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 Once upon a time ( Elisa di Rivombrosa)

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Lady Rose de Versailles
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Lady Rose de Versailles


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Once upon a time ( Elisa di Rivombrosa) Empty
MessageSujet: Once upon a time ( Elisa di Rivombrosa)   Once upon a time ( Elisa di Rivombrosa) Icon_minitimeSam 22 Déc 2012 - 12:01

Ce n'est sans doute pas bon du tout étant donné que je suis allée dans un mauvais lycée, par ce fait je ne sais pas écrire correctement ( à cause de mon orientation ratée).


ONCE UPON A TIME ( Elisa de Rivombrosa)


Il était une fois, il y a fort longtemps en Italie, un gentilhomme, qui vivait avec sa femme et leur fille Elisa. Ils étaient très heureux, mais un jour la maman tomba très malade et mourut peu après. Le gentilhomme et la petite Elisa furent très malheureux. Quelques années plus tard, il épousa une certaine Vladia en secondes noces. Vladia qui était très hautaine, avait deux filles d'un précédent mariage, l'aînée, Lucrèce qui était assez grande et rousse, était bien jolie. Irena, la cadette était un peu plus âgée qu'Elisa, blonde et plutôt banale, pas vraiment belle. Cette dernière n'avait guère d'esprit et se trouvait être fort peu adroite, elle était incapable de ranger une pile de cinq assiettes dans un buffet sans en casser une ou deux.


Aussitôt après le mariage, Vladia se montra très méchante avec Elisa, ses deux filles étaient toutes aussi cruelles, en particulier Lucrèce. Evidement elles évitaient d'agir ainsi devant leur beau père qui adorait sa fille. Elisa n'osait en parler à son père.


Les années passèrent, Elisa était devenue une magnifique jeune fille, ce qui attisait la jalousie de ses deux belles sœurs qui n'hésitaient pas à l'humilier. Lucrèce et Irena ne s'étaient pas améliorées avec les années, l'aînée devenait de plus en plus hautaine, comme sa mère, la cadette était d'une grande maladresse et n'avait point gagné d'esprit.

Le gentilhomme partait souvent pour de longs voyages dans de lointaines contrées. Durant ce temps, Vladia et ses deux filles chargeaient Elisa des tâches les plus ingrates, tous les jours elle devait faire le ménage de la maison, préparer les repas, aller chercher de l'eau au puits qui se trouvait à l'orée des bois à une demie lieue de leur demeure. Les trois femmes ne lui épargnait rien, en particulier Vladia et Lucrèce. Pour elles, rien n'était assez bien fait, et le plus infime grain de poussière sur les meubles de ces dames, la moindre goutte d'eau sur le sol étaient sources des pires reproches. Elisa payait également pour les erreurs de ses belles sœurs, si Lucrèce abîmait l'une de ses robes après être allée draguer des garçons, c'était parce qu'Elisa avait touché à la robe. Si Irena s'étouffait en mangeant un morceau de tarte ou cassait son verre en le prenant, c'était parce que sa belle soeur avait mal cuisiné et mal rincé le verre. A chaque fois, la pauvre enfant recevait une correction de la part de la cruelle et fière Vladia.


Elisa était vêtue de méchants haillons, ce qui ne l'empêchait pas d'être mille fois plus belle que ses belles sœurs, qui elles, portaient de somptueux vêtements. Lucrèce et Irena dormaient dans de magnifiques lits en bois précieux, dans de vastes chambres parquetées et meublées avec soin. La jeune Elisa, elle couchait dans les cendres près de la cheminée ou alors sur une très inconfortable paillasse dans un sombre grenier.


Alors que la jeune fille travaillait d'arrache pied, ses deux belles sœurs se promenaient et achetaient de luxueux vêtements et bijoux. Elles aimaient également à se regarder dans le miroir, elles passaient des heures à se coiffer et à se maquiller, mais malgré ces artifices, aucunes n'étaient aussi belles qu'Elisa.


Un jour, alors qu'elles étaient à se maquiller, Irena renversa un flacon de vernis à ongle sur sa robe, elle voulut aussitôt le nettoyer, mais en attrapant le produit nettoyant, elle heurta le pot de khôl qui se vida sur sa robe.
" Ho non ! Ma jolie robe ! S'écria t' elle.
- Ce que tu peux être maladroite ma chère Irena ! Cingla Lucrèce.
- Qu'est ce que je vais faire maintenant ? Ma robe est toute tachée.
- Va la porter à Elisa, elle la lavera. Suggéra l'aînée.
- Oh oui ! De toute façon cette fille n'est bonne qu'à ça .
En passant près de la commode, Irena accrocha sa robe dans un tiroir mal fermé, et au lieu de la décrocher avec délicatesse comme l'aurait fait toute personne un temps sois peu sensée, elle tira de toute ses forces sur la robe, ce qui n'eut pour effet que d'agrandir un peu plus l'accroc.
- Oh non ! Ce n'est pas possible! Se lamenta la jeune fille.
Lucrèce observa sa sœur avec un méchant sourire sur les lèvres. La jeune femme se saisit d'une paire de ciseaux et découpa l'un des volants de la robe de sa sœur en lambeaux, elle fit de même à l'une de ses robe.
- Mais pourquoi as-tu fait ça ? Demanda Irena.
- C'est simple, tu vas aller cacher cette paire de ciseaux dans le grenier où dort Elisa, si tu vois où je veux en venir.
- Euh, je ne comprends toujours pas.
Lucrèce fixa sa sœur.
- Tu es vraiment sotte ma pauvre Irena ! Si tu caches cette paire de ciseaux dans le grenier, c'est pour faire accuser Elisa, ainsi mère la corrigera.
- Ah oui, je comprends maintenant.

