Dangereuses Représailles (Emily Prentiss)

*Seule réaction pour le moment, revenez plus tard !*

Moi, comparée à NTACvic, j'ai lu cette suite en verticale
J'ai tout bien lu et comme à chaque fois, j'ai été "dedans" Ben moi, bizarrement j'ai aussi une idée du paternel mais serait-ce le même que les autres pensent à savoir : le Père Nowel ?

En tout cas, j'attends avec impatience le chapter 22
Et comme promis et même des petits

Merci beaucoup pour cette suite , les sentiments d' Emily sont très bien expliqués et j’aime bien le faite qu'elle veuille les cacher.
Mon seul regret : on ne connait pas les réactions de Rossi et de Hotch

Sinon je suis toujours Fan donc vivement la suite

Prentiss a écrit:

Merci beaucoup pour cette suite , les sentiments d' Emily sont très bien expliqués et j’aime bien le faite qu'elle veuille les cacher.
Mon seul regret : on ne connait pas les réactions de Rossi et de Hotch

Sinon je suis toujours Fan donc vivement la suite

ça c'est parce que tu n'as pas encore lu le chapitre 22 qui n'est pas encore en ligne ^^

bises à tout le monde

Ce serait plus facile de lire le 22 si MADAME nous le postait

stef hotchner gibson a écrit:

Ce serait plus facile de lire le 22 si MADAME nous le postait

Les idées sont dans ma tête. Steph, laisse mes doigts de fée écrire concrètement ce que tu voudrait lire :) !!!

Prentimily a écrit:

stef hotchner gibson a écrit:

Ce serait plus facile de lire le 22 si MADAME nous le postait

Les idées sont dans ma tête. Steph, laisse mes doigts de fée écrire concrètement ce que tu voudrait lire :) !!!

Tant que tes doigts de fée n'écrivent pas des âneries genre : couettes, bonnet et cruche

stef hotchner gibson a écrit:

Prentimily a écrit:

stef hotchner gibson a écrit:

Ce serait plus facile de lire le 22 si MADAME nous le postait

Les idées sont dans ma tête. Steph, laisse mes doigts de fée écrire concrètement ce que tu voudrait lire :) !!!

Tant que tes doigts de fée n'écrivent pas des âneries genre : couettes, bonnet et cruche

Aucun risque je n'oserait pas une seconde ce sacrilège !

Citation :

ça c'est parce que tu n'as pas encore lu le chapitre 22 qui n'est pas encore en ligne ^^

Tu ne peux pas dire ça et nous laisser mijoter !!!

Prentiss a écrit:

Citation :

ça c'est parce que tu n'as pas encore lu le chapitre 22 qui n'est pas encore en ligne ^^

Tu ne peux pas dire ça et nous laisser mijoter !!!

Rho ba si !!!

Même avec un bouquet de fleurs ?

Prentiss a écrit:

Même avec un bouquet de fleurs ?

Disons que techniquement g encore rien écrit Mdr ^^ j'ai juste tout dans la tête ! Mais ton bouquet de fleurs sera bien récompensé !!!!

Ouais mais son bouquet de fleurs ne vaut pas les pâquerettes de mon jardin, hein ? Regardez comme elles sont belles

Tes paquerettes reste tes paquerettes Steph !

Et ouep, rien ne vaut les pâquerettes de mon garden
Allez, tiens Prentiss, je t'offre aussi des pâquerettes mais faut les mettre tout de suite dans un verre d'eau

Merci Stef
Je t'en offre aussi mais elle ne viennent pas de mon jardin (car je n'ai pas de jardin )

Citation :

Mais ton bouquet de fleurs sera bien récompensé !!!!

Vive les fleurs alors

Y'a pas à dire, on est toutes des jonquilles filles qui s'offrons des fleurs et des pâquerettes....

Vive les jonquilles alors !!!

Vous êtes tout mignon avec vos bouquet de fleurs moi aussi je peut t'en offrir un et aussi une supplication Pour une suite s'il te plaît

Excellente fiction, me tarde vraiment la suite !!
je suis accro

J'aime J'adore

Mes doutes sont donc confirmés.
Pauvre pauvre pauvre Emily sa doit etre dur ! t''es vraiment sadique !!!
J'adore toujours autant !!!!!!! (beaucoup trop meme)

ADDICT ADDICT ADDICT FanFiction !!!!! love <3 <3

Bref, la suite pour quand ?

Emy...Riam a écrit:

J'aime J'adore

Mes doutes sont donc confirmés.
Pauvre pauvre pauvre Emily sa doit etre dur ! t''es vraiment sadique !!!
J'adore toujours autant !!!!!!! (beaucoup trop meme)

ADDICT ADDICT ADDICT FanFiction !!!!! love <3 <3

Bref, la suite pour quand ?

Merci Emy !

La suite dans moins d'une demi heure ! haha !!!!!

yesssssssssssssssssssssss!!!!!!!!!!!!!

