hotch : je serais là ne vous inquiétez pas.
Tous viennent m’enlacer avant de partir en me souhaitant bon courage.
M’adressant à Morgan : Tu as entendu, je ne serais pas de retour avant ce soir…
Morgan : j’en informerais reid.
Strauss : dites lui également qu’il y a une bonne nouvelle. Vendredi lors du bal de FBI, mademoiselle Guichard sera notre invité d’honneur puisque nous lui remettrons la médaille d’honneur pour bons et loyaux services rendu à la patrie américaine…d’ailleurs il faudra aussi que vous voyez avec les organisateurs de la soirée pour le déroulement de celle-ci.
Moi : si vous saviez comme j’en ai rien à battre de votre médaille…
Et nous voilà parti pour l’aéroport.
Toute la journée, ils essayent de retrouver Reid, mais sans succès. Reid s’est mis au vert et ne répond pas à son téléphone, ni ne revient au travail. Je n’ai qu’une hâte c’est de rentrer chez moi, chez nous, pour pouvoir discuter avec Spencer.
L’heure de revenir à la maison est enfin là. J’introduis la clé dans la serrure. Au moment de poussée la porte pour entrée, j’entends des bruits et aperçoit les lumières tamisées de l’appartement. Je suis contente, Spencer est rentré, Morgan et les autres sont arrivés à le raisonner, je vais pouvoir m’expliquer avec lui. J’entre précipitamment n’en tenant plus. Je pose mes affaires sur le porte manteau de l’entrée et je le cherche des yeux. La télé est allumée dans le salon mais spencer n’est pas dans le canapé. Je m’avance alors jusqu’à la chambre. Il est là…endormi dans notre lit. Je m’approche de lui et le contemple. Il a l’air si paisible…je ne peux pas le réveillé. Je lui passe une main dans ses cheveux, l’embrasse sur la joue et lui dit .
Moi : je t’aime mon amour.
Je me dirige vers la salle de bain pour aller me mettre en chemise de nuit. Je m’assois tranquillement sur le lit. Je m’allonge auprès de lui, lui soulève un bras et vais faufiler mon corps tout contre le sien, laissant son bras envelopper mon dos. Il est là c’est ce qui compte, demain matin avant que je ne m’en aille nous parlerons. Je m’endors ainsi blotti contre lui ?
Le lendemain, un claquement de porte me réveille. J’ouvre les yeux. Spencer n’est pas à côté de moi. Je me lève vais dans le salon et vois que ses affaires n’étaient plus là : il était déjà parti…il était donc toujours fâché après moi. J’essaye de l’appeler mais sans succès son portable est sur messagerie.
Moi lui laissant un message : spencer c’est moi, j’ai besoin de te parler, je t’assure que je ne pensais pas du tout que ça allait ce dérouler comme ça, je t’aime je t’assure, je ne veux pas te perdre, rappel moi.
15/
Je m’habille pour la conférence d’aujourd’hui. Comme le veux notre protocole, je dois me vêtir des vêtements officiels d’Interpol (attention là j’invente tout). Je me retrouve devant la glace de la salle de bain. Je dégrafe le protège habit qui contient mon costume, que j’ai si soigneusement rangé à clés jusqu’à présent dans mon bureau ainsi que toutes mes affaires qui prouvaient mon appartenance à Interpol, pour que jamais Spencer ne puisse tomber dessus. J’enfile la jupe droite bleue marine, ajuste mon chemisier blanc, revêt la veste de tailleur bleue marine. Je me coiffe avec le chignon réglementaire et recouvre ma tête du béret assorti. J’ouvre en dernier une petite boîte. Il me faut quelques instants pour l’ouvrir. Une fois ouverte je contemple quelques minutes sont contenu … : mon insigne d’Interpol. Je la caresse d’un doigt et l’agrafe à ma veste. Je me tiens fixement devant la glace affublé de la sorte.