Les deux cruelles jeune femmes changèrent rapidement de vêtements. Irena alla cacher les ciseaux dans le grenier, pendant ce temps son aînée alla trouver Vladia qui se reposait dans ses appartements.
Vladia regarda sa fille qui semblait désemparée.
- Hé bien ma fille, pourquoi sembles-tu si triste ?
- Un drame terrible est arrivé, l'une de mes plus belles robe est abîmée, l'une des robe d'Irena a subit le même sort. Répondit Lucrèce.
- Je vais aller voir ça.

Elles se rendirent dans la chambre et ne purent que constater les dégâts.
- Je suis sûre que c'est Elisa qui a fait ça, elle est tellement jalouse de nos belles robes. Fit Irena qui venait d'entrer dans la pièce.
- Il n'y a que cette petite peste qui puisse agir ainsi. Répondit la mère.


Elisa frottait le parquet de la salle de festin quand sa belle mère se rua sur elle et lui empoigna les cheveux. La jeune fille se débattit, elle réussit à mordre l'horrible Vladia et à lui échapper, mais hélas celle-ci la rattrapa et l'entraîna dans la chambre d'Irena puis luis montra les vêtements que Lucrèce avait volontairement abîmés.
- Comment as-tu osé faire ça ! Vociféra Vladia.
- Je n'ai rien fait ! Répondit Elisa.
- Petite menteuse! Tu es tellement jalouse de notre beauté et nos beaux vêtements que tu es prête à n'importe quoi. Ajouta Lucrèce.
- C'est la vérité ! Je n'ai rien fait ! Répliqua la jeune fille.
Furieuse, Vladia la prit par le bras et l'emmena dans le grenier. De derrière un sac de farine, elle sortit la paire de ciseaux cachée par Irena.
- Tu peux m'expliquer pourquoi ces ciseaux sont ici ?
- Parce que l'une de vos filles les aura placés ici après avoir volontairement saccagé les robes ! Peut être serait il bon que les gendarmes ouvrent une enquête, ça pourrait s'appeler " L'affaire des robes saccagées".
Vladia lui adressa un regard furieux:
- Quoi ! Tu oses accuser mes innocentes filles ! Hurla la belle mère.
- Je sais très bien que vos odieuses filles en sont capables, elles sont prêtes à tout pour me faire du mal. Vous n'imaginez tout de même pas que j'aurais eu la bêtise de cacher l'arme du crime dans ma chambre si j'avais commis cet acte ! Répliqua vivement Elisa.
- Tu vas te taire! Cria Vladia
- Je pense vraiment que les gendarmes devraient intervenir, ils comprendraient tout de suite que ceci est un coup monté, et les empreintes sur la paire de ciseaux le lui confirmerais.
De plus en plus furieuse, Vladia saisit la jeune fille par le bras et la poussa violemment sur la paillasse.
- Maintenant va cirer le parquet de mes appartements.
La jeune fille s'exécuta, elle aurait tant voulu que son père sois là.


Un jour, on apprit qu'un jeune comte nommé Fabrice Ristori donnait un bal dans sa résidence à Rivombrosa, toutes les jeunes filles de la région étaient conviées. Lucrèce et Irena en étaient toutes excitées, elles voulaient que le comte ne remarque qu'elles. Pour l'occasion, on fit quérir les plus grands couturiers afin qu'ils leur fabriquent les robes les plus somptueuses.

Elisa elle aussi aurait voulu assister au bal, aussi, le jour de la réception, se hasarda t'elle à demander la permission à ses belles sœurs de la laisser les accompagner.
- Lucrèce, Irena, pourrai-je vous accompagner à ce bal ce soir ?
Les deux jeunes femmes la regardèrent puis se mirent à rire.
- Ha ha ha , mais ce bal n'est pas la place d'une vilaine comme toi, c'est pour les gens de qualité uniquement. Répondit Lucrèce en ricanant.
Vladia entra dans la pièce et ajouta.
- Pourquoi Elisa ne nous accompagnerait-elle pas, après tout ?
Irena fixa sa mère l'air hébété.
- Mais tu n'est pas sérieuse, que ferions nous d'une fille comme elle, elle n'est pas si jolie que nous. Répondit Irena.
- J' autorise Elisa à nous accompagner.
Vladia se dirigea vers la cheminée, elle répandit un seau de cendres sur le sol et elle versa un seau plein de grains de maïs dans la cendre. Elle regarda Elisa en ricanant
- Si tu as fini de trier ces graines et fini de nettoyer cette cendre avant la fin de l'après midi, tu pourras nous accompagner.