Et voici une suite pour vous et pour votre plaisir
Bonne lecture et j'espère que ça vous plaira toujours autant

Chapitre 22

La grossesse d'Emily n'était désormais plus un secret. La nouvelle était arrivé comme un coup de poignard dans le cœur d'Emily. Elle était enceinte, ce n'était pas possible, elle ne s'en remettrait jamais. Au plus profond d'elle même, elle ne pouvait pas croire que la réalité pouvait être si fatal, ne souffrait-elle pas suffisamment pour qu'on rajoute un enfant conçu de temps de tortures. Comment elle pourrait s'en sortir. Cela faisait déjà plus d'une heure qu'elle ne voulait voir personne, elle avait même demandé a son médecin de s'en aller. Jenifer Jarreau avait elle aussi finit par quitter la chambre d'Emily contre son gré. L'agent Prentiss lui avait demandé de sortir, elle voulait être seule. Mais depuis, personne n'avait eu le droit de pénétrer dans son lieu de convalescence. Même pas Derek Morgan. Elle était défaite, sans la moindre réaction, ses larmes n'arrivaient même plus à sortir, elle était repliée dans une léthargie naissante. Pourquoi il fallait qu'il y est un bébé au coeur de cette horreur ? Elle n'en voulait pas, il représentait trop Mings et il la hanterait jusqu'à la fin de ses jours. Ses pensées se tournèrent bien longtemps dans son passé, à l'époque de son adolescence, elle avait à peine 15 ans quand elle tomba enceinte en Italie et avec un ami elle avait eu le courage d'avorter. Elle pouvait faire la même chose aujourd'hui mais elle se sentait complètement perdue et sa grossesse lui sembla irréel. De l'autre côté de la vitre, il n'y avait plus personne mais la respiration d'Emily Prentiss était toujours suspendu dans l'air. Ils étaient tous partis. Elle avait bien trop conscience de les avoir tous rejeté mais l'acceptation de ce qui lui arrivait était impossible, et le fait d'en parler était encore plus impossible.
Un peu plus loin dans le couloir, Derek Morgan avait finit par rejoindre le reste de son équipe. Entre Reid qui n'avait pas dit un mot depuis qu'il était arrivé, Rossi qui faisait mine de trouver des solutions et Hotch qui se rongeait de culpabilité, la tension était palpable. JJ avait finit par leur dire qu'elle avait annoncé à Emily la nouvelle, que cette dernière c'était effondrée. Elle n'était pas parvenue a lui sortir la tête de l'eau et elle avait été contrainte de la quitter, la laissant brisé. Morgan avait aussi essayé de revenir vers Prentiss mais Emily l'avait jeté. JJ n'avait même pas réussi à lui soutirer un seul mot. Aaron Hotchner s'excusa et se détacha du groupe. Il était en colère contre lui même. Il était le chef de cette unité, il avait des responsabilité et il n'avait pas su protéger sa collègue. Et maintenant elle était enceinte du psychopathe qui l'avait torturé et violé pendant des heures. Le visage impassible, resté de glace comme à son habitude, il s'éloigna avec calme. Dans une maitrise qui ne laissa pas l'agent Rossi indifférent. Il savait qu'Hotch culpabilisait et prenait pour lui ce qui arrivait à Emily. Il ne perdit pas de temps à le rejoindre.

- David Rossi : Tu peux me dire pourquoi tu ne me dit pas que tu culpabilise ? Je suis la dernière personne à qui tu pourras cacher ça.
- Aaron Hotchner : Ce qui est arrivé à Prentiss n'aurait jamais du arriver...
- David Rossi : Tu crois qu'on est pas tous malade de la voir dans cet état. Reid a reprit le dilodid depuis deux jours et tu ne t'en ai même pas rendu compte, Morgan ne dors plus, Garcia et JJ sont encore sous le choc. J'ai perdu l'appétit, je suis tellement dégouté qu'une personne aussi formidable qu'Emily ai subit ce qu'elle subit aujourd'hui. Tu crois que parce que tu gardes ton sérieux, tu peux tous nous supporter alors que tu te sens encore plus mal que nous face à Emily. Tu n'es même pas entrée une seule fois dans sa chambre depuis qu'elle est à l'hopital. Pas un seul moment tu as été à son chevet. Tu t'en veux parce que c'est toi qui a prit la décision qu'Emily irait interrogé mings il y a 6 mois. Mais tu ne l'a pas forcé, si elle n'avait pas été capable de le faire, elle te l'aurait dit. Et ce n'est pas toi qui a permis à cet enfoiré de sortir de prison et de nous coincé.
- Aaron Hotchner: Le problème c'est qu'Emily a été la personne qui a déclanché sa haine !
- David Rossi : Mais elle a gagné !
- Aaron Hotchner : A quel prix ? Tu l'as vu aussi bien que moi, elle souffre. Elle est méconnaissable aussi bien phsysiquement que moralement.
- David Rossi : Je crois qu'elle a besoin qu'on l'aide, elle se mur dans le silence, elle ne veut voir personne parce qu'elle ne sait pas comment gérer la situation. Elle a honte alors qu'elle n'a pas a l'être. Il ne faut pas qu'elle sente ce que l'on ressent pour elle. On a du mal à la voir ainsi mais elle sent qu'il y a quelques chose qui ne va pas. Je vais aller lui parler. Et toi tu devrais finir par ouvrir la porte de sa chambre, elle te voit quoi que tu dises et ça la stresse encore plus de ne pas comprendre pourquoi tu n'oses pas entrer.
- Aaron Hotchner : Laisse moi y aller maintenant.
- David Rossi : Emily m'a confié il y a deux ans quelques chose qui pourrait l'aider aujourd'hui. Je voudrais essayer de lui parler.
- Aaron Hotchner : Si tu crois pouvoir la faire réagir un peu alors d'accord. Dis moi quand je pourrais y aller.
- David Rossi : Tu devrais aller prendre l'air un peu, emmène Morgan avec toi. Il a besoin de souffler.