Un an, un an déjà que j’avais rangé ce costume, un an que j’étais ici, un an que je ne l’avais pas porté. La dernière fois c’était à la descente de l’avion qui m’avait emmené sur le sol américain, juste avant de n’avoir franchi le pas de seuil du FBI…et déjà je devais le revêtir de nouveau. Mon dieu que le temps passe vite, j’aurais tellement aimé n’avoir jamais à le ressortir.
Mais ce n’est pas le pire.
Après être allé chercher mes supérieurs à leur hôtel, j’entre avec eux dans l’immeuble du FBI.
En arrivant dans le bâtiment du FBI, on me donne une nouvelle plaque d’indentification. Je ne rentre plus dans les locaux en tant que « membre du FBI » mais en tant que « VISITEUR », c’est le premier pas vers le retour à mon ancienne vie et le premier pas qui commence à me séparer de la vie que je chérie tant. Cela m’arrache le cœur.
J’arrive à l’étage de la BAU et nous nous dirigeons vers la salle de réunion où nous avons rendez vous avec Hotchner et Strauss pour le débrief de ma mission. En passant devant le bureau central, je vois que tous me collègues et amis sont là, même JJ et Garcia sont présentes et ne tiennent pas à rester seules dans leur bureau en cette heure si cruciale. Tous nous regardent passer , un peu déconcerté par ma tenue d’agent d’Interpol qui rend réel les choses .Ils me font soit un signe de la tête, de la main ou même un sourire pour me dire qu’ils me soutiennent et que ça va aller. Tous sauf Spencer qui me regarde passer comme si c’était une étrangère qui déambulait dans les couloirs, ne laissant retranscrire aucun sentiment.
Nous rentrons dans la salle de réunion.
Pendant ce temps, ils essayent d’expliquer la situation à Reid.
JJ s’adressant à Spencer : tu as vu Céline hier spence ?
Reid d’un ton normal et dégagé : oui, je l’ai vu quand elle est rentrée.
JJ : elle a put tout t’expliquer ? elle t’as dit qu’elle allait décorée pendant le bal de ce soir ?
Reid : non j’ai fait semblant de dormir quand elle est rentrée
Morgan tourne la chaise de Reid sur laquelle il était assi pour qu’il se trouve face à lui : comment ça t’as fait semblant de dormir ?, ce n’est pas le moment de faire l’enfant Reid, elle a des choses importantes à t’expliquer, tu n’es même pas rester à les écouter avec nous hier.
Reid se lève brusquement de sa chaise : je n’ai pas besoin de plus d’explications, elle nous a menti et elle s’est jouée de nous.
Prentiss : ce n’est pas vrai tu ne peux pas dire ça.
Reid s’énerve : et t’appelle ça comment toi ? tu le savais qu’elle travaillait pour Interpol ? Tu le savais qu’elle devait repartir ?
Prentiss : non bien sûr que non…
Reid l’interrompt : nous, non, mais elle oui elle le savait ….elle a agit avec nous en connaissance de tout état de cause.
Garcia : Reid mon trésor, ce n’est pas tout à fait ça.
Reid : stoppe, je ne veux plus rien savoir, le reste ne m’intéresse pas.
Et il s’en va de la pièce centrale.
Morgan commençant à partir derrière lui : Reid, ne soit pas stupide, reviens qu’on t’explique…
Rossi attrape le bras de Morgan pour l’empêcher de le suivre : Ca ne sert à rien pour le moment, il est totalement muré, il est incapable d’entendre ce qu’on à a lui dire, sa douleur est trop grande.
Garcia paniquée : oui, mais on ne peut pas rester là sans rien faire, céline repart bientôt, et ils ne peuvent pas se séparer comme ça.
Rossi : espérons que le temps jouera entre notre faveur et qu’il retrouvera vite sa raison.
Et ils regardent partir Spencer s’isolé à deux pas d’eux, juste au fond de la pièce, en train de se servir un café, tandis que eux sont scotchés aux moindres mouvements et aux moindres sons qui peuvent jaillirent de la salle de réunion ou nous nous trouvons.

