Folie du cœur

Oui, c'est sûr que la série n'est pas très clémente avec lui. Mais, je l'adore trop pour lui faire du mal.

C'est vrai, j'avais oublié ce détail xD

Et oui, je suis mignonne avec mon chouchou moi !

Voici le chapitre suivant ! Bonne lecture !

A Quantico, dans le bureau de Garcia, l'analyste de l'équipe s'affairait à plusieurs tâches confiées par son supérieur. Elle composa le numéro de son patron, et actionna le haut parleur de son dispositif main libre. Après quelques bips sonores, la voix grave d'Aaron Hotchner résonna :
« Garcia, tu as pu le géocaliser ? »
« Non, Monsieur. Son téléphone doit être éteint. La dernière fois qu'il a émis c'est au domicile de sa mère.  »
« Et ses comptes, ça donne quoi ? »
« Rien, sa dernière transaction date de trois jours, un achat par carte bancaire au supermarché de la ville. Ses courses de la semaine apparemment. Du lait, des œufs, du jus d'orange. Enfin bref, on s'en fiche. Depuis nada, j'ai aucun mouvement. J'ai mis une alerte si jamais ça bouge. »
« Bien, merci Garcia, tiens-nous informés si jamais tu as du nouveau. A 9h, contacte le patron de Carpenter, afin de savoir s'il s'est bien présenté ce matin au travail. »
« Comptez sur moi, Monsieur ! Bye ! »
Un clic retentit, la conversation était maintenant terminée.

A près de 1330 kilomètres de là, Aaron, mobile en main, contacta Rossi, toujours en route vers le domicile de la génitrice de John Carpenter.

« Rossi, tu es arrivé chez la mère du suspect ? »
« Pas encore, mais on y est presque. »
« Reid et toi, faites attention, le tueur risque d'y être. Il n'est pas chez lui et Garcia a géolocalisé son téléphone là bas. On arrive en renfort. »
« Ok, Aaroon. On se voit plus tard. »

Dans le véhicule du BAU, aux côtés de Rossi, une voix, jusque là muette, se manifesta :

«  C'était Hotchner ? » Demanda Spencer.
« Oui, John Carpenter est peut-être chez sa mère. Prépare-toi, gamin. »
Le jeune docteur se contenta d'opiner du chef, et porta inconsciemment sa main frêle à sa ceinture, pour vérifier la présence de son pistolet.

La route de bonne qualité qu'ils avaient emprunté jusqu'à là, se transforma peu à peu en un vulgaire chemin de terre. Ils s'enfonçaient dans un bois épais et ombrageux. Au loin, les deux agents pouvaient apercevoir une jolie maison de style colonial en parement bleu. Au fur et à mesure qu'ils s'approchaient, ils en remarquèrent les colonnes de bois blanc, le porche entourant toute la demeure et les grandes fenêtres à l'étage. Le terrain était bien entretenu, quadrillé par des haies de rosiers bien taillées. L'ensemble ne semblait pas manquer de charme.
Rossi freina puis coupa le moteur, il jeta un bref coup d’œil à son jeune collègue, lui fit un signe de tête, puis ils sortirent du véhicule, armes en main.
Dave poussa le petit portillon de bois blanc, laissant passer Spencer en premier. Une petite allée en dalles grises menait aux trois marches du porche d'entrée. Des jardinières comportant des pensées mauves étaient accrochées aux deux fenêtres du rez de chaussée. Il s'en dégageaient un doux parfum printanier. Près de la porte d'entrée, une causeuse en osier et un petit guéridon de la même matière composait le mobilier de la terrasse.
Reid, couvert par son collègue, frappa à l'entrée.
« John Carpenter, FBI ! Ouvrez la porte ! »
Tout près, une mésange posée sur une branche d'arbre chanta. Ce fut la seule réponse qu'ils purent obtenir. Le calme semblait régner dans l’habitation.
Rossi s'approcha avec précaution à l'un des carreaux afin de scruter l'intérieur. La décoration était soignée et coquette, mais il ne remarqua aucun individu.
« Personne. » Indiqua-t-il à son coéquipier, qui se tenait toujours en alerte devant la porte d'entrée. Ce dernier leva la tête en silence, en direction de l'étage supérieur.
« Il est peut être en haut. » Murmura le jeune homme.
« Et s'il y est, et qu'il est armé, c'est l'endroit parfait d'où nous tirer dessus. » Chuchota presque l'agent le plus âgé.
« On fait quoi ? » Demanda Spencer.
« On ne bouge pas, ne prenons pas de risques inutiles et inconsidérés. On va attendre le reste de l'équipe. Éloigne toi de la porte, on sait jamais.  »
Reid s'exécuta, se rapprochant de son collègue. Au loin, des bruits de moteurs retentirent, brisant le calme bucolique des alentours.
« Ils arrivent. » Fit remarquer calmement David.
Quelque instant plus tard, un SUV noir suivi d'une voiture de police apparurent sur le petit chemin de terre. A leur passage, les véhicules soulevaient des nuages de poussières, venant salir les carrosseries leurs carrosseries.