Rossi donna un frappe amicale sur l'épaule d'Aaron Hotchner et retourna près de l'équipe. Il conseilla a Derek Morgan d'aller faire un tour avec Hotch. Déconcerté, il y alla tout de même. Rossi quand a lui se dirigea vers la chambre d'Emily Il laissa alors JJ, Garcia et Reid seul en plein milieu du couloir. Il était déjà presque 13h malgré leur manque d'appétit, JJ invita ses deux collègue à petite brasserie dans la rue en face. Il pourrait alors se changer un peu les idées. De toute manière, ils étaient impuissant face au rejet d'Emily et ils se sentaient vraiment inutile. Rossi les vit quitter l'hôpital. Il était désormais seul dans ce couloir face à la chambre d'Emily. Il ouvrit la porte doucement pour ne pas effrayer la patiente. Comme il s'y attendait, Emily était dans son lit, le regard tournée vers l'autre côté. Elle ne bougeait pas, on aurait dit qu'elle avait vieillit de 10 ans tellement son chagrin était profond. Elle avait la tête baissé. Elle était abattu. Elle n'avait rien dit à l'entrée de l'agent fédéral, elle ne l'avait même pas regardé. Il se demanda si elle avait remarqué sa présence. Il se rapprocha et s'arrêta face au lit, aucune réaction de la part d'Emily. Seul ses lèvres avait remué légèrement, tremblante et hésitante...

- Emily Prentiss : Allez vous en...

Elle semblait sans vie. Rossi n'écouta pas Emily et il s'approcha encore un peu plus près de sa collègue. Il ne s'assit pas non plus, Emily était de plus en plus gêné. Elle se mordit la lèvre pour ne pas pleurer, elle regarda par la fenêtre d'où le soleil passait, elle évita le regard de Rossi. Son déjeuné apporté par une infirmière il y a déjà 45 minutes trainait sur la petit tablette mobile, elle n'y avait absolument pas touché. Elle avait d'ailleurs fait sortir de sa chambre la personne qui c'était proposé de l'aider à se nourrir. Emily n'avait absolument pas aimé cet assistanat. Elle n'y arriverait pas. La seule pensée qui occupait pleinement son esprit était l'envie de se laisser mourir. Elle ne voyait pas comment elle arriverait à remonter la pente. Entre ses blessures physique, sa détresse psychologique et le bébé. Elle coulait, se noyait sans pouvoir se rattraper à quoi que ce soit. La lumière était de plus en plus sombre, elle avait l'impression que bientôt, elle ne verrait plus la moindre lumière. D'ailleurs, on ne voyait plus cette lueur habituelle dans ses yeux. Son corps fut parcourut d'un frisson quand Rossi posa sa main sur son épaule. Elle se tendit fortement, la panique s'empara d'elle, l'angoisse aussi, elle se mit alors à trembloter.

- David Rossi : Calme toi Emily, n'ai pas peur, il n'y a aucun risque ici. Je ne partirais pas de cette chambre. Tu as besoin de parler. Tu nourris ton angoisse a être seule. Je vais m'assoir et rester là. Tu vas m'écouter d'abord.
- Emily Prentiss : Pourquoi ?
- David Rossi : Emily ce qui t'arrive est grave tu le sais, je ne suis pas sur que le répéter soit nécessaire. Mais on peut t'aider.
- Emily Prentiss : Je... j'ai pas besoin d'aide...
- David Rossi regardant le plateau repas intact : Tu devrais manger quelques choses ça te ferais du bien.
- Emily Prentiss : J'ai pas faim...
- David Rossi : Regarde moi Emily. Regarde moi dans les yeux. Ne te laisse pas couler. Tu te souviens de ce que tu m'as confié il y a deux ans ?
- Emily Prentiss relevant la tête timidement : Oui... mais c'est pas pareil...
- David Rossi : c'est peut être différent mais quelqu'un était là, tu n'étais pas toute seule Emily. Quelqu'un t'as aidé, alors laisse nous le faire aujourd'hui.
- Emily Prentiss : C'est... tellement... tellement dur... David, je suis enceinte, comme si... comme si...
- David Rossi posant sa main doucement sur le platre d'Emily a défaut de rencontrer sa peau : Dis moi.
- Emily Prentiss : Comme si... je ne souffrais pas assez... tu ne sais pas ce que j'ai vécu la bas... c'était horrible, je vous ai appelé... il m'a drogué, je ne pouvais pas réagir... il a attendu que... je sois assez mal... en point, mais trop consciente... pour...