La jeune fille termina sa tâche bien avant la fin de l'après midi.
- J'ai fini le travail que vous m'avez demandé de faire, donc j'espère que je pourrais vous accompagner au bal.
Lucrèce la fusilla du regard.
- Ha Ha Ha ! Tu ne pensais tout de même pas que nous allions t'emmener au bal !
- Vous me l'aviez promis. Répondit tristement Elisa.
- On se moquerais de nous si nous amenions une Cendrillon avec nous, ce n'est pas là la place d'une domestique, tu resteras ici et tu nettoieras nos chambres, tu cireras les parquets et tu iras chercher de l'eau. conclut Vladia.


Le soir, quand Vladia et ses deux filles furent parties au bal Elisa fouilla dans la maison à la recherche d'une éventuelle robe pour assister au bal, mais hélas les tenues de ses belles sœurs ne lui seyaient point. Elle s'assit près de la cheminée et se mit à pleurer. Elle sentit soudain une main se poser sur son épaule. Elle leva les yeux et aperçut sa marraine Amélie, cette dernière était une fée. Elle et d'autres fées vivaient à quelques lieues d'ici.
- Elisa, pourquoi sembles-tu si triste ?
- Je… je voulais aller à ce bal donné par ce jeune comte, mais ni ma belle mère, ni mes belles sœurs ne m'ont autorisée à les accompagner.
Amélie sourit à Elisa.
- Tu vas aller à ce bal, regarde plutôt dehors.
Elisa regarda par la fenêtre et vit un carrosse doré tiré par six chevaux à la robe de feu.
- C'est le carrosse qui t'emmènera au bal. Expliqua la fée.
Un sourire apparut sur le beau visage de la jeune fille.
- Ho merci Amélie! ….. Mais regarde mes vêtements, comment puis-je espérer aller au bal ainsi vêtue.
D'un coup de baguette magique, elle transforma les haillons en une magnifique robe couleur argent et ornée de fils d'or et de pierreries, les sabots devinrent la plus belle paire de pantoufles de vair que l'on ai jamais vue.
- Amélie, je ne pourrai jamais assez te remercier. Seras-tu présente à cette réception ?
- Non, je ne peux y assister.
- J'aurais vraiment aimé que tu sois là. J'ai un peu peur d'être ridicule, c'est la première fois que j'assiste à un bal.
- Mais non, tu ne seras pas ridicule, ne t'inquiètes pas. Sinon j'ai une dernière recommandation importante à te faire à propos de ce soir, tu devras avoir quitté le bal avant les douze coups de minuit, car à ce moment là, tes vêtements reprendront leur apparence initiale.
- Très bien, je ferais attention. Répondit Elisa.
- Maintenant dépêches-toi de prendre ce carrosse. Conclut la fée.
La jeune fille monta dans le carrosse qui l'emmena au bal.

Pendant ce temps au bal, Lucrèce et Irena essayaient d'attirer le regard des hommes. Elles avaient déjà dansé avec de nombreux hommes, mais tous en avaient été vite lassés. Irena était vraiment très vénale, à tous elle demandait combien ils avaient d'argent, combien était grand leur château, combien ils avaient de domestiques. Quant à Irena, elle les énervait par son manque d'esprit et sa maladresse, en dansant elle avait écrasé les pieds d'un jeune prince, elle avait fait tomber une saucière bouillante sur un autre.

En fait, les deux jeunes femmes ne s'intéressaient pas vraiment à ces hommes, celui qu'elles voulaient était le comte Fabrice. Ce jeune homme était grand musclé et séduisant, brun avec des yeux bleus et un sourire vraiment très craquant, il avait beaucoup de succès auprès de la gent féminine.


Les deux soeurs observaient Fabrice, ce dernier discutait avec ses amis; le docteur Antoine Ceppi et son épouse Anna qui n'était autre que la sœur du comte.
- Je vais aller danser. Dit Irena
La jeune femme blonde remarqua soudain le séduisant prince Alvaro Aguilar le fiancé de la marquise Lily Diamonds, elle se dirigea vers lui.
- Puis je danser avec vous ? Demanda t'elle.
- Volontiers, répondit Alvaro.
Ils dansèrent, plusieurs fois Irena faillit lui écraser les pieds. Au bout de quelques minutes le prince en avait déjà assez de sa partenaire. En dansant la jeune femme heurta un laquais qui portait un lourd plat chargé de plusieurs desserts. Le domestique perdit l'équilibre et le plat se renversa sur le prince et Irena. Alvaro était furieux mais ne le montra pas.
- Je peux peut être vous aider ? Proposa la jeune fille.
- Non merci, je me débrouillerai seul. Répondit le prince.
- Vous en êtes sûr?
- Oui, c'est vrai, j'ai tellement donné de moi même pour me préparer à cette soirée que je suis épuisée. Je vais me reposer quelques minutes et ensuite peut être pourront nous danser à nouveau?
- Je suis désolé, mais j'ai promis à damoiselle Clelia de lui accorder quelques danses. Répondit Alvaro.