Bientôt l'équipe fut réunie, hormis Garcia, restée à Quantico. Le Marchall était accompagné de trois de ses officiers. Tous étaient prêts à interpeller le suspect. Hotchner répartit les tâches.
Morgan enfonça la porte d'entrée, suivi du Shérif et un de ses adjoints. Ils prirent la direction de l'escalier en bois et montèrent à l'étage. JJ, Callahan et Hotchner, restèrent au rez de chaussé. Alors que Reid, Rossi et les deux autres officiers de police se trouvaient à l'extérieur, avec l'ordre de fouiller les dépendances et les environs de la maison.
Au fond du terrain, David, arme à la main, ouvrit le garage. Une odeur de renfermé s’empara de ses narines. A sa droite, il aperçu un établi ancien et poussiéreux. Au centre, la voiture de la mère de Carpenter, un buick break de 1977 s'y trouvait. L'agent toucha le capot, la carrosserie était froide. Alors qu'il faisait le tour du véhicule, admirant ses chromes, une voix familière l'interpella.
« Rossi, venez voir ! »
Lorsqu'il sorti du bâtiment, il vit son jeune collègue, munis de gants de latex bleus, tenir une pelle dans sa main droite. Alors qu'il se dirigea vers lui, il remarqua de la terre fraîchement retournée juste devant les converses de Spencer.
« Je crois que quelque chose à été enterré ici. » Lui-dit-il désignant l'amas de matières du bout du pied.
« Ou quelqu'un. Regarde la taille du trou. » Renchérit Dave, pointant du doigt la présumée tombe.
Des voix retentirent de la maison, les deux agents à l'extérieur s’attendirent à entendre des coups de feux, mais il n'en fut rien. Ils persévèrent ensuite des bruits de pas sur le plancher du porche. Bientôt Aaron Hotchner vint les rejoindre.
« Alors ? » S'enquit David, désireux de savoir si leur suspect était bien là.
« Il n'y a personne. Pas même sa mère, pourtant à l'étage, on a trouvé une pièce avec un lit médicalisé et le nécessaire pour prendre en soin quelqu'un en soins palliatifs. Et vous, vous avez trouvé quelque chose ?»
« La voiture de Mme Carpenter est dans le garage derrière. Le moteur n'a pas tourné récemment. Mais regarde plutôt ce qu'a trouvé Reid. »
« Je pense que c'est une tombe. » Déclara ce dernier, le visage blême, désignant la pelle qu'il tenait encore dans sa main gantée.
Les autres agents présents virent les rejoindre.
« Si c'est une tombe, y'a qu'une seule façon de le savoir. Va falloir creuser. » Dit calmement Derek, croisant ses bras sur son torse bombé.
« Morgan a raison. On se met au boulot. Il y en a peut être plusieurs. Vous avez des pelles dans votre coffre, Shérif ? » Demanda avec détachement Hotchner.
« Non, mais je peux retourner en ville, aller en prendre à l'atelier municipal. »
« Bien. Pouvez-vous déposer l'agent Jareau au poste de police. JJ, si Garcia nous apprend que Carpenter n'est pas au travail, contacte la presse. Diffuse sa photo et ouvre une ligne d'appel à témoins, quelqu'un a dû le voir. Il doit être à pied, vu que les deux véhicules de la famille n'ont pas bougé. Il doit encore être dans les parages. Shérif, sur combien s'étend ces bois ? »
« Le parc de Frank Holten est très vaste, il comporte 437 hectares et deux lacs : Whispering Willow Lake et Grand Marais Lake. Il y a plusieurs infrastructures, comme des airs de picnics et aussi des parcours de golf. Ah, l'autoroute passe pas loin, aussi. »
« Autant chercher une aiguille dans une botte de foin. » Fit remarquer Morgan.
« Voyez si vos hommes peuvent organiser une battue. » Ordonna le patron du BAU.
« Ok, je vais voir avec mon collègue de St Louis, s'il peut me fournir d'autres officiers, on est dans une petite commune ici vous savez, on a pas de grand effectif. Cette ville est à à peu près 30 bornes de là. Le parc se situe entre les deux cantons. Leur aide sera précieuse.»
« Parfait, JJ tu pars avec lui. On va rester ici et commencer à creuser.  En attendant les pelles du service municipal, il y a peut être des outils ici qui vont nous servir.»
« Je vous laisse mes trois adjoints, il va vous falloir des bras en plus si ce cinglé à décidé de transformer le jardin de sa mère en cimetière. » Déclara l'homme de loi de Belleville, se dirigeant, suivi de JJ, vers son véhicule.