Dans le bureau de Hotch, nous sommes assis en rond autour de la table. Strauss et Hotch d’un côté, moi et mon supérieur en face.
Mon supérieur, Mr Creek est le premier à débuter la conversation en entrant.
Mr Creek : Nous allons commencer par nous présenter, je suis Monsieur Creek le directeur d’Interpol.
Strauss : je vous présente l’agent Hotchner, directeur de la BAU, c’est lui qui a pris en charge dans son service mademoiselle guichard pendant son service.
Hotch se décolle de sa chaise pour lui serrer la main.
Hotch : enchanté monsieur.
Creek : de même, et nous vous remercions pour votre collaboration, elle a dû être très fructueuse vu l’avancée rapide de bons résultats de cette mission.
Hotch : ce fut un plaisir pour moi et pour toute mon équipe de pouvoir travailler avec l’agent guichard.
Strauss : oui, mademoiselle guichard s’est très vite intégrée à nos services.
Creek : cette étude est très importante pour nous, elle va nous permettre d’appréhender différemment la psychologie des tueurs en série et nous vous sommes redevables. Grâce à vous, les conclusions auront beaucoup plus de poids que si elles avaient été menées uniquement en France, vous savez nous sommes encore pionnier dans ce domaine, alors que votre pays l’a déjà utilisé dans les services secrets.
Hotchner : vous ne vouliez pas la menée sur 3 ans pour être sûr et certains des résultats ?
Creek : oui c’est ce qui était prévu initialement, mais l’affaire de Roger Smith à Phoenix, le fait qu’elle a été en grande partie avancée et résolue grâce aux savoirs faire de céline guichard, nous a convaincu du bien fondé de cet nouvel outil et nous semblait donc inutile de faire durer cette mission.
Moi : monsieur, j’avais un contrat de 3 ans avec vous…
Creek : ne vous inquiétez pas nous avons encore grandement besoin de vous.
Ces paroles ne me rassurent pas et je regarde Hotch d’un air inquiet.
Creek continue sa phrase : …vous allez apprendre à nos agents à se servir de votre technique.
Moi : monsieur, c’est-à-dire que j’aimerais bien rester ici.
Creek surpris : comment ça ?
Moi : je voudrais rester ici, je me suis créée une nouvelle vie ici et je suis heureuse, je voudrais rester ici.
Strauss enchaînant de suite derrière moi : nous nous proposons même de lui créer un poste d’ici quelques temps.
Creek s’énerve : mais il en est hors de question, vous êtes sous contrat avec nous durant encore 2 ans (il s’adresse à Strauss en se levant) : le FBI ne voudrait quand même pas nous voler un de nos agents quand même ? L’éthique du FBI aurait-elle changé à ce point là à allant jusqu’à risquer de compromettre l’entente entre nos 2 pays ?
Strauss ennuyée : non, bien sûr que non, c’était juste une proposition de notre part, mais nous ne ferions jamais rien sans un accord entre nos 2 agences.
Creek : nous avons beaucoup investi de temps et d’argent sur cette mission, notre agence veut rentabiliser cet investissement (il se tourne vers moi) :3 ans, vous avez signé un contrat de 3 ans et vous nous devez encore 2 ans.
Je me lève et me tiens face à lui en colère : très bien , je démissionne alors.
Creek s’énerve : vous ne pouvez pas, vous n’en avez pas le droit, si vous faites ça, nous vous poursuivrons et vous perdrer tout.
Moi tout aussi : j’ai déjà tout perdu si vous me faites partir d’ici, qu’est-ce que je risque ?
Hotch et Strauss essayent d’intervenir pour calmer le jeu.
Hotch : céline, calme toi, ce n’est pas comme ça que tu arriveras à quelque chose.
Je sorts de la salle de réunion furieuse, en direction de la sortie des bureaux de la BAU, sans que l’on m’en ai donné la permission. Creek me suit furieux. Strauss et Hotchner le suivent. Nous sommes sur le pallier surplombant les bureaux centraux, aux yeux de tous.