Emily fut secoué de sanglots, avouer ce qu'elle avait vécu était insupportable. Elle regardait Rossi avec de grosses larmes qui coulaient le long de ses joues. Elle mordit sa lèvres nerveusement, la conversation qui venait de se mettre en place entre elle et Rossi l'a stressait énormément. Elle devait se calmer. C'était très difficile pour elle. Elle avait lâché le regard de David Rossi. On aurait dit un père qui essayait de comprendre le chagrin de sa fille mais Emily avait beaucoup de mal à se confier. Étant plutôt secrète et renfermé, elle ne savait pas ce que c'était de parler d'elle, de ses problèmes, de sa vie privée. D'ailleurs, elle restait encore mystérieuse sur beaucoup de point pour Derek Morgan. Et elle s'en était toujours voulu de ne pas réussir à s'ouvrir d'avantage aux autres. Et s'était d'autant plus difficile aujourd'hui parce qu'elle était complètement détruite. Mings avait touché son intimité, au plus profond d'elle même. Elle ne se sentait plus femme et encore moins dans son état. En plus le fait de s'être vu lui apportait un dégout d'elle même et une envie de se cacher des autres. Alors imaginer que Rossi la regardait après s'être trouvé si difforme, aussi blessé, affreuse en quelques sorte la rendait malade. Elle sentit la main de Rossi serrer doucement son avant bras pour la réconforter et l'incité à continuer.

- David Rossi : N'ai pas peur de me parler, vas y ça te fera du bien, on trouvera des solutions.
- Emily Prentiss : David...
- David Rossi : Je sais ce qu'il a fait Emily, c'est affreux mais tu réussiras a t'en remettre.
- Emily Prentiss : Comment ? J'ai le sentiment d'être un animal de foire, regarde moi.
- David Rossi : Tu as subit beaucoup de coup, ça fait tout juste trois jours que tu es ici, laisse toi du temps. Mais ne nous rejette pas sous prétexte que tu n'arrives pas à te regarder dans un miroir. Laisse le de côté et tu le reprendra plus tard quand les marques se seront atténué, que les gonflements du aux entailles se seront résorbé.
- Emily Prentiss : Je ne pourrais plus me regarder dans un miroir pas après l'humiliation qu'il m'a faites.
- David Rossi : Tu as quelqu'un qui t'aime Emily, Morgan est prêt à n'importe quoi pour t'aider, il te réapprendra à t'aimer, a avoir une estime de toi. Ne garde pas en mémoire seulement le mal que tu ressens.
- Emily Prentiss : Rossi, M...M... Mings m'a violée..., m'a souillé..., il a logé en moi le malheur, je ne me relèverais jamais. J'aurais du mourir cette nuit là, je veux m'en aller...
- David Rossi : Tu sais ce que tu veux faire pour le bébé ?
- Emily Prentiss : Non... Je suis complètement perdue...

La femme solide qui savait prendre des décisions parfois trop radical était perdue. La situation aurait pu être drôle si elle n'était pas si tragique et grave. Elle n'avait pas pu se retenir de pleurer cette fois ci et Rossi avait le coeur brisé de la voir dans cette état de détresse. En plus de ça, les médecins la shootait au médicaments pour qu'elle supporte la douleur du coup elle n'était pas tout a fait elle même. Ce qui n'était pas bon d'ailleurs compte tenu des drogues qu'on lui avait donné lors de sa captivité. Elle avait peur, c'était visible. Elle en était même terrorisée. Elle continuait de se noyer. Elle aurait pu sauter par la fenêtre du troisième étage si elle avait eu ses jambes pour marcher, où s'électrocuter dans la douche de la petite salle de bain sur la droite. Elle ne pouvait rien faire, elle ne pouvait pas bouger, même ses mains elle ne pouvait pas s'en servir. Elle pouvait se laisser mourir de faim, mais elle savait que personne ne la laisserait faire. Elle finirait par avaler quelques chose et si c'était pas son plateau repas, on lui donnerait par intraveineuse malheureusement... Elle pouvait arracher sa perfusion de morphine et laisser la douleur physique l'envahir, cela lui soulagerait peut être l'esprit. Puis elle pensa a quelques chose : L'avortement. Bien sur, elle savait que ça ne la soulagerait pas mais ça pouvait enlever le bébé et elle se battrait plus que contre son viol. Évidemment, elle n'était pas sur d'elle. Une dernière possibilité vient à elle. Ses collègues pouvaient l'aider à mourir, mais aurait-elle le courage de leur demander, aurait-elle le courage de les rendre malheureux avec cette demande puis elle se dit que jamais personne n'accepterait, qu'il fallait être fou. Elle aurait pu supplié Mings et il aurait abrégé ses souffrances au lieu de résister comme elle l'avait fait. Emily Prentiss se dit que la seule solution dans tout ça pouvait être l'avortement mais elle n'avait plus aucun courage pour subir cette intervention. Elle était trop faible physiquement pour le faire.