Lucrèce observait toujours Fabrice qui discutait avec Anna et Antoine. Lorsque le jeune comte fut seul, elle s'approcha de lui. Elle voulait le séduire, elle savait comment user de ses charmes auprès des hommes.
- M'accorderiez vous cette danse? Demanda Lucrèce.
- Volontiers, Répondit Fabrice.
Après plusieurs danses, la jeune femme décida de passer à l'action;
- J'ai vraiment très chaud, je crois que nous devrions sortir sur le balcon. Proposa t'elle;
- Je trouve que nous sommes très bien ici. Répondit le jeune homme.
L'attitude de Lucrèce ne lui plaisait pas, il n'était pas du tout à l'aise avec cette fille bien qu'elle fusse séduisante, il y avait chez elle quelque chose de néfaste qui ne lui plaisait pas.
Lucrèce n'écouta pas Fabrice, elle l'entraîna dehors. Dès qu'il furent dehors, elle le dragua plus ouvertement, elle commença à lui caresser le visage.
- Mais…. que faite vous????
Elle plaqua Fabrice contre le mur et glissa sa main sous la chemise du jeune homme.
- Je vous en prie, arrêtez cela immédiatement ! C'est inconvenant.
- Je ne vois pas ce qu'il y a d'inconvenant.
Elle tenta de l'embrasser sur la bouche, il se détourna.
- Hey ! Sois pas timide !
- Je vous en supplie ! Arrêtez cela !
- Je te trouve mignon .
- Vous êtes jolie aussi.
- Alors où est le problème ?
- Que voulez-vous réellement? " Questionna le comte

Au même moment, Elisa arriva au château, on fit prévenir Fabrice qu'une belle inconnue venait d'arriver.
Le jeune comte soupira de soulagement, il allait enfin pouvoir échapper à Lucrèce. Il alla accueillir la jeune inconnue. Il l'aida à descendre du carrosse pour l'emmener dans la salle de fête. Fabrice ne pouvait détacher son regard de cette jeune fille aux longs cheveux châtains et aux yeux verts tant il la trouvait belle.

Lorsqu'ils entrèrent dans la salle la musique s'arrêta, tous contemplaient cette jeune fille qu'ils ne connaissaient pas, jamais ils n'avaient vu une aussi belle personne. Lucrèce sentit la jalousie l'envahir lorsqu'elle vit que Fabrice dévorait cette mystérieuse princesse des yeux. Elle ne supportait pas que l'homme qu'elle convoitait puisse en regarder une autre. Ni Vladia ni ses filles n'avaient reconnu Elisa.


Fabrice dansa longuement avec Elisa.
" D'où venez-vous? Demanda t'il.
- Je vis à quelques lieues d'ici.
- Je ne vous avait jamais vue à un bal auparavant.
- C'est la première fois que j'y viens.
- Je suis vraiment heureux que vous soyez venue, sans vous ce bal me semblait bien terne.
- Mais il y a beaucoup de bien belles filles à cette réception.
- Aucune ne vous arrive à la cheville, belle inconnue.
Elisa trouvait également Fabrice très séduisant, il ressemblait exactement au prince de ses rêves.
- Merci Fabrice, vous êtes très beau garçon aussi.
Fabrice et Elisa discutèrent et dansèrent longtemps, quand la jeune femme entendit 11.45 PM sonner, elle salua l'assemblée puis s'en alla.

Quelques heures plus tard, Vladia et ses deux filles rentrèrent du bal. Elisa dont les vêtements avaient repris leur apparence initiale vint leur ouvrir. Lorsqu'elles rentrèrent, elles regardèrent froidement la jeune fille.
- Comment s'est passé le bal? Se hasarda t'elle à demander.
- Ce bal était très bien, et tout le monde n'a cessé d'admirer ma beauté. Répondit froidement Lucrèce.
- Il y avait également cette princesse inconnue, magnifiquement vêtue. Ajouta Irena.
- C'est vrai que cette fille avait de beaux vêtements, mais je suis tellement belle, qu'avec la plus quelconque des robes, tout le monde ne pourrait qu'être subjugué par moi, la plus belle fille du monde. Répliqua l'aînée.
- Si tu étais venue à ce bal tu aurais vu toutes ces personnes, peut êtres pourrais-tu nous accompagner au prochain bal ? Ironisa Vladia.
- Je ne pense pas que ce soit là ma place. Répondit Elisa.
- Ha Ha Ha, c'est vrai, on rirai bien, si l'on te voyais arriver au bal. Ajouta Irena.

Ni Vladia ni ses deux pestes de filles ne se doutaient que la très belle princesse n'était autre qu'Elisa.
Cette nuit là, la jeune fille s'endormit en pensant à Fabrice, elle avait été séduite par lui.