« Je vais voir dans le garage s'il y a quelque chose d'utile pour nous » Déclara Rossi.
« J'ai vu une remise de l'autre côté de la maison, il y avait des ustensiles de jardin, je vais aller les chercher. » Les informa un des officiers de la police de la ville.
« Je viens avec toi, Carl. » Rajouta un de ses collègues.
« Ok. Callahan et Morgan, retournez dans la maison, cherchez des indices pouvant nous indiquer où Carpenter peut se cacher. Cela nous permettra de réduire le périmètre de recherche, si jamais il est bien en fuite. Je vais aider Reid à creuser. »
« Stephen Grant, un fermier qui habite non loin d'ici, à une sorte de tractopelle, cela sera plus simple pour creuser non ?  Vous voulez que j'aille lui réquisitionner ? »
« Cela risque de détériorer les corps si jamais il y en a. C'est assez isolé ici, c'est le seul voisin non ? »
« Oui, Monsieur. »
« Allez l'interroger, il a peut-être vu John Carpenter, ou sait quelque chose qui pourrait nous aider. »
« Bien, j'y vais Monsieur. »
Aaron s'apprêtait à parler à Reid quand son mobile sonna. Le nom de Garcia était affiché sur l'écran. Il jeta également un rapide coup d’œil sur l'heure avant d'accepter l'appel. Il était 9h04. Il enclencha le haut-parleur.
«Vas y, Garcia, on t'écoute »
« Monsieur, notre érotomane fou ne s'est pas présenté à son travail ce matin. Ce qui n'a pas surpris son patron, puisqu'en fait, Carpenter est en vacances depuis 3 jours. Donc techniquement, il n'est pas vraiment absent. »
« C'est tout ce que t'as dis son supérieur ? »
« Non. Moi aussi, j'ai mené ma petite enquête, et il m'a expliqué qu'il lui avait accepté ses congés car il savait que la mère de John était en fin de vie. »
« Bien, Garcia, appelle JJ et donne lui le feu vert pour sa conférence presse. On est au domicile de Mme Carpenter. Elle n'est pas dans la maison, on pense qu'elle est décédée et qu'il l'a enterré dans son jardin.  Vérifie les certificats de décès. Est ce que tu peux voir quel est le dernier appel passé par John, même si son portable est éteint ? »
« Quelle horreur ! » S'exlama l'analyste, choquée d'une telle pratique.
« Garcia ? » S'impatienta son patron.
« Oui, oui. Tout de suite, Monsieur ! Ne quittez pas ! » Quelque sons de touche de claviers d'ordinateur retentirent puis la voix de la jeune femme les remplaça rapidement.
« Il a appelé la boite vocale du service infirmier des soins à domicile qui s'occupait de sa mère. Il était 4h02, depuis, silence radio. Il a du éteindre son portable juste après avoir raccroché. Oh, il a laissé un message. Je peux vous le faire écouter, si vous voulez. »
« Vas-y. »
Une voix emplit de tristesse résonna, celle de l'homme recherché, elle était entrecoupée de sanglots.
« Je...Euh... Je suis John Carpenter... Le fils de Grace Carpenter. Elle vient de mourir... Ne venez pas demain matin.... Je m'occupe de tout... »
Après un silence pesant, la voix de la jeune femme, visiblement émue, retentit :
« A 6h55 ce matin, le même organisme a essayé de le contacter. La personne au téléphone a simplement présenter ces condoléances et a demandé qu'il les rappelle. »
« Merci Garcia ! » Lança froidement Aaron, avant de raccrocher. Il regarda son agent près de lui et lui dit, désignant l a terre à leurs pieds :
« Je suis quasi certain qu'on retrouvera le corps de sa mère en dessus. Il faut creuser Reid. »

LoM a écrit:

Morgan enfonça la porte d'entrée

Avoue que tu as rigolé en écrivant ça ? XD

Sinon, je trouve que ce chapitre est très intense, qu'il y a une certaine tension un peu tout le long. J'aime beaucoup
Mais un truc me turlupine (le mot que personne n'utilise depuis les années 1980 xD) : pourquoi c'est pas Morgan qui creuse, il irait plus vite ? xD Quoi que... Trop vite du coup hahaha

J'ai hate de lire la suite (en espérant que Reid soit tout sale à force de creuser, et que du coup il soit obligé de prendre une douche... Je dis ça, je dis rien hein XD).

Ah ah, tu verra bien au prochain chapitre s'il prendra une douche ou pas. ( Sachant que le chapitre est déjà écrit depuis 1 semaine XD)

Non, Morgan, lui son truc, c'est défoncer les portes, pas creuser la terre. Il peut pas tout faire lol. Lol.

Je suis contente de savoir que cela te plait toujours, c'est motivant pour écrire la suite !

Voici la suite, bonne lecture ! Un chapitre un peu plus court, cette fois ci.

