Ca aura prit du temps, (ne m'obligez pas à compter les jours s'il vous plait xD), j'aurais affronter des tempêtes! des ouragans! des séismes! des python! une girafe! Yoshi!
biensur, je suis entrain de raconter n'importe quoi! Ma vie n'est pas aussi mouvementée! J'ai juste passé mon BAC ... et je l'ai eut! J'en aurais bavé cette année, mais j'en ai rien à faire! Le lycée est désormais terminé!
Bref, j'ai réussi à écrire un chapitre
Chapitre 4 :‘Comment vous vous appelez ?’La question était sortit après quelques minutes pendant lesquelles Emily avait essayé de se calmer. La situation dans laquelle elle était ne présageait rien de bon. Ses chevilles lui faisaient horriblement mal, tout comme sa tête, dont la douleur ne cessait d’empirer avec l’afflux de sang qui se donnait rendez-vous dans son crâne. Jamais elle n’aurait pu imaginer se retrouver comme cela, même dans ses pires cauchemars.
Maintenant, elle regardait sa ‘colocataire’. Celle-ci semblait plutôt calme, elle ne devait pas avoir plus de 35ans. Elle avait du sang sur la tempe et aux chevilles. Ses jambes en elles-mêmes ne semblaient pas blessées mais le reste de son corps était caché par les jambes qu’elle avait ramenées contre sa poitrine. Elle ne regardait pas Emily, elle se contentait juste de fixer un hublot, sur sa droite. Emily pouvais facilement lire la peur sur son visage malgré son calme, tout comme des millions de gens qui se seraient retrouvés dans sa situation.
Elle tourna la tête vers Emily lorsque celle-ci parla :
‘Comment vous vous appelez ?’, elle lui répondit par une autre question :
‘Vous ?’ Emily n’aimait pas qu’on lui réponde par une autre question, elle trouvait ça simplement idiot. Ce n’était pas une personne qui faisait peur en temps normal, on pouvait facilement lui faire confiance mais la méfiance des gens ne cessait jamais. Même pour des questions sans grande importance, il fallait d’abord donner quelque chose sur vous, n’importe quoi, juste quelque chose pour établir la confiance.
Bien que ces conditions laissent une grande place à la méfiance, une personne pendue par les chevilles ne pouvait pas faire de mal. La personne la plus vulnérable à cet instant restait Emily, tout de même.
Elle resta pourtant calme, ne rétorqua rien à l’encontre de cette femme. Elle ferma les yeux, prit une grande inspiration, bloqua l’air dans ses poumons pour oublier quelques secondes sa douleur puis recracha cet air avant d’ouvrir les yeux et de regarder la femme aux cheveux d’un blond très clair mais où du sang séché se faisait voir au niveau de la tempe.
‘Emily, je m’appelle Emily’, c’est tout ce qu’elle allait lui dire sur elle et c’est tout ce qu’elle avait besoin de savoir.
‘Jessie’Emily avait refermé les yeux. C’est tout ce qu’elle avait besoin pour être sûr. Elle l’avait reconnu avant même qu’elle ne lui dise son prénom. Malgré la fatigue, Emily avait reconnu la dernière victime de leur dernière affaire. Et elle venait d’avoir la confirmation qu’elle était bien dans la merde.
Elle rouvrit une nouvelle fois les yeux mais pour regarder autour d’elle cette fois ci. Excepté la petite flaque de sang juste en dessous d’elle, le sol semblait blanc, du carrelage probablement. Elle fit un effort pour regarda plus haut et elle vit une table en bois, marron à première vue, à environ trois mètres d’elle, selon ses estimations. Elle n’arriva pas à distinguer ce qu’il y avait de poser sur la table alors elle continua à examiner le reste de la pièce. A la gauche de la table, accroché au mur, des tournevis, des marteaux, deux scies, un pistolet à clou, une hache… tout ce qu’un bricoleur aurait besoin. Et pourtant, Emily eut comme le pressentiment que ces outils n’étaient pas souvent utilisés pour réparer ou bricoler.
Elle ferma une nouvelle fois les yeux, et recommença son rituel. Quand elle ouvrit les yeux, elle regarda à droite de la table : la femme était assise contre le mur, sa cheville gauche était attachée à un bloc de pierre, par une chaine qui semblait s’étaler sur un voire deux mètres. ‘Ça ne lui laisse que très peu de liberté, et pas assez pour attraper ce qu’il y a sur la table ’. Derrière la table, elle pouvait voir les premières marches de l’escalier qui menait au reste de la maison.
Il ne semblait rien avoir derrière Emily à part un espace qui la séparait du mur, la quantité d’espace était difficile à juger : dès qu’elle essayait de bouger la douleur dans ses chevilles traversait tout son corps et lui rappelait qu’elle n’était ni en position, ni en état de chercher une solution pour se libérer et encore moins d’agir.
Elle ferma alors les yeux et relâcha ses muscles le plus possible. Peut-être qu’un petit somme ne lui ferait pas de mal.
**
‘Garcia, tu as trouvé quelque chose sur Mary Stewart ?’ Ils s’étaient retrouvés dans la salle de conférence pour mettre en commun ce qu’ils avaient et donc dresser un profil. Personne n’en parlait mais tous savaient que la vie de leur collègue Emily Prentiss était en danger.