Creek en criant : je vous ordonne de vous arrêtez agent guichard.
La colère étant trop grande en moi, je me mets à lui parler en français.
Moi en haussant la voix : vous m’ordonnez quoi ?
Creek continuant à me parler en français : je suis votre supérieur et je vous ordonne de vous arrêtez.
Moi, toujours en français, lui lançant un regard méchant : vous m’ordonnez, voilà ce que j’en fais que vos ordres.
Je m’enlève le berret de la tête, arrache violemment mon insigne d’Interpol de mon chemiser et jette à terre ma veste de blaser .Je piétine le tout, sous les yeux ahuris de tous.
Moi toujours en français : voilà ce que j’en fais de vos ordres, je ne veux pas travailler et recevoir d’ordre de supérieur qui ne considère ses employés que comme des objets set qui n’en ont rien à foutre de leur désir et de leur bonheur.
Creek : je vous interdits de dénigrer Interpol de cette façon là, vous n’avez pas le choix de toute façon, vous nous devez encore 2 années.
De leur côté, mes collègues ne comprennent pas ce qui se passe, d’autant que la conversation se déroule en français.
JJ s’adressant à Prentiss : Emily, tu parles français ?
Prentiss ; j’ai quelque notions, mais sans plus.
Morgan : Est-ce que tu peux essayer de traduire ?
Prentiss : je vais essayer, mais ils sont un tel débit de parole que je ne suis pas sûr d’y arriver
Rossi : je n’ai jamais vu céline dans un état de furiosité pareil
Prentiss : ….a priori il ne veut pas annuler son contrat.
Garcia : oh non s’il vous plait pas ça.
Ils continuent à regarder et à écouter ce que nous disons et Emily essaye de se concentrer pour comprendre ce qu’il se raconte. Cette agitation à eu pour côté positif que Reid , interpellé par ce qu’il se passait, est revenu près des autres .
Moi toujours aussi furieuse en m’approchant de lui en le menaçant :Ok vous voulez jouer à ce petit jeu là avec moi…Ok je vais rentrer avec vous en France et je vais travailler pour vous pendant 2 ans…mais je ne formerais personne, ça je peux vous le jurer.
Creek : vous n’avez pas le droit.
Moi : vous n’avez personne d’autres que moi qui puissent former vos agents à cette nouvelle méthode,…personne d’autres que moi ne sait comment ça fonctionne …oh si pardon, il y a bien d’autres personnes qui sont capables de faire la même chose que moi mais ça vous coûterais cher aussi bien en temps qu’en argent avant qu’elles soient opérationnelle… si je veux je peux très bien rentrer en France et ne rien leur apprendre du tout puisque je suis la seule pour l’instant d’opérationnelle.
Creek furieux et tout rouge : vous ne pouvez pas faire ça, nous vous traînerons devant la cour martiale.
Emily a compris de quoi je parle et la menace que je viens de proférer auprès du directeur d’Interpol.
Emily paniquée se retourne vers les autres : non, ce n’est pas possible, elle est complètement folle.
Garcia : quoi ? qu’est-ce qui se passe ? dis nous vite.
Emily décontenancé par ce qu’elle vient d’entrer : elle vient de les menacer de saborder sa mission.
Rossi estomaqué : elle a fait quoi ?
Emily : et il vient de lui dire qu’il la traînerait devant la cour martial si jamais elle mettait ses menaces à exécution..attendez ils continuent…
Ils arrêtent de poser des questions à Prentiss pour que celle-ci puissent finir de traduire la conversation.
Moi l’air dédaigneux : allez-y, traîner moi devant la cour martial, je n’en ai rien à faire, ma vie sera de toute manière ruiner si vous m’obliger à revenir en France
Prentiss très concentré et fini pas traduire : elle dit qu’elle s’en fou si jamais ils la poursuivent que sa vie est de toute manière ruiner.
Silence de mort, ils se tournent vers Reid qui au vue de son attitude devient moins insensible que tout à l’heure.