Non loin de là, les deux officiers de police avaient rencontré le voisin de Mme Carpenter dans un de ses champs. L'homme âgé d'une bonne soixante d'années avait le teint hâlé, ce qui contrastait avec ses yeux azurs, sa barbe et ses cheveux blancs. Lorsqu'il avait vu les deux adjoints du Marshall, il avait de suite reconnu Carl, qu'il connaissait bien. Il stoppa le moteur de son tracteur, en descendit en vint à leur rencontre.

« Bonjour ! Qu'est ce qui se passe, Carl ? » Leur demanda-t-il, ôtant la casquette qui ornait sa tête, en signe de politesse.
« Bonjour, Oncle Steve. On vient te poser des questions sur les Carpenter, je sais que tu les connais bien. »
« Il s'est passé quoi là haut ? J'ai vu plein de voiture y monter.» Questionna le vieux fermier, remettant de l'ordre dans ses cheveux. »
« Contentez-vous de nous répondre. » Répondit sèchement le coéquipier de l'agent connaissant Stephen Grant.
« On te veux pas de problème, répond et je t'expliquerai après. » Nuança l'autre policier.
« Ok. Les Carpenter et ma famille sommes voisins depuis toujours. Mon père a bossé pour eux. Ils étaient exploitants forestier depuis trois générations. Des gens honnêtes et travailleurs. J'ai jamais eu de soucis avec eux. »
« Parle nous de John Carpenter.» Ordonna calmement l'officier prénommé Carl
« Ah, Johnny ! Je l'ai vu grandir ce gamin ! »
« Est ce qu'il avait un comportement bizarre ? » L'interrogea l'autre policier.
« Bizarre ! Non. Il a toujours été réservé et timide. Surtout après la mort de son père. Mais c'était un bon gamin, très proche de sa mère. Il vient la voir tous les jours. Quand il était à la fac à Indianapolis, il revenait tous les week end. Mon Johnny se tapait presque quatre heures de route, juste pour voir Grace. C'est pas tous les gosses qui ferrait ça ! A la fin de ses études, il est revenu là ! Alors qu'il aurait pu bosser dans n'importe quelle grande ville du pays. On dirait qu'il a jamais coupé le cordon.  Et c'est pas maintenant à 40 balais qu'il va le faire ! »
«  Vous l'appelez mon Johnny, quelle relation entretenez vous avec lui ? »
« Oh, Frank ! Vas-y molo ! Tu insinue quoi là ? » S'indigna Carl, assénant à son collègue un coup de coude dans les côtes. Avant que ce dernier ne puisse répondre, Grant reprit :
« Oh laisse le, Carl, ton coéquipier fait que son boulot ! Après la mort de son père, un accident de voiture des plus idiot : c'était l'hiver et il a glissé sur un plaque de verglas et le père Carpenter s'est payé un arbre. Choc frontal, on dit qu'il est mort sur le coup. Bref, le môme avait même pas 6 mois je crois. Autant dire qu'il a pas connu son père. J'étais un peu comme un figure paternelle. C'est tout. »
« Et avec sa mère ? »
« Oh Grace, une brave femme. Elle ne s'est jamais remariée, comme si elle avait jamais fait son deuil. Je sais pas ce que vous vous imaginez là, officier, mais j'ai beaucoup de respect pour elle. Après le décès de son époux, elle a mené à la fois l'entreprise familiale et l'éducation de Johnny et ses deux grandes sœurs. On est juste des voisins c'est tout. J'entretiens son jardin et je bricole chez elle si elle a besoin depuis qu'elle est malade mais c'est tout. »
« Tu disais que John Carpenter venait la voir tous les jours, tu l'a vu récemment ? »
« Ouais, hier soir. J'étais dans mon champs, il est arrivé à pied et est venu me causer. »
« De quoi vous as-t-il parlé ? Où était sa voiture ? Il était quelle heure ? »
« Il devait être sur les coups de 17h30. Il m'a dit qu'un de ses collègues l'avait déposé. Cela m'a paru bizarre au début mais après je me suis souvenu qu'il faisait du covoiturage. Il a toujours été un peu écolo, vous savez. Il m'a dit que sa mère n'étais pas bien du tout. Je lui ai dit que je passerai la voir dans la soirée mais il m'a répondit qu'il ne préférait pas. Alors je suis pas passé. J'irai sûrement dans la matinée. J'ai pas pris le temps d'aller la voir depuis la semaine dernière. Les choses vont vite quand on est à ce stade là du cancer. Foutue maladie ! » Jura le fermier.
« Tu pourra pas y aller, oncle Steve. Tu l'a vu repartir ?»
« Pourquoi ça ? Non, il y est peut être toujours !»
« Mme Carpenter est portée disparue. » Expliqua Frank.
« Bah merde alors ! Mais c'est pour ça alors que vous êtes là ! »
« Oui. Est ce que tu sais si John Carpenter connaît bien les bois ? Et surtout le parc de Frank Holten ? »
« Pour sûr qu'il ne connaît ! Il le connaît comme sa poche dis ! Gamin, il jouait souvent dans la forêt. A l'époque, je travaillais encore pour eux, et je le croisais souvent là bas. Je lui ai même construit une cabane une fois. Il était tout content ! »
«  Où se situe cette cabane ? »
« Malheureusement, quand la ville a racheté le parc pour faire tout un complexe avec air de pic-nics et tout le tintouin, ils ont dû la foutre en l'air ! »
« Où était-elle ? »
« A 15 bornes à gauche de la maison, au bord du grand marais Lake. Il y venait en vélo, ça rendait folle d'inquiétude sa mère. Mais c'est l'entrée d'une base de voile maintenant. Ah le tourisme...Cela a beaucoup changé maintenant !  »
« Tu sais s'il se rendait toujours dans les bois ? »
« Ouais, il y promenait Betsy, la golden de sa mère. La pauvre chienne est morte l'année dernière. Je sais pas s'il y ai retourné depuis. »
« Tu sais s'il avait toujours des contacts avec ses sœurs ? »
« Bon dieu, non ! Sa sœur aînée, s'est suicidé en 1984, elle avait 18 ans. La cadette s'est volatilisée l'année suivante, elle avait à peine 15 ans. Les ragots disent qu'elle s'était faite engrossée par un voyou et qu'elle est partie avec lui. Y'a eu une enquête, mais on l'a jamais retrouvée. T'as jamais entendu parler de ça, Carl ? »
« J'avais 4-5 ans à l'époque alors non ça me dit rien. »
« Peut importe, Johhny est resté tout seul avec sa mère après ça. »
« Merci oncle Steve, je crois qu'on en a fini. » Conclua le jeune policier.
« Si jamais quoi que cela soit vous reviens, n'hésitez pas à nous contacter. Il faudra passer demain matin au poste pour qu'on prenne votre déposition. Merci Monsieur Grant. » Rajouta l'officier Frank.
« Pas de problèmes ! J'espère qu'on retrouvera vite Mme Carpenter ! La pauvre, dans son état, elle ne tiendra pas longtemps ! » Déclara-t-il, encore sous le choc de la nouvelle. Il rejoignit ensuite son tracteur, remit son couvre chef et démarra le moteur de l'engin, alors que les deux adjoints au shérif reprenaient le chemin du domicile de Grace Carpenter.
« C'est vraiment ton oncle, Carl ? Pourquoi tu l'a pas dit aux agents du FBI » S'enquit Frank.
« Non, c'est compliqué ! Disons que c'était aussi un deuxième père pour moi. Je leur ai pas dit sinon, ils aillaient pas me laisser l'interroger. »
« Ouais. Mais ton père est pas mort, je me trompe !Bah tu m'étonne, si le mec est impliqué, toi aussi du coup !  »
«  Oh laisse tomber tu veux, j'ai pas envie d'en parler. T'as noté tout ce qu'il t'a dit ? »
« Oui oui, t'inquiète. Et je te signale que je suis plus ancien que toi, t'as pas à me dire ce que je dois faire ! »
« Oh ça va, t'es sorti de l'école de police qu'un an avant moi. »
« Ouais bah j'ai un an de plus d'expérience que toi. »
« Bon, on peut se concentrer sur notre boulot ? J'ai plus l'impression qu'on est sur le chemin de l'école que sur celui d'une éventuelle scène de crime, Frank ! »
« Oui, tu as raison Carl. On y est presque en plus.  Faudrait pas qu'on passe pour des guignols devant les mecs du FBI.»
«Ouais. Alors, s'il te plaît, tais-toi ! »