‘Eh bien, j’ai cherché à savoir si un de ses anciens petits amis l’aurait menacé ou aurait mal vécu la rupture et j’ai rien trouvé. Elle ne semble pas non plus avoir d’ennemi, de copine jalouse… Toute sa famille dit qu’elle s’entendait avec toutes les personnes qu’elle connaissait, que les gens l’adoraient, tout comme sa sœur. Personne n’a jamais tenté de lui faire du mal. Elle était dans une association, comme bénévole. Elle aidait les sdf à s’en sortir, elle les écoutait… et bla bla bla, vous connaissez tous la chanson. Pourquoi est-ce que les familles et les amis des victimes disent toujours ça ? Pourquoi ils ne voient jamais le mal chez leurs proches ? C’est à croire que seules les personnes merveilleuses et aimées sont attaquées ! Il faut qu’ils arrêtent ! Il y a forcément quelque chose, ce quelque chose n’est écrit nulle part dans les dossiers ! Donc c’est quelque chose de secret, sa meilleure amie doit bien être au courant ! Sa famille aussi ! Pourquoi ils ne veulent pas nous le dire ? Pourquoi ils ne veulent pas nous aider à retrouver Emily ! Pourq…’ Les larmes lui étaient monté progressivement aux yeux mais elles ne lui avaient pas empêché de s’exprimer. Toutes les personnes présentes dans la pièce l’avaient laissé parler. Pourquoi l’auraient-ils fait cependant ? Elle venait d’exprimer sa peur, son angoisse, ce que tous ressentaient. Ils n’avaient aucun droit de l’en empêcher.
Morgan l’avait prise dans ses bras dès qu’il vit qu’elle ne pouvait plus retenir ses larmes et elle avait complètement craqué à cet instant. Elle pleura dans ses bras tandis que Morgan tentait de la réconforter, en vain. Chaque mot semblait faux dans sa bouche, pourquoi auraient-ils paru vrais dans les oreilles de Garcia ? Il l’emmena dans le couloir, pour être au calme, pour qu’elle puisse se calmer.
Ils baissaient tous les yeux, ils pensaient à leur collègue, à leur ami. Ils s’inquiétaient pour elle. Mais ils devaient la retrouver, ils ne devaient pas baisser les bras, ils devaient continuer à espérer, logiquement ils leur restaient 4 jours. C’est ce que leur avait dit Rossi, le premier à prendre la parole. Il devait les remotiver, il savait que ça ne serait pas facile mais il devait le faire. Il aimait Emily comme si c’était sa propre fille et il voulait à tout prix la revoir, il allait tout faire pour que ça arrive.
‘Ecoutez, je ne sais pas si c’est Mary Stewart qui a déclenché cette crise chez notre homme. Mais il a surement enlevé les deux sœurs pour que Mary assiste à la mort de sa sœur, c’est surement pour ça qu’il en kidnappe une dès qu’une autre est tuée. Il veut qu’elles assistent à la mort de leur prédécesseur.’ Il fit une pause, espérant une réaction. Il n’eut cependant qu’un léger reniflement de la part de Garcia, qui était revenue au bras de Morgan pendant qu’il parlait.
‘C’est un sadique. Et je suis d’accord avec Garcia, les proches de Mary et Amber doivent nous cacher quelque chose. Il aurait pu choisir deux inconnues dans la rue mais il a choisi de prendre deux sœurs’‘Il les connait, ou au moins une des deux.’ Hotch venait de se réveiller, il avait compris où voulait en venir Rossi.
‘On sait qu’elles étaient toutes les deux parties prendre l’air mais ne s’étaient probablement pas séparées. Même avec une arme il n’aurait pas pu les maitriser toutes les deux.’
‘Il n’est peut-être pas tout seul’
‘Si, il l’est. Il n’y a aucun signe qui montre qu’il y aurait plusieurs personnes. Ou alors il est vraiment très charmant et les deux sœurs ont accepté de le suivre.’
‘C’est peu plausible qu’elles aient agit de cette manière. La seule chose qui les aurait poussées à suivre une personne c’est qu’elles le connaissaient. Elles ne se risqueraient pas à un inconnu.'C’était bon, c’était repartit, les esprits c’était remis en marche. La peur était toujours présente mais l’espoir était revenu et ils ne comptaient pas le perdre de nouveau.
‘Rossi et Morgan vous retournez interroger les parents Stewart ; Garcia recherche si il n’y a pas des affaires semblables dans les fichiers ; Reid essaie de comprendre pourquoi il a kidnappé ces personnes ; JJ et moi, on va aller voir les meilleures amies de Mary et Amber.’ **
‘Ne vous endormez pas’‘Et merde !’ ‘Pourquoi pas ?’
‘Vous n’irez pas mieux. Faites-moi confiance, j’ai été à votre place.’
Elle ouvrit alors les yeux et regarda son sang sur le sol. L’odeur lui donnait envie de vomir, elle referma alors les yeux et respira un grand coup avant de les ouvrir et de regarder la femme. Celle-ci la regardait attentivement, prête à lui parler si elle se rendormait à nouveau. Elle allait lui dire quelque chose quand elle entendit une porte s’ouvrir. L’autre femme savait ce que ça voulait dire, Emily s’en doutait. Des pas se firent entendre, il descendait les escaliers. Emily le vit pour la première fois, elle avait du mal à le distinguer, il était encore loin, la table le cacher. Elle pouvait cependant voir son bras gauche. Il tenait un couteau.
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Je m'excuse pour les fautes d'orthographes et ...
La suite l'année prochaine