Creek fou de colère me saisit violemment le bras pour me faire taire et m’empêcher de partir. Voyant cela, Morgan se précipite vers nous et empêche Creek de lever la main sur moi en l’attrapant net par le poignée.
Morgan fixe creek droit dans les yeux d’un regard sombre : N’y songez même pas..
Hotch en s’avançant vers derek: lâche le morgan…
Morgan lui lâche le poignée mais pas le regard.
Moi m’adressant à strauss et hotchner, dans leur langue cette foi-ci : je vous retrouve dans la salle de conférence dans 30 minutes.
Morgan me ramasse les affaires que j’avais jeté à terre . Je les prends, tourne le dos et m’en vais en direction de la salle de réunion.
Hotch très froid s’adresse à Creek avec un humour très noir, mécontent de la scène qu’il venait de voir : vous avez de drôle de mœurs à Interpol.
Creek réajustant sa veste : c’est une petite effrontée
Hotch : c’est bizarre mais nous ne n’avons jamais eu à nous plaindre de son comportement...
Hotch passe devant Creek pour s’en retourner dans son bureau, le laissant seul avec Strauss.

L’heure de la révélation complète de mon secret est enfin là. Je me trouve debout devant un pupitre et un tableau blanc derrière. Devant moi je contemple des dizaines de chaises vides qui se remplissent peu à peu d’agents appartenant au FBI. Strauss et Creek ne s’installent pas face à moi mais se prennent deux chaises pour s’asseoir sur mon côté gauche. Mon équipe est la dernière à entrer. Elle s’assoit au fond, comme pour ne pas me troubler dans mon élocution. Leurs visages et leurs sourires me procurent un immense réconfort….à part celui de Reid, qui se plaçant à l’extrémité droite de la pièce, montre qu’il est toujours fermé à mon égard. Pour autant, Reid semble être avec nous cette fois-ci et enclin à écouter ce que j’allais dire.
Moi devant le pupitre : messieurs dames, bonjour, je me présente je suis l’agent céline guichard et comme la plupart d’entre vous le savez je viens de France.
Je prends une grande respiration, je me retourne vers Hotch, celui-ci me fait signe que c’est bien, de continuer.
Moi reprenant : Par contre ce que vous ne savez pas c’est que j’appartiens à Interpol.
Un silence se fait sentir dans la salle. Je reprends très vite mon discours pour ne pas laisser s’installer plus le malaise.
Moi : Si je suis venue de France pour travailler ici, c’est que certes je suis spécialiste en analyse des comportements enfantins mais surtout, nos 2 agences m’ont chargé d’une mission celle d’étudier une nouvelle méthode pouvant aider au profilage de criminels.
Un agent lève la main : on peut savoir laquelle ? On les connait déjà toutes ?
Moi : non je ne pense pas que vous connaissiez celle-là. Avant de vous l’exposer, vous trouverez devant vous un bout de papier avec un crayon et une enveloppe. Je vous demanderais de bien vouloir tous y dessiner quelque chose, un objet ou autre…ne me faites pas de l’art, dessinez moi juste l’aspect général de l’objet.
Etonnés mais disciplinés ils s’exécutent.
Moi pendant qu’ils dessinent : une fois que vous aurez fini votre dessin, je vous remercie de bien vouloir l’insérer dans l’enveloppe et de la cacheter et de bien vouloir déposer votre enveloppe dans le panier que Mme Strauss a en sa possession.
La chose étant faite, je reprends ma conférence.
Moi :après seulement 1 an d’étude (je fais une grimace laissant comprendre à ceux qui mes connaissent que ça ne plaisait pas), nous sommes arrivés à la conclusion qu’une nouvelle méthode de profilage pouvait s’avérer utile, que la parapsychologie pouvait nous être utile pour rechercher les criminels.
Un agent : qu’est-que c’est ?
Du fond de la salle une voix jailli, c’est Reid qui répond à la question à ma place : c’est l’étude et le développement des sensations extra-sensorielles et intuitives.
Moi regardant Reid, paralysée par son intervention, lui qui depuis 24 heures ne voulait pas m’adresser la parole : c’est exactement ça, merci Reid.