Tandis qu'ils arrivaient à proximité des véhicules, ils s'échangèrent un regard fraternel. Ils avaient fréquenté la même école d'officier et était amis depuis. Au loin, on pouvait voir plusieurs hommes, le dos courbé, creuser la terre.

J'adore ton histoire 😃😃😃😃😃😃 quand la suite???

Merci beaucoup !

La suite , je la publierai d'ici quelque jours.

Oui je sais, j'ai un train de retard... Désolée ^^'

J'aime beaucoup ce chapitre, parce qu'il donne une nouvelle dimension à l'enquête, ce qui évite qu'elle s’essouffle. Du coup, j'ai toujours hâte de savoir la suite

Vaut mieux un train que toute une gare lol. Ok. Je sors lol.

Pour la suite, bah faut que je m'y remette lol.

Oh, ça arrive aussi souvent que j'ai toute une gare de retard haha

Et là, tu t'y es remise ? :p

Non, j'étais au coiffeur ! XD

Mais je vais peut être m'y remettre là.

Voici le chapitre suivant, bonne lecture !

Tandis qu'ils arrivaient à proximité des véhicules, ils s'échangèrent un regard fraternel. Ils avaient fréquenté la même école d'officier et était amis depuis. Au loin, on pouvait voir plusieurs hommes, le dos courbé, creuser la terre.