- Emily Prentiss : Je... je peux... je peux avorter...
- David Rossi se rapprochant un peu plus près d'Emily pour soutenir cette parole : Tu es sur de ça ?
- Emily Prentiss : Rossi, j'ai tellement peur...
- David Rossi : Tu n'as pas a avoir peur Emily, tout le monde est là pour te soutenir, et si tu veux avorter, on sera là, on ne te laissera pas seule.
- Emily Prentiss : Qu'est ce que je devrais faire ? Je suis blessée au point de ne pas pouvoir bouger, ni utiliser mes mains. Son frère les a bousillés, il voulait que je ne puisse pas avoir toute mes capacités pour me défendre. C'est aussi pour ça qu'il m'a drogué... Je n'avais même pas une chance...
- David Rossi : Tes mains retrouveront une capacité motrice, il faut que tu laisses le temps ressoudé tes os, petit à petit. Tu as parlé de tout ça à Derek ?
- Emily Prentiss : Je ne pourrais jamais...
- David Rossi : Pourtant il est prêt a tout pour toi. Ce n'est plus un secret, il t'aime, on est tous au courant pour vous deux et il ferait n'importe quoi. Il te redonnera confiance en toi, il te réapprendra à t'aimer à retrouver une estime de toi-même.
- Emily Prentiss : Mais... Je n'aurais pas la force de donner naissance et élever l'enfant de mon bourreau.
- David Rossi : Tu as encore le temps Emily, l'avortement peut se faire avant la fin du troisième mois.
- Emily Prentiss : Je sens encore son odeur, il sentait la sueur, la terre fraiche, l'humidité? Il a posé ses mains sur moi – Emily ne regardait plus David Rossi, elle avait les yeux qui vagabondait – il a parcourut mon corps avec ses doigts, mes cuisses, mon ventre. Ses lèvres se sont posées le long de mon cou, mon oreille... ma poitrine. C'était insupportable. J'ai honte... trop honte de ce qu'il m'a fait. Et puis il a finit par aller jusqu'au bout. Je n'avais pas assez force pour le repousser, j'avais tellement mal, je l'ai laisser me toucher, j'ai pas résister suffisamment, je me suis laissée manipuler par Mings.
- David Rossi : Emily, regarde moi, tu as fais ce que tu pouvais, tu n'as pas a avoir honte, tu n 'as pas a te reprocher quoi que ce soit. C'est affreux ce que cet homme t'as fait. C'est lâche de sa part. Mais tu n'y es pour rien.
- Emily Prentiss : Tu veux bien me donner un peu d'eau, s'il te plait.

David Rossi remarqua qu'Emily Prentiss détournait la conversation, elle avait avoué la partie de sa captivité la plus inavouable. Elle avait besoin de boire de l'eau pour ne pas tomber dans les pommes malgré qu'elle soit allongée. Elle ne se sentait pas très bien. Rossi l'aida a se redresser un petit peu, remonta le dossier du lit et il lui donna un peu d'eau dans un verre d'ailleurs il eut une idée pour qu'elle est l'impression de boire seule. Il demanda a une infirmière si elle n'avait pas une paille. Celle ci partit lui en chercher une qu'il mit dans le verre. Il se contenta alors juste de tenir le verre et Emily put boire a son rythme en aspirant le liquide par la paille. L'eau fraiche lui fit du bien mais lui glaça également le sang. Elle avait dormit dans une cave glacé pendant trois jours. Enfin dormit était un grand mot. Elle avait essayé de survivre. Et la pluie glacée qui traversait la porte en tôle était aussi froide que l'eau qui descendait actuellement dans sa gorge. Elle rejeta la paille de sa bouche. Rossi comprit alors qu'elle en avait assez. Le silence enveloppa tout l'espace. Emily ne parlerait pas d'elle même s'était certain. Et le visage triste renfermait des pensées torturées. Qui pouvait savoir a quoi pensait actuellement l'agent Prentiss, ce qui bouillonnait et ne lui donnait plus aucun repos. David Rossi se doutait qu'il devait y avoir une sacrée cacophonie d ans sa tête. Il ne pouvait rien faire sur ce point. Juste lui montrer et surtout lui prouver que tout le monde était la, qu'il la soutenait tous et qu'elle pouvait s'appuyer sur eux. Maintenant il comprenait que parler était une étape mais que ce n'était pas tout. Emily aurait une thérapie intérieur a faire avec elle-même. Personne ne pouvait prendre de décision à sa place, il pouvait la conseiller mais le sujet était tellement sensible, que même un conseil devenait difficile à donner. Une obstétricienne viendrait examiner la patiente maintenant qu'elle était réveillé et au courant de sa grossesse. C'est également ce médecin qui avait effectuer un examen du viol. Emily devait la voir. Elle pourrait se pencher sur la question avec elle, parler peut être librement avec une femme qui connaissait cliniquement ce qui était arrivé. C'était souvent facile de discuter avec un spécialiste. David Rossi le souhaitait. Quelques minutes plus tard, derrière la vitre dans le couloir, Aaron Hotchner revenu de la marche qu'il avait besoin de faire en compagnie de Derek Morgan regardait sa collègue. David Rossi assis sur le fauteuil près de la blessée le remarqua encore hésitant. Il allait l'inciter à entrer. Il se leva doucement rassurant Emily qu'il ne partait pas pour très longtemps. C'est à peine si elle avait réagit. Il ouvrit la porte et la referma sans faire de bruit. Il regardant à travers la vitre de la même manière que le chef du bureau des sciences du comportement et il n'attendit pas pour rompre le silence.