Plus tard, dans la matinée, le jeune comte discutait avec Anna et Antoine.
- Ce bal était vraiment magnifique. Dit Antoine
- Je suis content que ça vous ai plu, j'espère que celui de ce soir vous plaira tout autant.
- Et toi, ça te plairai bien que cette princesse inconnue soit là, n'est ce pas? Demanda Anna.
- Pourquoi me poses-tu cette question?
- J'ai bien remarqué la façon dont tu la regardais, tu semblais très attiré par cette jeune fille.
- Elle est très belle et très gentille.
- Tu ne l'avais jamais vue auparavant?
- Non, et personne ne semblait la connaître.
- Peut être vient elle d'une lointaine contrée. Ajouta Antoine
- Elle m'a dit qu'elle vivait seulement à quelques lieues d'ici. Répondit Fabrice.
- Peut être ne vit elle sur ces terres que depuis peu. En conclut Anna.
- C'est possible, en tout cas, j'espère qu'elle sera là ce soir.
- Toi, tu es amoureux . Fit remarquer Anna.
- C'est cette jeune fille que je veux et je l'aurais.

À ce moment Julien, un ami de Fabrice arriva avec son épouse Marguerite, Martin un garçon d'une dizaine d'année; le fils que Fabrice avait eu d'une liaison de jeunesse, et Emilie la fille qu'Anna avait eu de son précédent mariage avec le marquis Alvise, un homme cruel et débauché mort de la syphillis les précédaient.
- Que se passe t'il ici ? Demanda Martin.
- Rien de particuliers, c'est juste une discussion entre adultes, d'ailleurs Emilie et toi devriez aller jouer dehors, il fait très beau aujourd'hui.
- Mais pourquoi ? On est mieux ici ! Renchérit le garçon.
- Nous devons parler entre adultes , Expliqua son père
- Pffffffff c'est toujours pareil avec les adultes.
Les deux enfants sortirent de la pièce.

- Alors que se passe t'il ? Questionna Julien
- Je pense que mon frère est tombé amoureux. Répondit Anna.
- Anna !
- Qui est l'heureuse élue ? Demanda Julien
- Je t'ai vu discuter et danser avec cette jeune inconnue, tu semblais très heureux. Affirma Anna
- Cette jeune fille est vraiment très jolie, de longs cheveux châtains, des yeux verts, et elle est très gentille. Ajouta le jeune comte.


Julien s'approcha de son ami et posa sa main sur son épaule.
- Félicitations mon cher ami ! À quand le mariage ?
- Julien ! Je connais à peine cette jeune femme !
- Peut être sera t'elle là ce soir. Ajouta Marguerite.
- Je l'espère, j'ai aimé ces quelques moments passés avec elle.

Julien et sa femme prirent congé de Fabrice.



Le soir, Lucrèce et Irena se préparèrent pour aller au bal. Il y avait déjà près de trois heures qu'elles se faisaient coiffer et maquiller. Elles ne manquait pas d'insulter les coiffeuses et maquilleuses quand celles-ci ne faisaient pas ce que ces deux là voulaient. Inutile de préciser que ces deux jeunes femmes changeaient d'avis toutes les cinq minutes en ce qui concernait le maquillage et la coiffure.

Lorsqu'elles furent prêtes, Vladia et ses deux filles partirent pour le bal, laissant Elisa à la maison et n'imaginant pas un instant que celle-ci les y rejoindrait bientôt.

Dès qu'elle fut arrivée, à destination, Lucrèce chercha le comte, elle voulait à nouveau tenter de le séduire, mais ce dernier l'évita, le comportement de la jeune femme la veille ne lui avait pas plût du tout.

Irena s'approcha du jeune comte et demanda à danser avec lui, il accepta volontiers. Comme à son habitude, la jeune femme écrasa les pieds de son partenaire. Elle lui racontait n'importe quoi, mais Fabrice n'écoutait pas, il pensait à cette mystérieuse jeune fille rencontrée la veille, Il l'attendait avec impatience. Une fois de plus, Irena se montra très maladroite, et cette fois cela faillit très mal tourner; en effet, la jeune femme voulut faire une démonstration de danse exotique pour laquelle elle n'était pas douée du tout. En dansant elle accrocha un candélabre qui tomba sur le tapis qui s'enflamma. Fabrice fut bientôt encerclé par les flammes, voyant cela, le prince Alvaro se précipita au secours de son ami.
- Fabrice , est ce que ça va ?
- Oui, merci de m'avoir sauvé.
- Cette fille est une catastrophe, hier elle n'a cessé de m'écraser les pieds et elle a bousculé un laquais qui a vidé son plat de nourriture sur nous.
Alvaro s'aperçut que le jeune homme ne l'écoutait pas et fixait l'entrée de la salle.
- Fabrice , tu es sûr que ça va ?
- Oui, maintenant ça va.
Alvaro aperçut alors la princesse inconnue.
-Je crois que ta fiancée est arrivée.