Il était midi trente à Quantico quand Emily Kingsley prenait sa pause déjeuner dans la salle du personnel de la librairie dans laquelle elle travaillait.
Un sandwich tofu fumé/crudité dans la main droite et son smartphone dans l'autre, elle mangeait tout en regardant les actualités sur son écran de téléphone. Elle s’apprêtait à croquer de nouveau dans son pain quand le titre d'une vidéo attira son attention. Celui ci disait : « Communiqué de presse du FBI, enquête sur l'homicide d'une résidente de Belleville, Illinois. » Sur l'image figée du document, elle pouvait voir une jeune femme blonde, debout face à un pupitre. Elle ne put s'empêcher de penser à Spencer Reid. Et cliqua sur le symbole play pour visionner le petit film.

« Bonjour, je suis l'agent Jennifer Jareau du département des sciences du comportement du FBI. Nous venons en aide aux forces de police de Belleville dans l'enquête concernant la disparition de cinq jeunes femme et le meurtre d'une sixième. Nous recherchons activement John Carpenter, dont voici la photo. Cet homme est potentiellement dangereux. Si vous pensez l’avoir vu ou si vous le connaissez, contactez nous au numéro qui s'affiche sur vos écrans. Nous pensons qu'il est encore dans le secteur de la ville. N'essayer en aucun cas de l'appréhender. Merci. »

La jeune libraire regarda avec attention le visage du meurtrier, puis quitta la vidéo. Elle posa son sandwich sur son plateau puis alla dans l'application message de son mobile et rédigea le sms suivant :

« Je viens de voir un clip d'une conférence de presse du FBI sur un meurtrier à BelleVille, dans l'Illinois. Tu m'a bien dit que tu travaillais actuellement dans cet état ? Ton équipe est sur l'affaire ? L'agent dans la vidéo est une de tes collègues ? Fais attention à toi. »

Elle saisit le destinataire, qui n'était qu'autre que Spencer Reid puis rangea son portable dans sa poche. Un bip sonore vint l'avertir qu'elle venait de recevoir l'accusé de réception. Penseuse, elle continua son repas.
Ce jeune agent du FBI l'attirait vraiment. Là où certaines filles pouvait voir de la gaucherie et de la réserve, elle lui trouvait un certain charme. Il était possible que la plupart des femmes le pensait naïf. Mais Emily, elle, analysait son comportement comme faisant preuve de bienveillance et de sincérité. Pour elle, il avait un petit côté mystérieux qui l’envoûtait presque. Elle le connaissait peu mais elle était sûre que c'était un homme de confiance. La jeune femme n'était également pas insensible au physique du jeune Dr. Elle aimait son corps élancé, ses cheveux fous et son regard vif et intelligent. N'osant espérer une éventuelle histoire d'amour avec lui, elle se contenterait volontiers de faire plus amplement sa connaissance et de devenir amie avec lui.

Au même moment, dans l'Illinois, le portable de Reid vibra dans la poche de son pantalon. Il n'y prêta guère attention tant il était mal à l'aise. Hotchner et lui venait de déterrer le corps de Mme Carpenter de sa tombe de fortune. La veille dame semblait reposer en paix, dans sa chemise de nuit de flanelle. Spencer, avait également trop chaud. Pourtant d'un naturel frileux, le fait d'avoir fournit un effort physique important sous un soleil de plomb suffisait à faire perler des gouttes de sueur sur son corps étroit.
Partout dans le terrain, des hommes creusaient à la recherche d'éventuels cadavres, arrachant les arbustes et piétinant les par terre de fleurs.