Un autre agent : en clair ?
Moi : La parapsychologie englobe tout ce qui est psychométrie, clair audience, clairvoyance et télépathie.
Un agent : Ok la télépathie on sait ce que c’est mais le reste ?
Moi : c’est la faculté de raconter l’histoire d’un objet, à partir de sont toucher ou de celui de tout autres éléments ayant été en contact avec un objet.
Un agent : c’est de la voyance.
Moi : non pas du tout, je ne suis pas voyante du tout, je ne possède aucun don. C’est juste une méthode intuitive afin d’obtenir des informations inaccessibles aux voix rationnelles : c’est ressentir. Nos méthodes d’actions actuelles ne sont-elles pas elles aussi déjà basées sur notre intuition ? Sauf que là ,à part de faire de l’intuition grâce à des choses concrètes, nous sommes plus basés sur du ressenti des choses, des personnes , mais n’avez-vous jamais eu l’impression que quelqu’un vous mentait sans jamais en avoir vraiment la preuve concrète ?
Un broua dans l’assistance se lève, pour m’indiquer que tous avait au moins une fois ressenti cela durant une enquête.
Moi : c’est exactement ça la parapsychologie, et la poussant un peu plus loin, elle peut parfois nous être très utile pour nos enquêtes.
Un agent : qu’est-ce qu’il nous le prouve que ça marche ? qu’est-ce qu’il nous le prouve que ça peut nous aider ?
Moi : je m’attendais à cette question. Vous avez tous entendu parler de notre dernière affaire de kidnapping à Phoenix ?
L’assemblée : oui.
Je me retourne vers Hotchner : agent Hotchner, pouvez vous s’il vous plait, leurs exposés les faits, l’avancé de l’enquête avant que je ne me serve de la parapsychologie ?
Hotch prend la parole : L’enquête était au point mort, nous n’avions pas le plus petit indice pour dresser un profil, rien sur les lieux d’enlèvements, rien sur l’enfant retrouvé, aucune corrélation entre tous les individus enlevés. Nous allions être obligés d’attendre une prochaine victime en espérant que cette fois-ci nous aurions un début de quelque chose.
Moi : merci monsieur. C’est là-dessus que l’agent Hotchner m’a fait appeler pour essayer de voir si je pouvais faire avancer l’enquête grâce à cette nouvelle méthode. Elle était encore au point de l’étude, rien n’était concret mais il fallait essayer de trouver quelque chose et on ne risquait rien à essayer, et ça a marché.
Un agent : comment ? Par quel moyen ?
Moi : En l’occurrence pour cette affaire je me suis servi de la télépathie. Je me suis isoler avec notre seule témoin mais qui était prostré et ne disait et ne faisait absolument rien depuis que nous l’avions retrouvé et qui ne pouvait pas être interrogé par les méthodes traditionnelles. Je me suis isoler seule avec lui, je lui ai pris la main et j’ai essayé de communiquer avec ses pensées, ses émotions, ses sensations.
U n agent : le résultat ?
Moi :le résultat..JJ tu était présente avec nous, peux tu leur dire ce qui s’est passé quand je suis sortie de la chambre de Roger.
JJ se lève : elle était gelée, et nous a dit que si Roger ne voulait pas revenir parmi nous c’est qu’il avait peur de revoir son ravisseur..mais elle était surtout gelée.
Moi toujours parlant à JJ : et on a retrouvé les enfants où donc ?
JJ : dans une patinoire…
De nouveau un broua d’étonnement se fait sentir dans la salle.
Un agent : qu’est-ce qui nous prouve que ça peut marcher à chaque coup, c’est peut être de la chance que vous avez eu ?