Le jeune homme se précipita pour accueillir Elisa.
- Je suis heureux que vous soyez venue.
- Je ne pouvais pas manquer l'occasion de vous revoir, j'ai tellement aimé le bal d'hier soir, c'était la plus belle soirée de ma vie.

Toute la soirée Fabrice et Elisa discutèrent et dansèrent, et lorsque minuit moins le quart sonna, la jeune femme s'éclipsa, au grand regret du jeune et séduisant comte. Il essaya en vain de la rattraper.

De bien longues heures plus tard, alors que Vladia et ses filles étaient endormies depuis longtemps, Elisa ne pouvait pas dormir, ses pensées étaient tournées vers Fabrice Ristori, ce dernier lui plaisait de plus en plus, ses grands yeux bleus, sa beauté, son sourire l'avaient séduite. Elle espérait le revoir le lendemain et également passer le reste de sa vie avec lui.


Au même moment dans un château à quelques lieues de là, le jeune comte n'arrivait pas non plus il ne cessait de penser à cette mystérieuse et belle jeune fille dont il était tombé amoureux dès le premier regard. C'était elle la femme qu'il voulait épouser, il en était sûr.


Le lendemain Fabrice retrouva ses amis, Julien, Antoine et Alvaro ainsi que Anna, Marguerite et Lily à l'auberge "Benvenuto".
- Alors tu as revu ta mystérieuse princesse? Demanda Julien.
- Oui, et elle était encore plus magnifique que la veille.
- Luigi, le chef des gardes pense que cette fille est une rebelle ou une espionne qui prépare un attentat, ce soir, il essaiera de l'attraper pendant le feu d'artifice. Dit Anna ( ça me rappelle quelque chose ce truc)
- I hope this Luigi is wrong, Renchérit Lily
- Pfffffff, il raconte n'importe quoi…….. Répondit Fabrice.
- Tu as raison. Lui répondit Anna.
- Tu en as appris un peu plus sur elle? Questionna Antoine
- Non.
- Mais pourquoi ne lui as-tu pas posé de questions ? Demanda Julien.
- Je ne suis pas gendarme pour poser toutes ces questions, et j'avais peur de la froisser, je préférais danser avec elle et discuter de tout et de rien.
- S'est elle encore enfuie précipitamment ? Questionna Julien.
- Oui, et il était minuit moins le quart comme la fois précédente.
- Mais pourquoi quitte t'elle la salle toujours à la même heure ? S'étonna Alvaro.
- Je ne sais pas, mais peut être que sa famille veut qu'elle soit rentrée avant minuit. Répondit le jeune comte.
- I think you're right.
- J'espère qu'elle sera là ce soir, je veux absolument la revoir, et cette fois j'ose espérer qu'elle ne s'enfuira pas.
- J'ai une idée pour que nous puissions la retrouver si toutefois elle s'enfuit encore, je vous l'expliquerai tout à l'heure. Conclut Antoine.


Ce soir là, Elisa était encore plus belle que les fois précédente, sa robe bleue nuit, ornées de fils d'or et de diamants de plusieurs couleurs était magnifique. Fabrice ne voulut danser qu'avec elle. Après quelques danses ils s'isolèrent un peu pour discuter.
- Tu vis avec ta famille ? Demanda le jeune homme.
- Oui, je vis avec mon père ainsi que sa seconde femme et les deux filles de cette dernière. Ma mère est morte de consomption lorsque je n'étais encore qu'une enfant.
Elisa soupira et continua tristement.
- J'aimerais que mon père sois plus souvent là, mais hélas il est souvent parti pour de longs voyages.
Voyant la tristesse d'Elisa, Fabrice la prit dans ses bras et l'embrassa sur la bouche.
- Et toi, comment ça se passe dans ta famille ?
- Mes parents sont morts, je vis seul ici avec mon fils Martin, ma sœur vit à quelques lieues d'ici avec sa fille et son second époux.
À ce moment, le regard de Fabrice se voila de tristesse. Elisa caressa doucement le visage du jeune comte.
- Je suis désolée.


Ils discutèrent pendant un long moment, puis le premier coup de minuit sonna, alors la jeune femme se leva et s'enfuit. Fabrice essaya en vain de la rattraper .
- Attend ! Je ne connais même pas ton nom !
La jeune inconnue avait encore disparu, mais cette fois, suivant l'idée d'Antoine, Fabrice avait fait recouvrir l'escalier avec de la poix, et l'une des pantoufles d'Elisa y était restée collée. Il la ramassa.

Les gardes dirent qu'ils n'avaient vu sortir personne, si ce n'est une jeune fille, certes très jolie mais vêtue de haillons.

Cette nuit là, Elisa rentra à pieds, dans sa poche elle avait la seconde pantoufle de vair, elle la cacha soigneusement dans sa chambre afin que ni sa belle mère ni ses belles sœurs ne la trouvent.