« C'est elle. Il faut appeler le coroner.  Je vais également prévenir le shérif qu'il nous faut plus hommes ici» Affirmant Hotchner, le timbre neutre. Avant de s'éloigner un peu afin de passer ses coups de fil. Son jeune collègue, blanc comme un linge, demeura silencieux. Désireux d'un peu de fraîcheur, il fit ce que tout le monde avait déjà fait, il ôta sa chemise malgré sa pudeur. Fort heureusement, il portait un t-shirt, ce qui préservait encore un peu son anatomie du regard des autres. Il emboîta le pas à son collègue, se dirigea vers l'un des SUV de l'équipe, ouvrit la portière arrière et posa délicatement sa chemise sur la banquette, venant rejoindre son gilet, qu'il avait quitté un peu plus tôt. Il referma le véhicule et s’adossa à celui ci. Fatigué, il ferma les yeux quelque instant, essayant de capter la fraîcheur de la carrosserie. De plus, une migraine commençait à poindre dans son cerveau brillant. L'endroit était ombragé, et il se sentait déjà un peu mieux quand une voix familière le questionna :
« ça va pas, beau gosse ? » Lui demanda Morgan.
« Si, je suis juste fatigué. » Mentit Spencer.
« Oh, joue pas à ça avec moi, gamin. Je vois bien que tout ça t'a retourné. »Lui dit-il, désignant le jardin.
« Non, c'est pas ça. Morgan, laisse moi, j'ai chaud. »
« Callahan et moi on retourne au poste, tu veux venir avec nous ? Y'a la clim dans le 4x4 et peut être bien à l'office de police. »
Tout ce que voulait Reid, c'était d'être tranquille. Un verre d'eau glacée lui ferrait aussi le plus grand bien. Il n'avait pas pris la peine d'ouvrir les yeux pour répondre à son collègue mais quand les mots de son patron lui parvinrent, il se redressa et le regarda.
« Quelque chose de va pas, Reid ? »
« ça va Hotchner, j'ai juste mal à la tête et il fait trop chaud ici. »
« Je pensais l'emmener avec nous, Hotch. On a rien trouvé de plus dans la maison. JJ a peut être besoin d'un coup de main là bas.»
« Ok, Reid tu vas avec eux. Callahan et toi, voyez avec JJ si vous pouvez lui être utiles. Morgan, vois avec le shérif pour organiser la battue. Rossi et moi, nous allons rester ici en attendant ses hommes et le coroner. Si y' du nouveau, je vous contacterez. »
« Je vais chercher Callahan, elle est encore dans la maison. » Répondit Morgan avant de retourner à l'intérieur du domicile des Carpenter.
« Reid, t'as vraiment une salle tête. Essaye de te reposer un peu» Commenta leur supérieur, avant de lui tourner le dos et de s'éloigner. Comme pour vérifier les dires de son patron, le jeune homme se regarda dans le rétroviseur du SUV. Ses joues étaient d'un rouge flamboyant et il avait des larges cernes noires sous ses yeux noisettes. Le reste de son visage était d'un blanc livide. Il fit un petit rictus puis s'engouffra côté passager dans la voiture. Les clés étant restées sur le contact, il la démarra puis appuya sur le bouton de l'air conditionné. Il vit Derek et Kate venir dans sa direction, ils rentrèrent ensuite dans le 4x4.
« Ouah Reid, t'as vu ta tête ! » S’inquiéta cette dernière.
« ça va, Kate, c'est juste une migraine. C'est la chaleur.» Marmonna-t-il.
« Ouais, ou alors, tu te transforme en zombie ! » Plaisanta Morgan, manœuvrant afin de faire demi tour. Il reçu une petite tape sur l'épaule et sa collègue le réprima : 
« Laisse le tranquille, tu vois pas qu'il est pas bien !
« Ok, j'arrête ! » Promis l'agent métisse.
L'air frais émanant de l'habitacle le soulageait un peu. Ce qui lui fit le plus grand bien, c'est que ses collègues se taisent. Ce n'était pas une des grosses migraines qu'il avait connu quelque année en arrière, mais c'était tout de même un mal de tête déplaisant. Le silence le berçait et bientôt il s'endormit. Il dormait encore profondément quand ils arrivèrent au poste de police.
« Qu'est ce qu'on fait, on le laisse là ? » Chuchota Callahan à l'intention de Morgan.
« Reid ? » L'appella Derek, le secouant doucement.
Ce dernier se contenta de grommeler.
« Reid, on est arrivé. Réveille-toi. » Renchérit-il.
« Oh laisse le ! » Murmura Kate.
« On va pas le laisser là, il va cramer là dedans ! On est garé en plein soleil ! »
« T'as qu'à te garer ailleurs ! »
« C'est bon, je vous entends, je suis réveillé. » Vint les interrompre Reid, plissant les yeux.
« Tu te sens mieux, Gamin ? » Lui demanda le conducteur du véhicule.
Spencer souffla, se frotta les yeux, chassa une mèche rebelle et dit :
« Un peu oui, je crois. »
Ses collègues sortirent du véhicule en premier, puis il fit de même. A l'entrée du poste, un distributeur d'eau fraîche les attendaient. Il en but 3 verres d'une traite, jeta son gobelet à la poubelle puis rejoignit ses collègues.
« Je vais établir un profil géographique pour les recherches de Carpenter, s'il est bien parti à pied dans les bois, et qu'on estime à 4 km/h la vitesse moyenne de la marche... » Commença-t-il, avant d'être coupé par Derek :
« Ah bah voilà, on te retrouve ! Officier, avez vous une carte du parc de Frank Holen ? » Demanda-t-il à un policier se trouvant près de lui, assis à un bureau.
« Bien sûr, je vais vous chercher ça. »
« Vas-y petit génie, dis nous à quoi tu pense. »
« Je peux calculer où il peut se trouver approximativement à l'heure actuelle en prenant en compte, d'une, la vitesse moyenne de la marche d'un être humain et de deux, l'heure à laquelle il a quitté le domicile de sa mère. »
« Ok vas-y. » Lui répondit brièvement Morgan, lui donna la carte que venant de lui passer l'officier de police.
Posant la carte sur un des bureaux à proximité, et s'emparant des marqueurs de différente couleur traînant sur le meuble, il commença son explication, entourant en rouge l'emplacement de la maison des Carpenter.
« On sait qu'il a annoncé la mort de sa mère au services de soins à domicile à 4h02. Il l'a ensuite enterrée, creusant lui même dans le jardin. Cet homme a 40 ans, et si on se fit à ses photos, il n'est pas du genre sportif et a même de l’embonpoint. Même si la tombe n'était pas très profonde, il lui a fallait un certain temps pour la creuser. Comptons 1 heure. Il est donc parti aux alentours de 5h du matin. Il est presque midi. Cela fait donc 7 heures qu'il est parti à pied, puisque que les véhicules sont restés au domicile. On sait qu'un homme marche à environ 4km/heures. Si on multiple 4 km/h à 7 heure. Cela nous donne une distance de 28 km/h. Disons 30 pour nous donner un marge d'erreur. Il est donc dans un rayon de 30 km autour de chez lui. » Conclu-t-il avant de se munir d'un compas et d'une règle dans sa besace, avant de regarder l'échelle de la carte et de tracer un rond tout autour de la maison de Grace Carpenter.
« Et s'il a volé un véhicule, où s'il s'est fait prendre en stop ? » Questionna Callahan.
« C'est un homme timide et assez discret, je ne pense pas qu'il aborde quelqu'un ou vole un véhicule. Cela ne colle pas au profil. » Lui répondit-il, admirant presque avec fierté la carte devant ses yeux.
« T'as intérêt d'avoir raison,p'tit génie. » Déclara Morgan, photographiant le plan. Je vais l'envoyer à Hotchner et au shérif.
« Je vais si JJ a besoin d'un coup de main. » Lanca Reid à Callahan, se levant, léger, ignorant presque sa migraine.
« Je viens avec toi, génie. » Lui répondit-elle.