- David Rossi : Va la voir, elle t'a vu et je sais que tu crois le contraire. Elle est blessée, dépressive, défaite mais elle n'a pas changé. Elle est toujours notre Emily. Et elle même si elle regarde de l'autre côté, qu'elle te paraît enfermé sur elle même, elle sait que tu es là. Et elle a besoin qu'on soit là près d'elle. Ne la laisse pas comprendre que tu culpabilise.

Aaron Hotchner ne dit rien, il resta encore à regarder à travers la vitre un bon moment. David Rossi respecta ce choix et ce silence. Mais au bout d'un moment, Aaron Hotchner, quitta sa posture statique et il fit quelques pas vers la petite porte, il posa sa main sur la poignée et il prit une profonde inspiration. Il entra sous le regard stupéfait de Rossi qui laissa un petit sourire au coin apparaître sur son visage. Enfin se dit-il. Il avait franchit le pas et il n'était pas trop tôt. Aaron Hotchner s'assit silencieusement sur le petit fauteuil où David Rossi se tenait quelques temps plus tôt. Emily ne le regardait pas. Elle avait la tête enfoncé sur l'oreiller. Elle ne faisait pas l'effort de se redresser un peu. Elle était fatiguée et ses faiblesse musculaire se faisait sentir. Il fallait qu'elle cesse de vouloir trop en faire compte tenu de son état. Aaron Hotchner remarqua tout comme l'avait faire David Rossi avant lui le plateau repas intact sur la table portative. Elle devait se nourrir. Il refusait qu'elle se laisse aller ainsi. Mais il comprenait tout aussi bien que son état mental l'en empêche. Contrairement à ses autres collègues il ne montra aucun contact physique avec Emily. Elle ne lui en voulait pas elle savait son patron assez distant et renfermé. Peut être même trop strict par moment. Emily ferma les yeux quelques secondes avant de les ouvrir à nouveau. Elle ne savait pas quoi dire à son patron. Elle laissa alors planer l'éternel silence qu'elle nourrissait ici quand on ne lui parlait pas. Elle faisait des efforts pour répondre quand on lui posait des questions mais guère plus. Alors le silence était devenu une atmosphère qu'elle avait apprit à connaître et à apprécier. Elle ne cachait pas qu'une présence familière l'éloignait pour un temps de ses cauchemars mais elle ne l'avait dit à personne. Voir Aaron Hotchner près d'elle, dans sa chambre était important pour elle. Savoir qu'il n'avait pas osé entré jusqu'à présent lui avait fait mal au coeur. Mais il s'était décidé. Elle leva doucement sa main blessée vers lui sans dire un mot. Aaron déconcerté paraissait gauche tout à coup. Il ne lui prit pas la main mais il se contenta d'un contact du bout des doigts.

- Aaron Hotchner : Je suis sincèrement désolé Emily.
- Emily Prentiss : Je n'aurais pas du séduire Elton Mings.
- Aaron Hotchner : C'est moi qui n'aurais jamais du te laisser l'interroger.
- Emily Prentiss : Il me dégoutait pour tout ce qu'il avait fait à ses femmes, je voulais qu'il paye pour ça. Vous savez qu'il m'a fait la même chose. Il vous a envoyé un bouton de ma chemise.
- Aaron Hotchner : Je sais Emily. Ca n'aurait jamais du arriver.
- Emily Prentiss : J'avais confiance, trop peut être.
- Aaron Hotchner : On a été inconscient, j'ai pas su te protéger.
- Emily Prentiss : Vous avez fait ce qu'il fallait...
- Aaron Hotchner : Non
- Emily Prentiss : Ne culpabilisez pas. J'ai toujours aimé travailler dans ce département, il y avait des risques.
- Aaron Hotchner : Mais ce risque là était du suicide et on t'y a conduit.
- Emily Prentiss : Si je vous demandais de m'aider à mourir, vous le feriez. Cette douleur m'est insupportable.
- Aaron Hotchner : Tu peux être heureuse Emily, Derek t'aime.
- Emily Prentiss : Mais je ne suis plus rien, je ne suis plus moi, je n'arriverais pas à aimer, à supporter cet enfant. Je n'arriverais pas à revivre normalement. Il a enlevé cette part d'humanité en moi, il m'a traité comme une esclave, un animal, il m'a maltraité comme on ne pourrait jamais l'imaginer.
- Aaron Hotchner : Quand Haley a été tuer par Foyet, je pensais la même chose, j'avais envie de mourir. De quitter mon travail, mais mon fils m'a aidé. Et heureusement qu'il était là, il a été ma force.
- Emily Prentiss : Et qui serait ma force. L'enfant du malheur ?
- Aaron Hotchner : Derek Morgan, c'est lui qui sera la pour toi au quotidien.
- Emily Prentiss : Non...
- Aaron Hotchner : Pourquoi ?
- Emily Prentiss : Je ne veux pas qu'il sache, je ne veux pas qu'il me voit dans cet état. Je ne veux pas lui imposer l'enfant d'un psychopathe et une femme brisée. Je veux qu'il soit heureux et ça n'arrivera jamais avec moi.
- Aaron Hotchner : Je ne suis pas sur de ça Emily, tu te trompes. Ça lui ai égale que tu sois la plus belle femme du monde, il ne regarde pas tes blessures, il est heureux avec toi, parce que c'est toi qu'il aime. Blessée, brisée et même enceinte. Il te gardera, il ne t'abandonnera pour rien au monde, mais il veut que tu le laisse s'occuper de toi. Il veut t'aider, que tu retrouve une fois de vivre, il veut faire de toi une femme heureuse et atténué tes blessures plus ou moins profonde. Il voudrait que tu ne le rejette pas. Que tu le laisse partager avec toi ce qui arrive aussi grave que ça peut l'être.
- Emily Prentiss : Il t'a dit ça ?
- Aaron Hotchner : Oui, il me l'a dit, il est prêt à tout pour toi. Il n'a jamais été aussi amoureux de quelqu'un.