Dès le lendemain, le comte Fabrice Ristori commença à faire essayer la pantoufle aux jeunes filles de la région, les princesses, les marquises, les duchesses, les comtesses, les baronnes, puis au bout d'un mois, il arriva chez Elisa et ses deux belles sœurs. Lucrèce fut la première à essayer la chaussure, mais celle-ci avait un pied trop grand et un talon trop gros, elle eut beau essayer, son pied n'entrait pas dans la chaussure; Irena essaya à son tour, mais son pied était trop large et trop long. C'est alors qu'Elisa entra dans la pièce.
- Peut être pourrai-je essayer cette pantoufle ?
Vladia se gaussa.
- Ha ha ha ha, vous ne pensez tout de même pas que cette miséreuse est votre mystérieuse princesse !
Fa ne tint pas compte des paroles de la cruelle femme et tendit la pantoufle à la jeune femme, celle-ci l'essaya, la chaussure lui allait comme un gant. De sa poche elle sortit la seconde pantoufle et la glissa à son pied. Vladia et ses filles étaient vertes de rage.
- Mais ce n'est pas possible ! Cette fille n'est pas la princesse, si les chaussures lui vont c'est une coïncidence!
- Alors comment expliquez vous que la seconde pantoufle soit en sa possession ? Questionna le jeune comte.
- Parce qu'elle les aura volé ! C'te pauv' fille elle fait n'importe quoi !
Elisa adressa un regard froid à Vladia.
- Ces chaussures m'appartiennent. Clama la jeune fille.
C'est à ce moment qu'apparut la fée Amélie, elle transforma les haillons de la jeune femme en des vêtements encore plus magnifiques que ceux qu'elle portait les fois précédentes. Le comte reconnut la jeune fille dont il était tombé amoureux. Il sortit de la maison pour dire à son domestique de préparer l'attelage car il rentrait à Rivombrosa avec sa fiancée.

Fabrice retourna dans la maison, ce qu'il vit l'horrifia; Vladia tenait Elisa un couteau sous la gorge.
"Lâchez là immédiatement ! Ordonna le jeune homme.
- Jamais ! Je refuse ! Mais j'ai un marché à vous proposer, je laisse Elisa en vie si vous acceptez d'épouser ma fille Lucrèce, et je vous donnerai également de l'argent.
- Comment osez-vous agir ainsi ! Vous êtes monstrueuse !
- Vous n'avez pas le choix , je n'hésiterai pas un instant à la tuer.
Elisa réussit à repousser Vladia et se précipita dans les bras de Fabrice.
C'est alors que la cruelle Vladia se saisit d'un glaive et s'apprêta à occir les deux jeunes gens, ceux-ci reculèrent contre le mur, la belle mère se précipita vivement sur Elisa et la blessa très grièvement. La jeune femme s'écroula dans les bras de son bien-aimé.
- Noooooooooonnnnnnnn " ! Hurla t'il.


A ce moment le gentilhomme rentra de voyage, il vit Elisa blessée dans les bras d'un jeune homme qu'il ne connaissait pas, Lucrèce et Irena riaient, quant à Vladia, elle ricanait en tenant le glaive tâché de sang.

- Comment ai-je pû épouser un monstre tel que toi !
Il se précipita vers Elisa et Fabrice, le jeune homme pleurait.
- Elle ne s'en sortira pas, elle est trop gravement blessée.. Dit Fabrice.
- Ne dites pas une chose pareille ! Il y a de très bons médecins. Répondit le gentilhomme.
- Je le sais… mon beau frère est médecin.
- Ma fille vivra!
- Elle est trop gravement blessée.
- On voit que nous ne connaissez pas ma fille, c'est une battante.
Il prit Fabrice et Elisa dans ses bras.

Vladia s'enfuit, mais les gendarmes la rattrapèrent, elle fut jetée dans une oubliette jusqu'à la fin de ses jours.

Les deux horribles belles sœurs quittèrent la région, Irena finit par épouser un homme aussi stupide qu'elle qui l'abandonna, Lucrèce eu des aventures avec de nombreux hommes, elle tomba malade et devint fort laide.


Antoine sauva Elisa.

Quelques mois après, le mariage des deux jeunes gens fut célébré, ce fut une très belle cérémonie. Le jeune couple eut deux enfants, une fille Agnès et un fils Fabrizio. Le château était tellement grand que chacun des enfants avait ses appartements. Ils vécurent très très longtemps.


Epilogue
Agnès ouvrit doucement les yeux et se rendit compte qu'elle était dans sa chambre chez elle,à Rivombrosa au XVIII ème siècle et non dans un château il y a plusieurs siècles. Auprès de son lit, elle vit le livre de Cendrillon qu'elle avait lu avant de s'endormir, tout ceci n'était qu'un rêve, la fillette âgée de bientôt huit ans descendit au salon où se trouvaient ses parents Elisa et Fabrice qui discutaient avec Martin et Emilie qui devaient s'unir prochainement.
- Agnès ? Mais qu'est ce que tu fais ici ? Demanda Fabrice inquiet.
- Je viens de me réveiller et je voulais vous raconter mon rêve.
- Etait-ce un cauchemar ? Questionna Elisa.
- Non, ce soir j'ai lu Cendrillon et j'en ai rêvé, mais mon rêve était un peu différent du livre.
Elle leur raconta son rêve.
- En voilà d'un bien curieux rêve ! Mais maintenant il est presque onze heures, il faut retourner te coucher.
La fillette embrassa ses parents puis alla se coucher en faisant attention de ne pas réveiller Fabrizio, son petit frère qui avait cinq ans.