Bon certes. Ce n'est peut être pas une méchante. Mais tu m’ôtera pas l'idée qu'il y a quelque chose de pas net qui va se passer avec cette nana là. Y'a un truc de louche XD

LoM a écrit:

Elle aimait son corps élancé, ses cheveux fous et son regard vif et intelligent.

Je sais pas pourquoi, mais je t'imagine bien en train d'écrire ça... XD

LoM a écrit:

N'osant espérer une éventuelle histoire d'amour avec lui

Moi, à sa place, j'espérerai quand même XD

LoM a écrit:

il ôta sa chemise malgré sa pudeur

Owiiiii *___*

LoM a écrit:

Fort heureusement, il portait un t-shirt, ce qui préservait encore un peu son anatomie du regard des autres

Oh non... XD

J'aime beaucoup l'aspect protecteur que tu donnes à Kate. J'ai hâte de voir comment va évoluer leur relation.
Et j'aime aussi beaucoup le retour de SuperReid avec toutes ses explications =D

Je VEUX la suite

Pourquoi tant de haine envers ce personnage ? XD C'est de la jalousie refoulée ça ! Lol.

Mdr tu m'a fais trop rire avec ton owiiii et ton oh non. On ne déshabille pas Spencer Reid aussi facilement lol.

Pour la suite, je vais tâcher de bien bosser ce tantôt ^^

Merci en tout cas de ta fidélité et de tes commentaires

Nan, mais c'est pas de la haine... Ni de la jalousie... C'est juste... Ouais, okay, peut-être un peu de jalousie hahaha

Tu vas voir si moi je le déshabille pas si facilement :p

Ma fidélité et mes commentaires, c'est juste que quand ça me plait, je suis fidèle et je commente xD Même si parfois, il me faut deux semaines hahaha

Oui, tu es jalouse quoi. Avoue que tu aimerai tant être à sa place !

Bah remarque, il a pris un bain et une douche dans la fiction, donc techniquement je l'ai déshabillé deux fois XD

Mieux vaut tard que jamais comme on dit ^^

J'adore vivement la suite

Merci

J'ai pas vraiment pris le temps de m'y remettre, honte à moi.

Prend ton temps mais pas trop 😰😰😰😰

Non mais sérieusement ? Je suis absente du forum depuis un mois et demi, je m'attendais à avoir pleins de lecture et non... RIEN. QUE DALE. NADA. Même pas une mini suite pour satisfaire ma curiosité quoi... :o Je suis trop choquée... Go travailler sur la suite ! Oui, je peux être exigeante quand je m'y mets... Comment ça, ça marche pas ?... Okay... J'attendrais... XD

J'ai 4 jours de repos devant moi, je m'étais dis que j'en profiterai pour m'y remettre. Alors avec ton com, je vais être obligé de le faire. J'ai juste le dernier chapitre à écrire en plus XD

:o Maintenant que tu as dit tout ça, tu es en effet OBLIGE d'écrire la suite x) Sinon, bah je bouderai ! NA !

Très bonne histoire ! Certes je suis plus habituer au fanfiction sur emily prentiss, mais il n'en reste pas moins que celle-ci est top !

J'attend de voir la suite et de voir le develloppement que celà va prendre !

courage je suis avec toi