Emily Prentiss laissa ses larmes l'envahir, elle n'avait jamais autant pleuré que depuis ce qui c'était passé ses derniers jours. Elle savait toute fois qu'elle n'arriverais pas à se confier à Derek pour l'instant. Lui avouer qu'un autre homme l'avait touché jusqu'au plus profond d'elle même contre son gré, C'était inimaginable. Elle avait l'impression malgré tout de l'avoir trahit et cette culpabilité la rongeait. Ses larmes continuait de l'envahir. Elle sentit Aaron Hotchner resserrer doucement le bout de ses doigts pour qu'elle sente qu'elle n'était pas tout de seule dans cette épreuve. Elle n'aimait pas qu'on la voit comme ça, Aaron comprenait qu'elle craque et c'était loin d'être la dernière fois que cela lui arriverait. Emily allait devoir s'armer de patience.

- Aaron Hotchner : Si je t'aidais, tu mangerais quelque chose ? C'est important tu sais. Ça t'aidera à aller mieux et reprendre des forces.
- Emily Prentiss : Je n'ai pas d'appétit.
- Aaron Hotchner : Essaye, au moins un petit peu. Tu verra ça te fera du bien.

Après plusieurs refus mais une ténacité d'Hotchner a ne pas lâcher, Emily accepta de manger quelque chose avec son aide. Accepter de se faire nourrir par son patron n'était pas une mince affaire mais elle fit de son mieux pour se laisser faire même si l'idée était difficile a accepter. Elle ne mangea pas tout évidemment, juste un petit peu et elle dû avouer que cela faisait du bien. Elle le remercia d'avoir insisté. Emily commençait à faiblir, elle ferma les yeux. Aaron Hotchner se leva pour baisser les stores de la chambre, Emily lui avait dit qu'elle avait besoin de se reposer et que le soleil la gênait, la pénombre favoriserait le calme. D'ailleurs l'agent Prentiss ne mit pas longtemps à s'endormir. Le dossier du lit avait été baissé pour qu'elle soit plus confortable. Elle était dans un sommeil agiter mais personne ne pouvait l'aider. Aaron Hotchner resta avec Emily encore un moment avant de d'inciter Derek Morgan a reprendre son chevet. Il savait que l'agent voulait être prêt d'Emily. Il lui en laissa tout le loisir. Derek ne lâcha alors pas une seule seconde ses yeux de la jeune femme.

Dans l'après midi, l'obstétricienne qui avait prit en charge Emily passa la voir, l'agent fédéral était calme dans sa chambre. Elle n'avait cependant rien dit à Derek sur ce qu'elle ressentait et c'était une grande erreur. Elle ne lui avait pas parler du bébé qu'elle portait même si elle savait qu'il était au courant. Elle n'avait absolument pas parler de tout ce qui faisait qu'elle se trouvait dans cette chambre aujourd'hui. Quand la femme en blouse blanche et talon noir entra dans la chambre, Emily Prentiss savait instinctivement et immédiatement qu'il s'agissait de l'obstétricienne dont on lui avait parlé. Elle demanda à Derek s'il pouvait la laisser seule avec son médecin. Elle s'excusa d'abord auprès de lui. Elle ne voulait pas le blesser. Elle lui dit simplement que cela sera plus facile pour elle. Il respectait son choix et lui caressa doucement la joue avant de partir. Elle le suivit des yeux. Il vit qu'elle était mal de l'éloigner. Il lui avoua avant de fermer la porte qu'il ne lui en voulait pas et qu'il voulait qu'elle se sente le mieux possible, qu'il comprenait son choix. Elle se mordit la lèvre. Et d'un seul coup, elle se retrouva seule avec son médecin. Elle était stressé au plus au point, le plus contracter possible. Elle n'arriverait pas à se détendre. L'obstétricienne avait un dossier entre ses mains qu'Emily fixait angoissée.