Moi : oui tout à fait, la parapsychologie n’est pas une science exacte et comme le vient de vous le dire l’agent Jarreau, sur l’affaire de Phoenix la télépathie elle ne m’a pas permis de déterminer le lieu exact. Je ne suis pas ressorti de la chambre est disant « les enfants sont dans une patinoire », non loin de là, la télépathie nous a juste aidé sur cette affaire à dégager une tendance, une base de départ…après c’est grâce à mes coéquipiers et leurs savoirs faire que nous sommes arrivé à faire le rapprochement avec la patinoire. Seule, la parapsychologie, ne nous serait pas d’une grande utilité. Elle peut nous être d’un grand secours, pour avoir un point de départ ou confirmer ou infirmer des hypothèses, mais seule elle nous est inutile, voilà ma conclusion, mais je me doutais que vous alliez être septique, c’est pour ça que je vous ai demandé de faire un dessin et de le cacheter.
Je m’approche de Strauss pour lui prendre le panier qui contient les enveloppes.
Moi : je vais prendre une enveloppe au hasard et je vais essayer de deviner ce qu’elle contient. Je ne vais certainement pas être capable de vous dire de quel objet il s’agit exactement mais je vais essayer de vous dégager les grandes lignes de ce dessin. Pour cela, j’aurais besoin de quelques minutes de concentration et je vous demanderais le plus grand silence.
Je tire une enveloppe au hasard, la serre et la frotte entre mes deux mains. Je ferme les yeux et me concentre.
Après 3 minutes je commence à parler.
Moi : je vois une figure ronde….mais le rond n’est pas parfait..il rentre à l’intérieur à un moment donné.(je m’arrête quelque instant)…il y a un trait droit aussi , non il n’est pas droit il fait des zigzag comme des lacets…ce dessin me donne la sensation de souffrance.
Je reviens à moi et rouvre les yeux.
Moi : voilà c’est tout ce que je suis arrivé à voir.
Je m’avance vers l’assemblée et donne l’enveloppe à la première personne qui se trouve devant moi.
Moi : vous voulez bien ouvrir cette enveloppe et nous montrer ce qu’elle contient s’il vous plait ?
La personne s’exécute, elle décachète l’enveloppe, se lève, se tourne face à l’assistance, lève le dessin en l’air pour le montrer à tous.
Cette personne : on dirait un cœur brisé.
Stupéfaction générale, je n’étais pas trop loin de la vérité : le rond pas parfait qui rentre à l’intérieur, c’est la forme du cœur, le trait en zigzaz c’est la fêlure de ce cœur…et m’a sensation de souffrance : il représente l’amour perdu.
Moi : comme vous pouvez le constater ça marche, en me servant de la parapsychologie je suis parvenue à dégager une tendance.. et je finirai ma conférence en vous disant que ça tout le monde peut être capable de le faire, ce n’est pas un don que je possède. Merci messieurs dames pour votre attention.
La foule commence à se lever quand je reprends la parole.
Moi : juste un instant s’il vous plait, pourrai-je savoir qui a fait ce dessin.
Une main se lève dans l’assistance, celle de Reid. Voilà pourquoi je ressentais tant de souffrance en tenant ce dessin, et comme le hasard fait bien les choses.
JJ ; Prentiss, Garcia, Morgan, Rossi, Hotch, Strauss et Creek se tournent vers Reid et le regarde. Ils ont compris le dur message que celui-ci venait de me faire passer : il est malheureux et anéanti.
Creek s’adressant à Hotchner et Strauss, sentant le malaise ambiant de cette découverte : quel est ce garçon ?
Hotch un peu énervé : c’est le fiancé de l’agent guichard.
Creek est confus et stoppe là la conversation, tandis que Hotchner se dirige pour aller rejoindre son équipe au fond et que moi aussi je m’avance pour aller les rejoindre ou tout du moins pour aller rejoindre Spencer, sans quitter mon regard de sur spencer. Mais me voyant arriver, et n’acceptant à priori toujours pas la vérité, Spencer part de la pièce.
Je n’ai même pas le temps d’arriver jusqu’à eux que je me fais monopoliser par Creek et Strauss, pour poursuivre le programme de notre agenda du jour. Et Reid s’en va encore une fois sans que nous n’ayons pu encore discuter.

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