Un peu plus tard, Martin et Emilie prirent congés de leurs hôtes.




Elisa et Fabrice allèrent dans leur chambre, un tub les attendait. Le comte enlaça son épouse.
- Je crois que nous devrions nous dépêcher avant que l'eau ne refroidisse, fit remarquer le jeune homme.
Elisa ne répondit rien, elle se contenta d'attirer le jeune homme contre elle, leurs lèvres se rencontrèrent en un long et tendre baiser. Ils se déshabillèrent et entrèrent dans le baquet d'eau tiède. Fabrice caressa doucement la poitrine de la jeune femme.
- Je t'aime! Souffla t'il.
- Moi aussi.
Ils s'enlacèrent et s'embrassèrent avec passion.

Un peu plus tard, ils sortirent du tub et se séchèrent, Le jeune homme prit Elisa dans ses bras et la posa délicatement sur le lit. Il s'allongea à côté d'elle, il commença à la caresser sur tout le corps.
- Tu es si belle, si désirable ma princesse.
Il enfouit son visage dans sa poitrine.
- Mon amour ! Ta peau est si douce, si délicieuse.
Leurs bouches se rencontrèrent en un tendre baiser qui devint de plus en plus fougueux, leurs langues se mêlèrent. Après quelques minutes il l'embrassa sur tout le corps. Il lui écarta les jambes, il lui caressa la hanche, puis l'intérieur des cuisses.
- J'ai envie de toi Elisa. Murmura t'il.
- Moi aussi.
À son tour elle le caressa, ils s'embrassèrent à nouveau. Un long et agréable frisson la fit tressaillir de plaisir, elle se cambra pour mieux accueillir son époux. Elle s'abandonna aux sublimes sensations qui envahissaient son corps et son esprit. Elle répondait à chaque mouvement du corps de son mari, bientôt une vague d'un intense plaisir la submergea. Les deux jeunes gens ne faisaient plus qu'un. Ils firent l'amour plusieurs fois avant de s'endormir.

Fabrice observait Elisa dormir, il était heureux que le destin ait mis cette jeune femme sur son chemin. Il ne parvenait pas à s'imaginer la vie sans elle, il aurait probablement épousé une noble.
Sans Elisa la vie lui semblerait bien ennuyeuse.

Il effleura doucement le visage de la jeune femme, il déposa un doux baiser sur ses lèvres. Elle ouvrit doucement les yeux et sourit lorsqu'elle aperçut le visage de Fabrice.
- Bonjour ma belle.
Pour toute réponse Elisa attira son époux contre elle et ils échangèrent un long baiser. Elle sentit la main du jeune homme caresser son *** et s'introduire dans son intimité. La jeune femme émit un gémissement.
Il l'embrassa sur la poitrine et huma le délicat parfum qu'exhalait sa peau. Ils étaient en parfaite osmose physique et sentimentale.

Il embrassa le corps de d' Elisa, il se saisit de l'un de ses seins avec sa bouche, la jeune femme soupira de plaisir. Il glissa l'une de ses mains entre ses cuisses la caressa, la jeune fille gémis.
- Je te veux maintenant! Susurra t'elle.
Ils firent l'amour encore une fois. Leurs deux corps étaient enfiévrés par une ardente exaltation charnelle et émotionnelle. Les feux de l'amour brûlaient en eux.

Neuf mois plus tard, des jumeaux Julien-Antoine et Lisa vinrent agrandir la famille.


Fin
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MessageSujet: Re: Once upon a time ( Elisa di Rivombrosa)   Once upon a time ( Elisa di Rivombrosa) Icon_minitimeSam 22 Déc 2012 - 12:05

Tu écris bien applaud
Ajoute peut être un peu plus l'aspect sentiments/émotions des personnages et je suis sur que beaucoup de personnes aimeront ce que tu fais . :calin:
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Lady Rose de Versailles
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MessageSujet: Re: Once upon a time ( Elisa di Rivombrosa)   Once upon a time ( Elisa di Rivombrosa) Icon_minitimeLun 4 Mar 2013 - 19:50

Zabou a écrit:
Tu écris bien applaud
Ajoute peut être un peu plus l'aspect sentiments/émotions des personnages et je suis sur que beaucoup de personnes aimeront ce que tu fais . :calin:


Merci, mais comment procéder pour ajouter sur l'aspect sentiments émotions des personnages.
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MessageSujet: Re: Once upon a time ( Elisa di Rivombrosa)   Once upon a time ( Elisa di Rivombrosa) Icon_minitime

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