- Obstétricienne : Bonjour agent Prentiss ! Ça fait plaisir de vous voir enfin parmi nous.
- Emily Prentiss : Merci, mais j'aurais préféré rester dans les ténèbres.
- Obstétricienne : Je vois, vous avez vu le psychologue de l'hôpital ? Il pourrait vous aider avec ce que vous vivez ce serait vivement conseillé.
- Emily Prentiss : Je ne veux pas de psychologue...
- Obstétricienne vérifiant les constantes d'Emily et faisait un tour rapidement sur les produits qui avait été injecté à Emily : Je vois qu'il vous ont mit sous anxiolytique.
- Emily Prentiss : Je n'avais rien demandé.
- Obstétricienne : Vous en avez besoin, faites moi confiance, ça vous aide.
- Emily Prentiss : Vous êtes là pour... pour... - Elle inspira profondément – Vous êtes là pour ma grossesse ?
- Obstétricienne : Oui entre autre et j'ai les résultats de vos examens. Aucun maladie a été découverte suite à votre agression, c'est une bonne chose, vous avez des irritations et des brulures, mais ça reste superficiel, ça se soignera vite. Malheureusement vous garderez des séquelles en vous, et je voulais savoir comment vous le vivez.
- Emily Prentiss : Je veux pas y penser.
- Obstétricienne : Vous dites ça mais vous l'avez en tête constamment. Ce n'est pas la peine de me mentir ou de me ménager. Vous pouvez le faire avec votre ami mais vous n'êtes pas la première victime de viol que je rencontre. Alors soyez honnête avec vous m'aime, vous cachez votre souffrance.
- Emily Prentiss : ça me hante... - Elle laissa planer le silence un long moment – je ressens encore trop tout ce qu'il m'a fait, son odeur, sa peau contre la mienne... ses caresses perverses... Et... et quand... il a essayez de m'étrangler... pour me maitriser... - long silence – j'avais plus de force et j'étais prise d'un dégout tel... Il en a profiter pour m'achever... Il... il... Il a prit... prit...
- Obstétricienne : Doucement, essayez de rester calme.
- Emily Prentiss : Il... il... m'a souillé et il m'a abandonné comme un vulgaire déchet... nu... Et maintenant... il y a un... un... un bébé de tout ça...
- Obstétricienne : Agent Prentiss, vous êtes enceinte de 4 semaines, je ne crois pas que ce bébé soit de cet homme. Votre agression remonte a quelques jours, ça ne colle pas. Vous savez qui pourrait être le père de votre bébé ?
- Emily Prentiss déconcertée : 4 semaines ?
- Obstétricienne : Nous avons refais les analyses deux fois pour être sur qu'il n'y ai pas d'erreur. Vous êtes enceinte depuis un moment maintenant. Il est impossible que votre agresseur est pu vous mettre enceinte étant donné que vous l'étiez déjà.

Emily ne réagissait pas. Elle avait mit son cerveau sur pause. Elle n'arrivait pas a faire le lien, enfait elle n'arrivait pas à comprendre ce que cela signifiait. Elle faisait un blocage. En tant normal, elle aurait comprit sur l'instant. Ce qui se passait la déboussolait. Elle sentit la main de l'obstétricienne se poser sur son bras. Elle espérait que le contact la ferait réagir sur ce qu'elle venait de lui dire. Et cela marcha. Elle réussi a faire revenir le regard de l'agent Prentiss vers elle. Elle réussi a capter son attention.

- Emily Prentiss : Derek Morgan...
- Obstétricienne : Derek Morgan ?
- Emily Prentiss : Le père enfin si c'est vrai, si vous êtes sur que... que... le tueur n'est pas le père.
- Obstétricienne : On en est sur. Ça remonte à un mois déjà. Il s'agit de votre compagnon ?
- Emily hocha la tête : Oui...

Emily voulu qu'on aille chercher l'agent Morgan qu'elle avait demandé à faire sortir 20 minutes plus tôt. Elle le voulait à côté d'elle, elle voulait son soutien. Le brouillard qui avait envahit sa vie se dégagea dans un petit coin de sa tête. Maintenant assumé un bébé dans son état. C'était juste impossible. Comment elle pourrait mener à bien une guérison physique et psychologique en menant de front une grossesse. Elle était tout aussi perdu. Derek allait-il la jeter en apprenant qu'elle était enceinte de lui par peur d'assumer une paternité. L'obstétricienne lisait sur le visage de l'agent Prentiss des sentiments aussi indescriptible les uns des autres. Pour la première fois depuis des jours, elle avait envie de sourire sur ce fait, c'était un petit rayon de soleil sous sa pluie battante. Mais le sourire était trop faible pour se manifester. Alors on ne l'apercevrait pas. Les yeux d'Emily paraissait pour les personnes présente a ses côtés aussi triste qu'il était il y a une heure. Sa guérison serait longue et compliqué.

To Be Continued...